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[News] Actualité en Tunisie


Bati

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Bonjour Ouled Bab Souika,

 

Je ne sais pas pourquoi mais a chaque fois (tres rare) que je zappe une peu sur ezeitouna tv, yirkibni la3sab.

hier y avait un type qui posait trop de questions et qui doutait de tout...chwaya et bech i9olik hedha il kollou cinema

wallah ghalib 3laya

 

Je viens de mettre Zitouna TV pour la première fois de ma vie.

Emission de soutien a l'armée, aux habitants de Ben Gardane, ou ils insultent el "dawa3ech".

Musique de propagande, drapeau tunisien, belles images en l'honneur des martyrs de l'armee et la police, pour la nation, etc.

 

A moins que ce soit une emission destinée aux tunisiens a l'etranger ... (sur leur site web) et qu'ils diffusent autre choses en Tunisie; mais je n'ai rien trouve a redire sur le patriotisme de Zitouna tv.

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C'est le but. Insinuer le doute dans les esprits, fragiliser la version officielle etc. C'est une pratique utilisée par les frères musulmans tout au long de leur histoire, que ce soit en Algérie (manipulations des services de renseignements), en Egypte (Sinaï), en Tunisie (collusion des terroristes avec des puissances étrangères, inexistence ou exagération du risque etc.), en France (Charlie Hebdo, Hyper Casher, Merah etc.).

C'est surtout une pratique utilisée par tous les adversaires du pouvoir en place.

Tu retrouves la mise en doute de la version officielle chez tout groupe/groupuscule ennemi/adversaire de l'autorité qui gouverne.

Les FARC (face au gouvernement colombien), l'algérie indépendantiste (face à la France coloniale), la CGT en France (lors des manifs), Daech (face au gouvernement Assad), Israel (sa version de la naissance de l'état hébreu face à la Palestine historique), etc. etc.

Plus généralement, ça se résume en une bataille de propagande, rien d'arabe ou d'islamique la-dedans.

À trop détester l'islamisme, on finit par tout restreindre à une perspective islamiste.

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Il y a la lutte contre la version dite officielle dans une affaire particulière et pour des intérêts particuliers, et puis il y a le formatage des esprits au rejet de l'idée d'Etat, et c'est dans cette seconde perspective que s'inscrit le projet islamiste. 

Je ne les déteste pas, mais comme disait feu Chokri Belaïd : "nous avons une place pour eux dans notre projet de société, eux n'en ont pas pour nous".

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Il y a la lutte contre la version dite officielle dans une affaire particulière et pour des intérêts particuliers, et puis il y a le formatage des esprits au rejet de l'idée d'Etat, et c'est dans cette seconde perspective que s'inscrit le projet islamiste. 

Je ne les déteste pas, mais comme disait feu Chokri Belaïd : "nous avons une place pour eux dans notre projet de société, eux n'en ont pas pour nous".

Tout le problème vient de la confusion, entretenue, dans le concept d'islamistes.

Ce qui permet des raccourcis du type : les islamistes rejettent l'idée d'État (sous-entendu d'État national).

Il y a difficilement plus nationaliste comme formation politique islamiste qu'Ennahdha. Son projet est nationaliste, n'en déplaise a ses détracteurs. Autant que l'AKP est nationaliste. Les deux formations, tout comme les islamistes marocains, ont une croyance et une pratique d'ÉTAT.

Ce qui n'empeche pas des projections futures (ou si on préfères une doctrine générale) trans-nationale. Mais on trouve des projets trans-nationaux aux 4 coins du monde, et ça ne choque plus personne : l'union européene, la fédération de russie, le Canada (qui a absorbé la nation québecoise), etc. etc.

C. Belaid, Allah yar7mou, disait bcp de choses vraies, mais n'est pas un saint.

Il n'y a pas plus sectaire qu'un islamiste endoctriné. Ah si... un "laïc" endoctriné. Les uns n'ont pas de place dans le projet de société des autres .... et réciproquement.

 

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Je viens de lire sur echourouk qu'ils ont trouve des missiles stingers a ben guerdane

comment ils ont pu se procurer ce genre d'arme ? et comment ils ont pu arrive en lybie d'abord ?

il me semble qu'il y a connivence de certaines grandes puissances

ca ne peut pas passer comme ca

 

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Je viens de lire sur echourouk qu'ils ont trouve des missiles stingers a ben guerdane

comment ils ont pu se procurer ce genre d'arme ? et comment ils ont pu arrive en lybie d'abord ?

il me semble qu'il y a connivence de certaines grandes puissances

ca ne peut pas passer comme ca

 

personellemt j'attends de voir un tank cache dans l'un des magasins a arme

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Par Frida Dahmani
« Pourquoi j’ai rompu avec Rached Ghannouchi »


Figure emblématique de la défense des droits de l’homme, il avait milité pour la légalisation du MTI, ancêtre d’Ennahdha, dans les années 1980. Avant de se brouiller avec son chef en 2005.
Opposant à Ben Ali, dont il a dénoncé les pratiques et décrit les exactions dans Supplice tunisien. Le jardin secret du général Ben Ali (La Découverte, 1995), Ahmed Manaï, 74 ans, a été un farouche défenseur des droits de l’homme et a milité, dans les années 1980, pour la légalisation du Mouvement de la tendance islamique (MTI), rebaptisé Ennahdha en 1989.
Il paiera son engagement d’un exil forcé de dix-sept ans en France. Proche du courant islamiste tunisien sans y avoir jamais été encarté, cet ancien expert auprès de l’ONU revient sur la genèse du mouvement cofondé par Rached Ghannouchi et dévoile les raisons de sa rupture avec ce dernier.
« Un vendredi d’octobre 1968, un homme seul déambulait dans la mosquée de Paris. C’était Rached Ghannouchi. Nous fîmes connaissance et nous revîmes régulièrement au 15 de la rue de Belleville, où un lieu de prière et de rassemblement avait été aménagé. Il était croyant, mais n’avait jamais prié à la mosquée Zitouna de Tunis, bien qu’ayant suivi son enseignement durant sept ans.
Rebelle, il me confia, en juillet 1969, en présence de son frère, qu’il voulait retourner en Tunisie « pour provoquer la révolte des Béni Zid », sa tribu d’origine. Il n’en fera rien, les siens ne l’ayant pas suivi. Nous étions de bons amis. Peu de temps après notre retour à Tunis, il sollicita même mon épouse pour demander la main d’une jeune femme qui s’était distinguée, à l’occasion de la Nuit du destin, par une brillante intervention devant Bourguiba. Une démarche restée sans suite.
C’est à cette époque que Ghannouchi rencontra Abdelfattah Mourou, Fadhel Beldi, Hmida Ennaifer et d’autres. Ensemble, ils décident de créer, avec des enseignants de la Zitouna, l’Association de sauvegarde du Saint Coran(1). Ils tenteront d’en prendre les commandes, mais seront rapidement exclus par le principal animateur de l’association, Cheikh Habib Mestaoui, qui soupçonnait quelque chose de louche.
En 1973, le groupe devint une organisation clandestine, Al-Jam’iya al-Islamiya, s’exprimant dans les colonnes de la revue Al-Maarifa, du cheikh Ben Slama. Mais Ghannouchi voulait sortir de la clandestinité, car il disait craindre la réaction de Mohamed Sayah, figure du Parti socialiste destourien (PSD, au pouvoir) et patron d’une milice redoutée. Je le mis même en contact avec Abdallah Farhat, ministre de la Défense, et Mustapha Filali, ex-directeur du PSD (Octobre 1978). Mais ses camarades rejetèrent cette option. De ces années-là, il faut retenir l’adhésion de la Jam’iya aux Frères musulmans.
La démarche avait été effectuée par Hmida Ennaifer, mais, à ce jour, tous les membres du groupe nient ce fait, pourtant établi. De même qu’ils nient les deux projets de coup d’État de 1987 et de 1991. Ghannouchi m’a d’ailleurs reproché d’avoir évoqué, dans les années 2000, ces opérations avortées, mais il les avait reconnues implicitement en me lançant, en 2006 : « Que fallait-il faire de Bourguiba et de Ben Ali ? » L’existence d’une branche paramilitaire – le groupe sécuritaire – au sein du mouvement m’avait du reste déjà été confirmée par son propre chef, Salah Karkar, auquel succédera Moncef Ben Salem.
Ghannouchi et ses camarades créèrent le MTI en 1981. L’été de cette année-là, en plein ramadan, lors d’une réunion du mouvement à Monastir, les cafés, sous la menace des islamistes, durent baisser leur rideau pendant la journée. Informé, Bourguiba ordonna les premières arrestations. Quelques jours plus tôt, Ghannouchi m’avait demandé de les rejoindre. Je lui répondis que j’avais choisi de ne jamais associer islam et politique, l’assurant toutefois de mon soutien en cas de besoin. D’où mon engagement total dans sa défense et celle de ses amis jusqu’à leur libération, en 1984.
Écœuré
Après les attentats de Monastir et de Sousse en 1987, Ghannouchi est de nouveau arrêté, puis condamné à la prison à vie, mais je persistais à penser qu’il fallait sortir le mouvement de la clandestinité et l’intégrer pour le contrôler. Outre le fait d’avoir maltraité et persécuté les dirigeants islamistes, l’erreur de Ben Ali aura été d’abord de les gracier en 1988 sans les avoir jugés. L’issue des législatives de 1989 – le parti au pouvoir rafle la totalité des sièges à l’issue d’un scrutin truqué – conduit Ennahdha à renouer avec la violence. Le projet de coup d’État de 1991 couvait ainsi depuis longtemps. Le 18 mai 1989, dix jours avant qu’il s’exile à Alger, Ghannouchi m’avait soutenu qu’il lui faudrait « deux ans », sans être plus explicite. Il comptait alors sur une victoire du Front islamique du salut (FIS) algérien pour revenir en conquérant en Tunisie.
Notre dernière rencontre remonte à 1995, mais la rupture définitive aura lieu en 2005. Des détenus islamistes avaient demandé à être libérés. Avec un collectif, nous préparâmes une lettre à l’intention de Ben Ali. Ghannouchi, depuis Londres, eut vent de l’affaire et me signifia par téléphone qu’il était opposé à l’initiative, assurant que les prisonniers pouvaient faire la démarche individuellement. Écœuré, je rompis tout contact avec lui, car j’avais le sentiment qu’il vivait sur le malheur des autres et préférait fabriquer des martyrs plutôt que de voir des hommes réhabilités dans leurs droits(2).
Une secte qui n’œuvre que pour elle-même
Finalement, j’en aurai davantage appris sur Ennahdha lors de mon exil que durant ces dernières années, où elle a prétendu accepter le jeu démocratique. En réalité, ses dirigeants se battent contre l’État, qu’ils ne reconnaissent pas, et contre l’idée de patrie. Ils croient davantage au parti qu’en Dieu et sont prêts à mettre l’État à genoux pour servir leurs intérêts. C’est ce qu’ils font depuis 2011.
Sans ses prisonniers politiques, Ennahdha aurait disparu depuis longtemps. Elle était d’ailleurs dans un état de quasi-mort clinique en 2009-2010, d’autant que la fracture entre les militants réfugiés à l’étranger et ceux qui étaient restés en Tunisie s’était creusée, une partie des premiers ayant bâti leur fortune sur les subsides qui auraient dû revenir aux derniers.
Au sein d’Ennahdha, ce qui est utile au mouvement est forcément utile à l’islam, et non l’inverse. Dans tous les cas, l’avenir du parti est tout tracé : Ghannouchi restera à vie son président parce qu’il en contrôle les finances. Il avait d’ailleurs affirmé en 2008 à des militants qui voulaient redynamiser le mouvement : « Ennahdha, c’est moi. Vous pouvez en créer une autre si ça vous chante. » Ainsi va le parti de Ghannouchi tel que je l’ai connu, une fourmilière très organisée, comparable à une secte qui n’œuvre que pour elle-même. »

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tawa normal le depute de nahdha de ben guerdene, repute pour ses positions religieuses extremistes, yetchadd fi galb la7keya avec un moyen de communication interdit en tunisie, ou mba3ed yetsayeb? yekhi ma fihech rjel hal bled? 

ya weldi chbik il a l'immunite parlementaire qui lui donne le droit de faire ce qu'il veut!!!!!!!! ahhhhh ya denya

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 Ils croient davantage au parti qu’en Dieu et sont prêts à mettre l’État à genoux pour servir leurs intérêts.

Je suis pas psy, mais je pense qu'on appelle ça un transfert ...

S'il y a un "groupe" qui a cru au PARTI davantage qu'en Dieu et qui a mis l'État a genou pour servir ses intérêts ...si mes souvenirs sont bons ....durant les 55 ans de Tunisie républicaine ... c'est pas vraiment les islamistes ...

Les images et les chiffres parlent d'eux-mêmes je pense, inutile de les rappeler.

PS : je risque de passer pour le défenseur des islamistes/Ennahdha, ce que je ne suis pas. Mais en revanche, j'ai du mal avec des points de vue trop biaisés et injustes. J'ai conscience qu'au sein d'Ennahdha, il y a un phénomène de sectarisme, assez dangereux. Qu'il y a en leur sein des fondamentalistes dangereux. Qu'ils ont une histoire qu'il faudrait juger. Qu'ils ont probablement commis des erreurs/délits/crimes depuis qu'ils ont pris le pouvoir qu'il faudra juger. Mais l'esprit d'exclusion ne mènera à rien. La dernière laïque sectaire que j'ai écouté disait qu'il fait "évacuer" les islamistes pour pouvoir vivre en paix. C'est contre ce genre de discours idiot et simpliste que je réagis. La transformation d'Ennahdha en parti républicain, par la force des choses (nationale et internationale, acteurs et institutions) montre que même si le chemin est encore long, il est a terme rentable. 

 

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tawa normal le depute de nahdha de ben guerdene, repute pour ses positions religieuses extremistes, yetchadd fi galb la7keya avec un moyen de communication interdit en tunisie, ou mba3ed yetsayeb? yekhi ma fihech rjel hal bled? 

chniya la7keya maldini ?

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C'est affligeant comme niveau de journalisme :

Quand on connait les relations assidues entre les dirigeants d’Ennahdha et ceux des milices islamistes de Fajr Libya, en Libye, et leur chef Abdehakim Belhaj, dont la complicité dans l’attaque de Ben Guerdane ne demande qu’à être confirmée, on est en droit de se poser des questions sur la duplicité du chef du gouvernement Habib Essid et du président de la république Béji Caïd Essebsi, devenus, à l’insu de leur propre gré, des complices du terrorisme.

 

[7it]:tunisie-1::paix:

 

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  • 2 weeks later...

Le président russe Vladimir Poutine pourrait être invité par le président Béji Caïd Essebsi pour effectuer une visite d’Etat en Tunisie, et ce très prochainement. C’est ce qu’a déclaré le ministre du Commerce, Mohsen Hassen, à Mosaïque Fm aujourd’hui, jeudi 31 mars 2016, ajoutant qu’une invitation adressée à BCE pour se déplacer en Russie est, aussi, éventuellement envisageable.

 

« Le président russe souhaite un partenariat stratégique réel avec la Tunisie », a-t-il dit ajoutant que ces visites s’inscrivent dans le cadre d’une volonté de promouvoir les relations de partenariat entre les deux pays dans les domaines du commerce, de l’investissement ou du tourisme.

Modifié (le) par nabil mkachekh
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Le président russe Vladimir Poutine pourrait être invité par le président Béji Caïd Essebsi pour effectuer une visite d’Etat en Tunisie, et ce très prochainement. C’est ce qu’a déclaré le ministre du Commerce, Mohsen Hassen, à Mosaïque Fm aujourd’hui, jeudi 31 mars 2016, ajoutant qu’une invitation adressée à BCE pour se déplacer en Russie est, aussi, éventuellement envisageable.

 

« Le président russe souhaite un partenariat stratégique réel avec la Tunisie », a-t-il dit ajoutant que ces visites s’inscrivent dans le cadre d’une volonté de promouvoir les relations de partenariat entre les deux pays dans les domaines du commerce, de l’investissement ou du tourisme.

Ces gens ne savent pas travailler. Lorsqu'on organise une telle rencontre, on se tait jusqu'à son annonce officielle.

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Hedhi Leila zamara bdet itkassarli fi kraimi

 

نفى الناطق باسم مؤسسة رئاسة الجمهورية معز السيناوي في مداخلة في برنامج " ميدي شو" الذي يبث في إذاعة موزاييك ما صرحت به القاضية ليلى عبيد المكلفة بملف مصادرة أملاك النظام السابق حول تدخل السبسي شخصيا لتعطيل تنفيذ الأذون القضائية المتعلقة بمصادرة أملاك شيبوب.
وقال معز السيناوي ان هذه المعلومات التي طرحتها القاضية ليلى عبيد غير صحيحة بالمرة.
وتابع معز السيناوي " ليلى عبيد تحدثت عما سمعته من جهات معينة ولم تتقصى الامر قبل التصريح به.


وكانت القاضية المكلفة بالأملاك المصادرة ليلى عبيدصرخت الثلاثاء 5 أفريل في حوار على اذاعة صبرة اف أم أن رئاسة الجمهورية تدّخلت من أجل تعطيل الأذون القضائية المتعلقة بمصادرة أملاك سليم شيبوب.

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ce qui m'enerve chez cette nana, c'est qu'elle est entrain de jouer a la sainte ni touché : la derniere fois je l'ai vu sur wat2 et alors qu'elle ne s'acharnait que sur le dossier Slim Chiboub, elle repete qu'elle ne connait meme pas les noms, pour elle c'est juste un dossier comme un autre.... elle nous prend pour des nes de la derniere pluie

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