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[Espagne] Suivi de la saison 2011/2012


Mahdinho

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brabi bech nesse2llik, ken jet ballon d'or teta3ta waktha lel 3alem el kol mouch ken europe , ya5ouha platini 3 fois a ce point ken mla3bi??

okhzor, min né7yit mlé3bi mlé3bi, ou ghoul zéd. Ama 3 fois de suite s3ib barcha surtout qu'à l'époque il y avait au moins deux joueurs qui lui étaient supérieurs ( Maradona et Zico).

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Le FC Séville a eu une idée qui se répandra peut être ... Pr la modique somme de 24,99 euros un supporter pr faire afficher sa photo sur le floquage du numéro de son joueur préféré! Sachant qu'un numéro à 2 chiffres pourraient contenir 3000photos ... les caisses vont se remplir :0164-cash: :0164-cash:

111206032112805300.jpg

Modifié (le) par Ice Man
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Le FC Séville a eu une idée qui se répandra peut être ... Pr la modique somme de 24,99 euros un supporter pr faire afficher sa photo sur le floquage du numéro de son joueur préféré! Sachant qu'un numéro à 2 chiffres pourraient contenir 3000photos ... les caisses vont se remplir :0164-cash: :0164-cash:

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Le Real l'a dejà fait !

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@zoom

ya bliiiiiiiiiiiiiddd :lol:

Selon les échos parvenus de Valdebebas, Mou va opter pour el trivote au milieu de terrain!!!!!!!

3léch ??

j'aurais aimé l'habituel "4-2-3-1" + pressing haut !

sinon "trivote" + pressing haut ? oui pourquoi pas !

EL mouhém : "pressing haut" !

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@zoom

ya bliiiiiiiiiiiiiddd :lol:

1/3léch ??

2/j'aurais aimé l'habituel "4-2-3-1" + pressing haut !

3/sinon "trivote" + pressing haut ? oui pourquoi pas !

4/EL mouhém : "pressing haut" !

1 et 2: tout ça 3ala khatir Özil ne participe pas assez fi fakkén il koura!

3 et 4: Pressing haut et circulation interdite fi zone illi bin il milieu et la défense du Real!

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José Mourinho, le père de famille ..

A Chelsea et à l'Inter, José Mourinho a laissé une trace indélébile. Après une première année difficile au Real,

le Portugais a appris de ses erreurs et a fait d'une Maison blanche réputée incontrôlable une véritable famille.

Paulo Ferreira raconte la scène ..

Alors qu'il ne voulait plus de Diarra l'été dernier, Mourinho a su tendre la main à l'international français.(EQ)

C'est Paulo Ferreira qui raconte la scène, dans le livre Mourinho, les secrets du succès écrit par les journalistes

portugais Nuno Luz et Luis Miguel Pereira :

"Un adieu est toujours difficile mais quand il est parti de Chelsea, c'était pire que tout. Il nous a dit qu'on lui manquerait

et nous a tous pris dans ses bras un à un. Drogba pleurait comme un enfant", se souvient le latéral droit portugais.

"La nuit précédente, le capitaine John Terry n'avait pas hésité à réveiller l'Ivoirien et Lampard pour leur demander

d'unir leurs efforts afin que Mourinho reste au club".

la même scène a eu lieu dans les vestiaires de l'Inter ..

Deux ans plus tard, la même scène de désolation a eu lieu dans les vestiaires de l'Inter, que le Portugais a laissé sur un immense

triplé Serie A - Coupe d'Italie - Ligue des champions. "Mourinho a toujours su me parler, a expliqué Wesley Sneijder dans la

Gazzetta dello Sport. Il n'y a personne comme lui. Personne qui sache s'occuper de chaque joueur comme il sait le faire".

Casillas, Ramos ou encore Diarra et Benzema qui sont prêts à tous les sacrifices pour le technicien portugais ..

Aujourd'hui, ce sont Casillas, Ramos ou encore Diarra et Benzema qui sont prêts à tous les sacrifices pour le technicien portugais.

"Nous avons parlé entre hommes et comme des hommes, a récemment expliqué Lassana Diarra dans L'Equipe.

Nous avons tout mis sur la table et les choses se sont grandement améliorées. J'ai reconnu mes erreurs et lui, les siennes. (...)

Maintenant, avec Mourinho, nous tirons dans le même sens. Et je l'en remercie". Même son de cloche chez Karim Benzema.

Après une saison où l'attaquant français et le coach lusitanien se sont «cherchés», il n'y a plus aucun problème.

«Je sais ce qu'il veut de moi désormais et je fais tout pour le combler», a expliqué l'ancien Lyonnais. Après l'avoir tancé

sur son poids et l'avoir traité de «chat» (quand Higuain était un «chien» sur le terrain), Mourinho ne tarit plus d'éloges sur son

buteur : «Nous avons désormais la même vision du football. J'ai réussi à l'en convaincre. (...) Avec lui et Higuain,

j'ai les deux meilleurs attaquants du monde.» Main dans la main, le Français et l'Argentin empilent les buts.

Et sont vite devenus les stars des barbecues désormais organisés par des joueurs très unis.

Le Real s'est mis à jouer ..

Reconnaître ses erreurs dans l'intimité d'un tête à tête, soutenir les joueurs qui n'ont pas lâché malgré son intransigeance.

Deux caractéristiques primordiales d'un Mourinho qui a radicalement changé par rapport à l'année passée, transformant du même coup

un Real qui paraît plus que jamais capable de rivaliser avec le Barça qu'il rencontre samedi.

«Vous devez savoir une chose : vous êtes tous titulaires ! Ici, il n'y a plus de remplaçants. Vous allez tous être très importants

cette saison», avait lâché le technicien portugais à ses joueurs le 13 août dernier en pleine préparation.

Conscient que son équipe avait pêché physiquement lors de sa première année au club, il utilise désormais tout son effectif

(Callejon, Albiol, Coentrao) alors qu'il ne faisait pas tourner auparavant.

Autre changement radical : le jeu. Après avoir tenté, en vain, de battre le Barça en demandant à ses hommes de jouer comme le violent

Leeds des années 70, il a changé son fusil d'épaule. «Ils se battent pour chaque ballon comme des enfants jouant leur premier match.

Ajoutez à cela la qualité de leurs joueurs, et cela devient très compliqué. Ce Madrid-là est évidemment plus fort que celui de l'année

dernière», a expliqué Manuel Preciado, l'entraîneur de Gijon. Désormais, le Real recherche avant tout la possession de balle,

la projection rapide vers l'avant, et même le beau geste. Tout ce qui plaît à un stade Santiago Bernabeu de nouveau heureux de voir

jouer son équipe.

Source : Lequipe.fr

1 et 2: tout ça 3ala khatir Özil ne participe pas assez fi fakkén il koura!

3 et 4: Pressing haut et circulation interdite fi zone illi bin il milieu et la défense du Real!

logique [bravo]

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Vous pensez être incollables sur le Real Madrid ou le FC Barcelone, et tout savoir sur le clasico ? Mettez vos connaissances à l'épreuve avec ces sept questions. (Photo Presse-Sports)

Quel club a remporté le plus de trophées ?

Egalité parfaite. Avec 73 titres chacun, ces deux géants affichent un palmarès impressionnant. Mais cette égalité est trompeuse. Avec 31 championnats d'Espagne à son compteur (contre 21 pour le FC Barcelone) et 9 C1 décrochées (4 pour le Barça), le Real Madrid offre une vitrine à trophées plus prestigieuse et plus clinquante que son rival barcelonais.

Combien de clasicos ont déjà eu lieu ?

215. Depuis leur création respective, le FC Barcelone (1899) et le Real Madrid (1902) se sont affrontés à 215 reprises, toutes compétitions et tous lieux confondus. Léger avantage pour le club de la capitale espagnole qui compte deux victoires de plus que son rival catalan (86 succès contre 84 pour le Barça, 45 nuls ; 361 buts marqués par les Merengue, 347 par les Blaugrana).

En championnat, les deux équipes se retrouvent pour la 163e fois. Là encore, le bilan est favorable au Real (68 victoires, 31 nuls et 63 succès barcelonais ; 263 buts inscrits par le Real, 252 par le Barça). Dans leur antre de Santiago Bernabeu, en 81 confrontations en Liga, les Madrilènes sont largement dominateurs (50 succès, 15 nuls et 16 victoires de Barcelone).

Combien de clasicos se sont déjà disputés en 2011 ?

6. Ils ne s'aiment guère mais ne se quittent plus. Samedi, Madrilènes et Barcelonais se retrouveront pour la 7e fois de l'année, une première dans l'histoire des deux clubs. Pour l'instant, le bilan est favorable au Barça (2 victoires : 2-0 à Madrid en demi-finale aller de la C1, le 27 avril, et 3-2, le 17 août au Camp Nou, en Supercoupe d'Espagne retour) mais le Real (un succès, 1-0 a.p. en finale de la Coupe du Roi, 20 avril à Valence) a l'occasion d'égaliser ce samedi. Le match de la 32e journée de championnat, disputé le 16 avril à Santiago Bernabeu, s'est soldé par un nul (1-1). Tout comme la demi-finale retour de Ligue des champions du 3 mai (1-1) en Catalogne. Avec 9 buts inscrits, les Blaugrana font mieux que les Merengue (7 réalisations).

Quel est le joueur à avoir disputé le plus de clasicos ?

Francisco Gento. Le légendaire numéro 11 du Real, qui a porté la tunique merengue de 1953 à 1971, a affronté 31 fois le FC Barcelone. Samedi, le gardien madrilène Iker Casillas et le milieu barcelonais Xavi Hernandez se rapprocheront du record détenu par Gento en jouant leur 28e clasico.

Qui est le meilleur buteur des clasicos ?

Alfredo Di Stefano. Avec 18 buts inscrits face au Barça, le double Ballon d'Or France Football (1957, 1959) devance un autre Madrilène Raul (15), le Barcelonais César Alvarez (14 réalisations), et ses anciens coéquipiers Francisco Gento (14) et Ferenc Puskas (14). Arrive ensuite Lionel Messi qui a déjà planté 13 pions à Iker Casillas (aucun autre joueur n'est parvenu à mettre plus de buts au gardien international espagnol) en 15 clasicos. Cristiano Ronaldo, de son côté, a trouvé le chemin des filets à 3 reprises en 9 rencontres face au Barça.

Quel record peut battre le Real Madrid ce samedi ?

Celui du plus grand nombre de succès consécutifs. Avant de défier le FC Barcelone, l'équipe dirigée par José Mourinho reste sur 15 victoires de rang, toutes compétitions confondues. Un record qu'elle partage avec la formation madrilène entraînée par Miguel Muñoz lors de la saison 1960-1961. Samedi, Cristiano Ronaldo et ses partenaires ont l'occasion de faire mieux que leurs prestigieux prédécesseurs (Puskas, Di Stefano, etc).

A quand remonte le dernier succès en Liga du Real Madrid face au FC Barcelone ?

7 mai 2008. Plus de 3 ans (1312 jours exactement) que les supporters du club merengue attendent que leurs protégés fassent mordre la poussière aux Barcelonais en championnat. Ce mercredi 7 mai 2008, à l'occasion de la 36e journée, le Real de Bernd Schuster, sacré champion d'Espagne trois jours plus tôt à Pampelune et accueilli par une haie d'honneur (el pasillo) des Blaugrana à Santiago Bernabeu, fêtait son sacre de la plus belle des manières en corrigeant (4-1) l'équipe catalane (3e).

Peu avant le quart d'heure de jeu, Raul, d'une frappe du gauche sans contrôle à l'entrée de la surface, dégainait le premier. Sept minutes plus tard, Robben, à la réception d'un corner, doublait la mise de la tête (!). En seconde période, Higuain et Van Nistelrooy, sur penalty, parachevaient la démonstration madrilène ; Henry, lancé par Messi, ne sauvant l'honneur barcelonais qu'en toute fin de match. Le lendemain, Pep Guardiola remplaçait Frank Rijkaard sur le banc du Barça. Pour écrire l'histoire que l'on connaît...

Thomas SIMON (avec Sylvain LIGORRED)

très bel article sur France Football

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