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[Espagne] Suivi de la saison 2014/2015


ara_dawla

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A mon avis, c'est surtout la faiblesse défensive catalane qui fait la différence

2 buts sur 3 (1er et 3 eme) cadeau

Tant qu'ils joueront avec ces 3 là derrière (Alves/Pique/Mathieu), ils ne pourront aspirer à rien.

Les matchs se suivent et les erreurs se répètent.

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Joueur du match : Marcelo d'apres BeIN, Isco ou Benzema d'apres le Bernabeu ..

Pour moi : Casillas, et son sauvetage impossible contre Messi, ca aurait 2-0, match plié.

Ce Real est vraiment énorme. 3-0 a Liverpool, 3-1 face au Barca en 3 jours. C'est du lourd. Et a chaque fois avec une demonstration.

Aujourd'hui, CR7 a raté beaucoup, ca aurait du être bien plus large comme score.

Modric + Kroos : si vous trouvez un meilleur milieu défensif au monde, dites le moi. (J'attends encore la paire Xabi Schweini).

La seule question que j'aimerais poser aux catalans : QUI a décidé d'aligner Suarez. Je peux pas croire que c'est le coach.

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Chbih luis ?? Yekhi andou mieux ke ca ??

Chay, il a juste raté son coaching aujourd'hui. Le jour du clasico il fou le bordel dans le secteur défensive (mayizich bel3ine il teli ou zid 3lih, ou maghir matejbdouli 3la record en carton de 8 matchs 0 buts) avec mathieu à gauche totalement perdu et inutile et pique qui n'a presque pas joué depuis le debut de la saison et lorsqu'il joue, il est hors sujet.

Depuis le debut de la saison luis n'arrete pas de changer ses 11 entrants, kol jem3a 3la kol loun ya krima. Aucun fond de jeu, les memes lacunes réapparaissent chaque semaine. il s'entete a faire jouer un fontome comme pivot alors qu'il s'est rendu compte quelques jours auparavant de mascherano yal3eb fard poste ("Luis : mascherano m'a surpris" Woowww quel info sachant que mascherano meilleur joueur dans ce poste durant la coupe du monde). il écarte Alba pour mettre mathieu a gauche !!! 7alel wa ne9ech ................ w lista twila.

Résumé : deux chocs deux défaites jusqu'a maintenant..... et la liste risque de s'alourdir.

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Le jour ou le barca aura un entraineur capable de faire sortir Messi à 60-65mn, taw na7kiw wa9t'ha 3al barca.

PS : ca n'enleve en rien au merite du real et a sa victoire claire et nette.

Autant je suis d'accord dans le principe, mais pour aujourd'hui messi avec mascherano la3bou au moins. Les autres figurent dans la liste des abonnées absents et comme tete de liste la passoire sergio.

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le Barça va encore galérer: je ne les vois pas jouer pour la Liga, ni pour la CL

ce sont les mêmes défaillances, notamment défensives en + du milieu qui a perdu de sa force (Xavi n'a plus le niveau et la vivacité de celle de 2009) et puis, sur le plan tactique aucune innovation..... Pire, un jeu statique qui ne fait plus le poids surtout face à des équipes qui savent mettre 2 blocs regroupés en défense, les catalans obligés de faire circuler le ballon devant le bloc en cherchant les ailes et en finissant avec des centres ratés... y a pas vraiment d'attaquant qui peut marquer de la tête...

le Barça magique a cessé d'exister depuis le départ de Pep...

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Autant je suis d'accord dans le principe, mais pour aujourd'hui messi avec mascherano la3bou au moins. Les autres figurent dans la liste des abonnées absents et comme tete de liste la passoire sergio.

ya zoom 3ayech khouya,

Messi nous a raté 2 buts qu'il ne rate presque jamais à 1-0. Messi a été l'ombre de lui meme en 2eme mi temps, Messi a multiplié les mauvais choix match kemel.

ti sadda9ni presque krahtou ...

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ya zoom 3ayech khouya,

Messi nous a raté 2 buts qu'il ne rate presque jamais à 1-0. Messi a été l'ombre de lui meme en 2eme mi temps, Messi a multiplié les mauvais choix match kemel.

ti sadda9ni presque krahtou ...

Ok, cite moi un joueur qui a surcalssé tous le monde aujourd'hui au barca ??? fil ham 3andek mate5tar au moins. Le seul ili it7esou inajem ya3mel 7keya sur terrain c'est messi il be9i il kol out jemla.

Après, je suis d'accord pour dire messi a raté le KO.

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Ma question : est ce qu'Iniesta joue a un niveau acceptable ?

Il a perdu toute sa magie je trouve. Peut-etre depuis l'arrivée de Neymar, je sais pas. Mais le Iniesta champion d'Europe (Espagne ou Barca) a son top, ca fait longtemps que je ne l'ai pas vu.

Le Barca n'a toujours pas compris une lecon que lui a pourtant bien expliquer le Bayern : ce jeu là, il faut l'abandonner. Il a marché pendant 3-4 saisons, et c'était magnifique et inarrêtable. L'Espagne a raflé les titres avec ce jeu. Et puis, vient un jour ou il ne sert plus que face aux petites équipes 'lentes', faibles techniquement ou physiquement. Mais quand tu as en face des grosses équipes (PSG, Bayern, Real, ATM), ça mène a rien.

OK, ca a continué de fonctionner face au Real dans certains clasicos, mais c'est un match special, tres special. Mais dans les matchs a titres, ca ne marche plus (finale de la liga face a l'ATM, demi finale CL face au Bayern, finale copa del rey face au Real, quart de finale CL face a l'ATM).

C'est fini, et il faut l'accepter. Il faut renouveler. Et les joueurs (le quatuor Busquets-Xavi-Iniesta-Messi) ne dominent plus et finissent par commettre une petite faute technique : contre-attaque - but ...

Et la tactique en tant que telle. La force exceptionelle de ce jeu se situait sur l'aspect défensif : a la perte du ballon, un pressing monstre très haut de Messi, Iniesta, Xavi, et Sergio en couverture. Maintenant, Messi marche, Xavi ne peut plus courir, Iniesta commet des fautes (carton jaune sur Modric, et il a offert un but), seul Busquets couvre vraiment. Conclusion : un pressing horriblement mal executé = cadeau a l'adversaire, surtout si celui-ci est tres a l'aise techniquement (Verrati-Matuidi-Pastore-Motta ou Modric-James-Isco-Kroos), i5arej el koora en rigolant presque.

Donc : Tata a essayé, Villanova a essayé, Luis Enrique insiste : yezzi, le tiki taka est mort depuis le départ de Pep. Houa bidou il l'a essayé, il a insisté avec le Bayern, klé 7arra en demi CL, il a compris qu'il faut un jeu bcp plus direct ...c'est ce que fait le Bayern maintenant.

Coté Real : chapeau Ancelotti. Ce mec est une encyclopédie du foot vivant. J'ai écris juste avant le clasico : nchallah il aligne pas Khedira Modric Kroos, pour moi ca equivalait aux erreurs de Mourinho, essayer a tout prix de blinder le milieu et de laisser 80% de possession, face au Barca, ca finit toujours par encaisser. Le moyen de les battres : les faire defendre bas, les menacer constamment, sur les ailes (Marcelo, James, Carvajal), percuter sans cesse, jeu direct, garder le ballon de temps en temps. Il faut faire reculer ce Barca. Et pour ca, faut plus de joueur offensifs. Khedira n'a aucun apport offensif (face au Barca).

Donc, Ancelotti a parfaitement lu le Barca de Enrique: pour éviter la menace Alves, faut le faire reculer, donc faire jouer le maximum Marcelo en attaque.

Grosse performance de Benzema (très très grand joueur, même si ca sera jamais un attaquant classique qui claque les buts), de Marcelo, de Isco (c'est le meilleur match de sa carrière), et Modric et Kroos (tbarkallah machallah), et pour moi de Casillas (irréprochable). James a eu plusieurs raté. CR7 pas au niveau. Carvajal pas mal, Pepe bon, Ramos très bon.

Fel le5er, Carlito nous l'a joué a l'italienne: sakkar weldine el milieu :D , il a sorti Benzema, Isco et Modric, il a fait rentrer Khedira, Illaramendi et Arbeloa. Le message est passé :D Un double rideau, pas un rayon de lumière pouvait passer !

Bref, grosse performance du Real, petite performance du Barca (c'est tjrs relatif l'un a l'autre).

PS : Modric Kroos : :wub::wub::wub:

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Magnifique analyse de SoFoot:

Les leçons tactiques de Real - Barça Le Real Madrid aurait pu finir par l'emporter 6-1. Mais le Barça aurait pu aussi mener 0-2 au bout d'une vingtaine de minutes. Alors, faut-il vraiment se concentrer sur le résultat final ? Carlo Ancelotti et Luis Enrique ne vont-ils pas retenir autre chose que le gain et la perte de trois points ce soir ?

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NOTE
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Luis Enrique et Carletto

D'un côté, le Real Madrid est en train d'essayer de retrouver « l'idée de jeu » qui lui avait permis de filer vers la Décima, malgré les immenses changements du mercato, les divers épisodes traversés par Casillas, et le destin des Ultras Sur. Isco peut-il vraiment faire du Di Maria ? A quoi sert James ? La paire Modric-Kroos peut-elle jouer seule contre n'importe qui ? Ancelotti a enfin dit oui. Malgré la rumeur Khedira, c'est bien une formation offensive, joueuse et ambitieuse qui se présente à Chamartín, comme à Liverpool. De l'autre côté, le FC Barcelone vit un début de saison d'études et d'examens ratés. L'objet de recherche ? L'équilibre entre le profit offensif d'attaquants merveilleux, et une fluidité de jeu reposant sur un pressing qui ne peut pas se faire à trois milieux. Pour cela, Luis Enrique a semble-t-il mis fin à l'utilisation de deux latéraux offensifs et donné plus de responsabilités à Mascherano. Cohérent. Tout comme l'auraient été la titularisation de Rakitic ou le placement d'Iniesta dans le trio d'attaque. De toute façon, depuis Guardiola (6-2), aucun entraîneur fraîchement arrivé n'avait remporté son premier Clasico de Liga joué dans l'antre adverse (Mourinho 0-5 ; Vilanova 1-2 ; Ancelotti 1-2).

Le premier but est l'œuvre du trident de rêve, ou du trident impossible, selon ce qu'écrira l'Histoire : un rush de Messi, une transversale de Suarez et un numéro de Neymar. Messi commence dans l'axe, puis bouge à droite pour aller provoquer Marcelo. Suarez commence à droite, puis change aussi. Neymar reste à gauche, sans toutefois défendre énergiquement son couloir. Difficile d'imprimer un pressing haut avec autant de mouvements. D'ailleurs, Messi, Iniesta et Neymar se retrouvent vite pénalisés par des jaunes tactiques péchés en transition. Il faut noter que le Brésilien joue souvent de dos pour faire remonter le bloc, ce qui aurait paru tactiquement absurde à l'époque de Guardiola. Tout aussi absurde que la capacité de Piqué à dégager ce ballon qu'il aimait conserver avec tant de sang-froid. Mais le trio offensif brouille les pistes, s'intercale entre Modric-Kroos et Pepe-Ramos et captive l'attention en début de match.
« L'idée de jeu » d'Ancelotti
En vingt-deux minutes, deux assists de Suarez auraient pu vouloir dire 0-2. La première période n'a pas dû satisfaire tactiquement Carletto. « Comme idée, c'est ce que je veux. Nous sommes en train d'essayer d'améliorer l'idée de l'an passé et en ce moment on s'en sort bien ». Cette phrase sortie en conférence de presse ne peut être qu'une référence au magnifique jeu de contre déployé en deuxième période sous l'impulsion des superbes choix de Benzema. Et la première mi-temps ? Avec une telle composition, chez lui, le Real aurait pu avoir plus d'options pour concevoir le jeu, abandonnant finalement la balle aux jolies manœuvres de Xavi. L'ouverture du score a certainement eu son rôle à jouer, mais Modric et Kroos ont eu l'air plus préoccupés par les mouvements entre les lignes du trident adverse que par l'impression d'une circulation de balle au rythme soutenu. A la mi-temps, les trois axiaux Kroos, Modric et Isco (qui rentre dans l'axe pour que Marcelo puisse monter) ont touché le même nombre de ballons que les seuls ailiers James et Marcelo (74). Dans sa forme actuelle, le milieu Iniesta-Xavi-Busquets aurait pourtant capitulé. Devant, Benzema ne trouve donc pas d'appui. Alors, Ancelotti n'arrive pas ou Ancelotti ne veut pas ?
Le retour de Barcelone la rebelle
Barcelone a toujours été différente, créative, insolente, révolutionnaire. C'est une éternelle deuxième insatisfaite. C'est une rebelle. Et après des années de politiquement correct, que la ville a retrouvé des couleurs qui lui vont mieux. Voilà El Pistolero, son maté et ses crochets. A chaque prise de balle, l'uruguayen dégage une impression sauvage : une transversale instinctive, des courses travaillées, des feintes inventées sur place. Alors que Sergio Ramos était soulagé de voir Diego Costa partir en Angleterre, voilà Suarez qui débarque. Aux côtés de l'insolent Neymar, ducaudillo Mascherano, du revanchard Mathieu et des autres artistes, cet effectif adopte des airs qui rappellent l'époque des Hollandais, de Ronaldo ou Stoichkov. Messi nous propose d'ailleurs sa version la plus rosarina : dribbles ivres face au reste du monde, confiance en soi démente et fracas. Enfin, ce groupe est mené par un modèle : Luis Enrique, le traître, l'asturien, l'impulsif. Et comme toujours dans les belles histoires, les rebelles ont toujours une longueur d'avance sur les forces de l'ordre. Enfin, au début.


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C'est quoi, l'envie de gagner ?
En conférence de presse, Ancelotti déclarera en fin de match que son équipe a gagné parce qu' « en deuxième période, elle a voulu gagner ». Une façon simple d'expliquer l'inexplicable : pourquoi est-ce toujours ce Real qui marque les buts décisifs sur coup de pied arrêté ? Pourquoi est-ce toujours ce Real qui se crée plus de situations dangereuses sans avoir besoin de créer plus de jeu ? Cette volonté, pouvant être aussi perçue comme un savoir-faire, se caractérise en première mi-temps par les tirs de Cristiano et Benzema (4 et 3). Ou par ce corner religieusement brossé par Toni Kroos. Alors que le côté droit Dani Alves-Piqué laisse passer systématiquement Marcelo (d'où le besoin de l'aide de Rakitic), les ballons se multiplient dans la surface. Une possible main, puis une vraie main et un pénalty, une transversale de Benzema, et des tirs contrés de James. Un Madrid volontaire plutôt que que virtuose. En face, peut-être que le Barça n'a pas envie de gagner, mais de jouer.

Alors, il joue. Xavi aura livré une heure à créer des triangles comme à la belle époque. 59 minutes, 59 ballons touchés, 52 passes. Seulement, le jeu du Real ne se compte pas en passes, mais en occasions. Et avec un pressing aussi faible, chaque possession barcelonaise est une nouvelle occasion de contre-attaque pour le Real. Chaque corner, aussi. Luis Enrique peut-il vraiment récupérer l'intensité de 2009-2011, avec Xavi et Iniesta au milieu ? Porté par l'avantage au score, le pressing madrilène s'intensifie après le but de Pepe. Isco, Carvajal, Modric et James aspirent les ballons. Derrière, il faut les multiples sauvetages au sol du Jefecito Mascherano pour garder le Barça en vie. Devant, Luis Suarez occupe l'axe comme un vrai numéro 9, et il faut ses contrôles orientés pour faire accélérer un Barça en recherche constante d'espaces. Messi, lui, a longtemps semblé ailleurs. Pourtant, Luis Enrique souhaitait lui réinventer un rôle pour mettre en valeur sa vision du jeu...
« Ils vivent grâce aux contres » ?
Peu importent les évolutions, Xavi n'a pas changé. « Ils vivent grâce aux contres », déclare-t-il en analysant la défaite. Piquée, Madrid sursaute et se vexe, avec les yeux rouges de Pepe : « Ce n'est pas vrai, nos supporters ont fait des olé ». Dans le vertige de ce Bernabéu fièrement suspendu au-dessus de la Castellana, le Barça répète que son projet de jeu est toujours le même alors qu'il devient de plus en plus vertical, du fait des accélérations de Neymar, du jeu vers l'avant de Rakitic et bientôt de Suarez. En face, le Real est toujours aussi vertical mais prend le soin de se classer de plus en plus dans la catégorie des équipes joueuses. Parce que Modric à la place de Khedira, parce que Carvajal à la place d'Arbeloa. A défaut d'avoir mis en place un collectif réellement constructif, le Real a entrepris le chemin qu'il connaît le mieux : acheter des joueurs constructifs. Depuis Mourinho, Ancelotti n'a pas changé d' « idée de jeu ». Et il a eu raison.
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Real Madrid : «Alliance stratégique» avec Abu Dabi

Le Real Madrid a officialisé mardi une «alliance stratégique à long terme» avec le fonds IPIC, bras armé du gouvernement d'Abu Dabi dans l'industrie pétrolière. «Le principal des défis est de faire du Bernabeu le meilleur stade du monde», a expliqué Florentino Perez, le président du Real. Il avait confirmé le mois dernier que le club était «à la recherche d'un sponsor» pour financer la modernisation du stade de 80 000 places à horizon 2017.

Ni le Real ni le directeur exécutif d'IPIC, Abdullah al-Qubaisi, présent à Madrid mardi, n'ont révélé le montant et la durée de l'investissement du groupe pétrolier dans le club (déjà) le plus riche du monde (604 millions d'euros de revenus en 2013-14). En septembre, la presse espagnole évoquait un investissement de 500 millions d'euros sur 20 ans et avançait que le stade mythique des Merengues pourrait être rebaptisé "Abu Dabi Santiago Benabeu".

Lequipe

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Kroos et ses stats de killer

Le rouleau compresseur madrilène cache un galactique moins glamour.

Pendant que Cristiano enfile les pions comme des perles, que Benzema s'adjuge le titre d'homme du match durant le clásico, que Bale flirte avec la vitesse de la lumière, que James affole les jeunes filles en herbe, que Modrić régale avec son toucher de balle et ses transmissions « crème », Toni Kroos, le milieu de terrain besogneux, opère dans l'ombre. Transféré du Bayern au Real pour la modique somme de 25 millions d'euros, l'Allemand dénote quelque peu avec le star system merengue. Et pourtant, si on épluche les stats du champion du monde germain, une question s'impose : Kroos n'est-il pas le vrai Galactique ? Selon Opta, l'Allemand de 24 piges est le joueur de Liga ayant tenté le plus de passes (670) depuis le début de saison, avec un taux de réussite atteignant les 93,4%.

Sur l'année 2014, tous championnats confondus, il est encore celui qui affiche le plus grand nombre de passes (2959) avec un taux de réussite de 92,2%. Un bilan statistique effarant pour un joueur définitivement colossal.

sofoot.com

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