[News] Actualité en Tunisie

[Anis10]

Une inflation énorme qui pourrait avoir des répercussions sur notre vie. Le pouvoir d'achat a beaucoup baissé, la pauvreté mechia w tzid et avec al jahl, nous risquons de voir le nombre de vols, d'agressions et de braquages augmenter sensiblement. Vivement l'immigration

[ammouda]

En plus personne n'a donné de l'importance sur le discours de besbes ministre des finances intérimaire sur la devaluation de 10% du dinars

Et dire que Nabli les a averti à propos de leurs politique de merde inflationniste d'injecter de la monnaie sans contre partie dans l'economie nationale

voila les vrais raisons du départ de dimassi et du limogeage de nabli

[Toto]

En plus personne n'a donné de l'importance sur le discours de besbes ministre des finances intérimaire sur la devaluation de 10% du dinars

Et dire que Nabli les a averti à propos de leurs politique de merde inflationniste d'injecter de la monnaie sans contre partie dans l'economie nationale

voila les vrais raisons du départ de dimassi et du limogeage de nabli

est ce qu'il a annonce une devaluation du dinars tunisien de 10 % ?

[francesco totti]

est ce qu'il a annonce une devaluation du dinars tunisien de 10 % ?

Vers une nouvelle dévaluation du dinar ?

Les dernières cotations interbancaires sur le marché monétaire ont poussé à la hausse le taux d'intérêt du loyer du dinar qui a dépassé 4% lors de la séance du 28Août. L’accroissement des besoins des banques en liquidité s’est accru à tel point que le taux d’intérêt moyen a atteint 3,98%, malgré une intensification de l’intervention de la BCT sur le marché monétaire qui face à cette physionomie a décidé de relever de 25 points de base le taux directeur en le portant à 3,75%. Ce niveau suffira-t-'il a en créer l'équilibre entre excédentaires de financement et demandeurs? Commençons par jeter un regard sur la conjoncture.

Une conjoncture morose

Si la situation économique et financière récente a été marquée par la poursuite de la consolidation des indicateurs relatifs à la production agricole et le déroulement de la saison touristique, la BCT reconnait toutefois la poursuite de la hausse des importations (+14.6%) à un rythme plus élevé que les exportations (+3.7%), ce qui a fait augmenter le déficit courant à 5.2% du PIB, contre 3.7% à la même période de 2011. Par ailleurs, le taux d’inflation s’est élevé à 5.6% à fin juillet (probablement plus à fin août), contre 5.4% à fin juin 2012, en relation notamment avec la hausse des produits alimentaires et l’évolution des prix de certains produits de base sur les marchés internationaux.

Ceci étant, la demande de liquidité durant le mois de ramadan et en prévision de la rentrée est à vue d’œil, exacerbée. Ce qui signifie que l'épargne placée en banque connait un certain recul du fait des besoins de dépenses qui vont continuer à s'amplifier. D'un autre coté, il est annoncé que le Pib ne dépasserait pas les 2,7% vision FMI, ce qui veut dire que la croissance est insuffisante à faire effet de levier pour rembourser en partie les crédits jusque là accordés par les banques. Or il se trouve que la précédente gouvernance de la BCT a non seulement épuisé les réserves bancaires qui se trouvent aujourd'hui sans matelas, mais aussi a baissé le taux directeur à tel point qu'il en est devenu une peau de chagrin qui n'encourage plus personne à placer son épargne en banque. Du coup si épargne il y a, elle est partie spéculer du coté de la Bourse qui a curieusement grimpé en pleine période de crise économique...

Un besoin incompressible de ressources

En tout cas, trois jours plus tard, Slim Besbès, ministre des finances par intérim, annonce que la situation est critique et les circonstances très délicates et que la Tunisie fera appel, en 2013, au marché financier international privé pour lever un montant de quelques1800 MDT. Il annonce même un déficit budgétaire pour 2012 de 6,6% appelé à augmenter si le prix de carburant n’est pas réajusté pour éviter une compensation de quelques 800Md. Aussi est il probable que le déficit soit de l’ordre de 10 % sachant que de son côté l’apport de l’amnistie fiscale n'aura pas dépassé 75 MDT sur un total prévu de 250 MDT (à peine 30%)...

Au total, les spécialistes à l'instar de Mustapha Stambouli interprèteraient cette physionomie comme propice pour une dévaluation prochaine possible du dinar. Certains l'estiment à 10% d’ici la fin de l’année. Or, un tel niveau pousserait les hommes d’affaires étrangeres à retarder leurs investissements. Aussi, M. Besbes annonce-t-il la vente des entreprises confisquées dans un laps de temps court qui correspond actuellement à une période de flou constitutionnel et l’absence de liquidité chez les investisseurs tunisiens qui, comme nous l'avons déjà signalé, a fait grimper le taux d'intérêt. Or dans ces conditions, les repreneurs de ces sociétés ne peuvent être qu’étrangers ou des anciens propriétaires sous d’autres appellations, donc des IDE non exportateurs. Une manière « d’aggraver la balance des paiements pour les années à venir », a conclu Stambouli.

Le dinar, une longue histoire de dévaluations

Mais regardons-nous en face. Depuis sa création, notre dinar n'a jamais vraiment connu de réévaluation. D'une dévaluation à l'autre, il n'a jamais affronté la vérité du marché des changes dans le sens plein. Notre continuel déséquilibre de la balance des paiements a toujours pesé sur notre indépendance monétaire. Aujourd'hui que la Tunisie ne trouve plus suffisamment de ressources à l'intérieur de son système économique, accablée par des notations catastrophique, dirigée par des compétences parfois discutables, elle s'affronte au moment de vérité face à la mécanique implacable des bailleurs de fonds.

On a perdu face à l'Euro, face au dollar etc...Comment ne pas laisser le taux directeur nous dire ce que vaut notre dinar, vision intérieure, par l'épargne nationale. Avons-nous vraiment une courbe des taux crédible? Comment admettre que l'Etat sorte sur le marché des obligations (assimilables) à 6% à court terme alors que les banques se les procurent à 3,75% à la source?...

Les prochaines missions d'audits, ne manqueront pas de mettre les choses au clair, une clarté en laquelle un certain Ch. Ayari y tient mordicus, et il a raison de vouloir en découdre, une fois pour toutes après quel que 50 ans de BCT indépendante, parait il!

http://www.webdo.tn/2012/09/02/vers-une-nouvelle-devaluation-du-dinar/?utm_source=feedburner&utm_medium=feed&utm_campaign=Feed%3A+webdo+%28webdo%29&utm_content=FaceBook

[ammouda]

est ce qu'il a annonce une devaluation du dinars tunisien de 10 % ?

http://www.tunisiefocus.com/politique/ot-la-devaluation-du-dinar-de-lordre-de-10-19811/

[Menfoutiste]

le cours moyen du pétrole brut (new york) en 2009 45$, en 2010 71$, en 2011 95$, en 2012 pour le moment i7ouess fel 97$

donc elli i9olelkom on pouvait éviter cette hausse yekdheb a3likom peut n'importe son appartenance

et les hausses des prix est une nécessité pour contrôler l'inflation , ça a l'air d'être idiot mais c'est vrai , ki etzid fel smig, smag, les salaires dans le secteur public, bientôt dans le privé , ki ta3ti 200 dinars lel battala , ki ta3ti chahria el 3ommal el hadha2ir fi sidi bouzid,, gafsa ... sans un vrai travail derrière ... tu augmente la demande et tu provoque une situation de pénurie qui favorise le marché noir , la spéculation ... en plus en augmentant le cout du travail, tu baisse la marge des producteurs , donc ils ont interrêt à se diriger plus vers l'exportation , le marché noir vers la lybie, l'algérie ... bref des circuits ou il n'ya pas de TVA , pas de taxes, peu ou pas d'impots ... et la pénurie devient plus réelle et l'inflation difficilement maîtrisable

et dans tout ça il y'a une incohérence dans la politique adopté, il fallait aussi augmenter les impôts ( au moins créer une nouvelle tranche pour les très grands revenus ), on est un pays sui subventionne, la farine, le sucre, le thé, le café, l'essence ..., les augmentations des prix ne peuvent pas à elles seules permettre de résorber l'augmentation réelle des prix ( ki etzid 35% fel smig ouel smag il faut s'attendre à une augmentation d'au moins 20% des produits agricoles et industriels ), et du coup la croissance ne servira pas à créer des emplois, mais à payer la dette et ses intérêts

[Tarajilover]

le cours moyen du pétrole brut (new york) en 2009 45$, en 2010 71$, en 2011 95$, en 2012 pour le moment i7ouess fel 97$

donc elli i9olelkom on pouvait éviter cette hausse yekdheb a3likom peut n'importe son appartenance

et les hausses des prix est une nécessité pour contrôler l'inflation , ça a l'air d'être idiot mais c'est vrai , ki etzid fel smig, smag, les salaires dans le secteur public, bientôt dans le privé , ki ta3ti 200 dinars lel battala , ki ta3ti chahria el 3ommal el hadha2ir fi sidi bouzid,, gafsa ... sans un vrai travail derrière ... tu augmente la demande et tu provoque une situation de pénurie qui favorise le marché noir , la spéculation ... en plus en augmentant le cout du travail, tu baisse la marge des producteurs , donc ils ont interrêt à se diriger plus vers l'exportation , le marché noir vers la lybie, l'algérie ... bref des circuits ou il n'ya pas de TVA , pas de taxes, peu ou pas d'impots ... et la pénurie devient plus réelle et l'inflation difficilement maîtrisable

et dans tout ça il y'a une incohérence dans la politique adopté, il fallait aussi augmenter les impôts ( au moins créer une nouvelle tranche pour les très grands revenus ), on est un pays sui subventionne, la farine, le sucre, le thé, le café, l'essence ..., les augmentations des prix ne peuvent pas à elles seules permettre de résorber l'augmentation réelle des prix ( ki etzid 35% fel smig ouel smag il faut s'attendre à une augmentation d'au moins 20% des produits agricoles et industriels ), et du coup la croissance ne servira pas à créer des emplois, mais à payer la dette et ses intérêts

Tu justifies presque un exploit économique de ben ali car tous ces facteurs existaient de son temps. Pour être plus cohérent, il faudrait comparer ce que valait ces produits il y a 3 ou 4 ans. L'augmentation des salaires est venue plutôt compenser partiellement une très grande inflation depuis 2010 et pas le contraire. Je ne comprends pas comment on arrive à justifier les choix économiques du gouvernement: il aurait été plus judicieux d'inciter les investisseurs à venir ici alors que le Maroc fait le plein, de renoncer temporairement à compenser à coup de centaines de milliards les prisonniers politiques, de donner des signaux positifs aux investisseurs locaux et étrangers ainsi qu'au citoyen lambda. Il ne faut pas perdre de vue que cette "révolution" était pour améliorer les conditions de vie des tunisiens, or pour le moment c'est le contraire qui se produit. Tout le reste demeure des discussions politiques qui sont loin du quotidien du tunisien

Modifié (le) September 2, 2012 at 12:10 par Tarajilover

[tottiroma]

le cours moyen du pétrole brut (new york) en 2009 45$, en 2010 71$, en 2011 95$, en 2012 pour le moment i7ouess fel 97$

donc elli i9olelkom on pouvait éviter cette hausse yekdheb a3likom peut n'importe son appartenance

et les hausses des prix est une nécessité pour contrôler l'inflation , ça a l'air d'être idiot mais c'est vrai , ki etzid fel smig, smag, les salaires dans le secteur public, bientôt dans le privé , ki ta3ti 200 dinars lel battala , ki ta3ti chahria el 3ommal el hadha2ir fi sidi bouzid,, gafsa ... sans un vrai travail derrière ... tu augmente la demande et tu provoque une situation de pénurie qui favorise le marché noir , la spéculation ... en plus en augmentant le cout du travail, tu baisse la marge des producteurs , donc ils ont interrêt à se diriger plus vers l'exportation , le marché noir vers la lybie, l'algérie ... bref des circuits ou il n'ya pas de TVA , pas de taxes, peu ou pas d'impots ... et la pénurie devient plus réelle et l'inflation difficilement maîtrisable

et dans tout ça il y'a une incohérence dans la politique adopté, il fallait aussi augmenter les impôts ( au moins créer une nouvelle tranche pour les très grands revenus ), on est un pays sui subventionne, la farine, le sucre, le thé, le café, l'essence ..., les augmentations des prix ne peuvent pas à elles seules permettre de résorber l'augmentation réelle des prix ( ki etzid 35% fel smig ouel smag il faut s'attendre à une augmentation d'au moins 20% des produits agricoles et industriels ), et du coup la croissance ne servira pas à créer des emplois, mais à payer la dette et ses intérêts

le problème c'est que ce gouvernement ne fait aucun effort pour éviter cette hausse des prix !

nes ki Mehrzia et ses semblables qui ne foutent rien yo5lsou des salaires gonflés w bil Euro ! tous les directeurs, les DG, les PDG, les secrétaires d'état, les ministres bénéficient de NNN (3 N) litres d'essence, une ou deux voitures ... ... ... !

lorsqu'un pays passe par une crise économique, c'est l'état qui est le responsable est pas le peuple, donc c'est pas à nous d'assumer la responsabilité de leur incompétence !

w yekdheb 3lik ili y9olek fi tounes ma3annéch pétrole !

3anna pétrole kima Libya w l'Algérie ama nbi3ou fih l'amarikya w Canada b'25$ le baril (3andi barcha mili sma3t biha) !

[Meher]

w yekdheb 3lik ili y9olek fi tounes ma3annéch pétrole !

3anna pétrole kima Libya w l'Algérie ama nbi3ou fih l'amarikya w Canada b'25$ le baril (3andi barcha mili sma3t biha) !

Eli 9alhélék yekdheb 3lik enti.

[Menfoutiste]

Tu justifies presque un exploit économique de ben ali car tous ces facteurs existaient de son temps. Pour être plus cohérent, il faudrait comparer ce que valait ces produits il y a 3 ou 4 ans. L'augmentation des salaires est venue plutôt compenser partiellement une très grande inflation depuis 2010 et pas le contraire. Je ne comprends pas comment on arrive à justifier les choix économiques du gouvernement: il aurait été plus judicieux d'inciter les investisseurs à venir ici alors que le Maroc fait le plein, de renoncer temporairement à compenser à coup de centaines de milliards les prisonniers politiques, de donner des signaux positifs aux investisseurs locaux et étrangers ainsi qu'au citoyen lambda. Il ne faut pas perdre de vue que cette "révolution" était pour améliorer les conditions de vie des tunisiens, or pour le moment c'est le contraire qui se produit. Tout le reste demeure des discussions politiques qui sont loin du quotidien du tunisien

s'il fallait voir dans mon message une allusion à l'époque ben ali, ça serait une explication des évènements du bassin minier , ceux de ben guerdane et enfin ceux de sidi bouzid , suite à la crise économique de 2008 ( ses impacts sur l'économie ont été plus rude que la révolution )

et celui qui qui a vu dans ce message une justification de la politique ( qui est un ensemble de mesures, qui doivent être cohérentes , et non pas une seule mesure ), doit aller consulter pour se soigner de sa mauvaise foi , une mauvaise foi qui atteint son apogée avec l'argument "indemnisation", qui n'est pour le moment qu'un principe, elle n'est pas budgété, il n'y a pas de projet de loi dans ce sens, même le processus de la justice transitoire dont l'aboutissement logique est l'indémnisation n'est pas claire à ce jour , et celui qui va me sortir les propos de dimassi dans ce sens devrait, s'il est honnête assumer tout ce qu'avait dit dimassi , en particulier son attachement à l'annulation du fond de soutien , et après qu'il vienne se plaindre des augmentations des prix

donc je le redis:

- oui l'augmentation des prix est une nécessité

- oui l'augmentation des bas salaires est une obligation économique et morale

- non ces mesures ne doivent pas être financé par un endettement extérieur mais par la mise à contribution des hauts revenus pour une meilleure distribution des richesses, si on doit s'endetter, c'est soit pour faire face à un évènnement imprévu ( catastrophe naturelle ) , soit pour financer la croissance créer des emplois

finalement pour la compététivité avec le maroc, le maroc est devenu plus compétitite grâce à une simplification des procédures administratives ( chantier entammé par abbou et il avance ) et grâce à un climat sociale et politique plus stable , mais pour ce qui est de l'inflation et autres indicateurs économiques ma yefr9ou a3Lina kan bessabr ( pour info , le maroc a indémnisé les victimes des années hassan II et pourtant ma felsetch )

[D.A.Maradona]

le cours moyen du pétrole brut (new york) en 2009 45$, en 2010 71$, en 2011 95$, en 2012 pour le moment i7ouess fel 97$

donc elli i9olelkom on pouvait éviter cette hausse yekdheb a3likom peut n'importe son appartenance

et les hausses des prix est une nécessité pour contrôler l'inflation , ça a l'air d'être idiot mais c'est vrai , ki etzid fel smig, smag, les salaires dans le secteur public, bientôt dans le privé , ki ta3ti 200 dinars lel battala , ki ta3ti chahria el 3ommal el hadha2ir fi sidi bouzid,, gafsa ... sans un vrai travail derrière ... tu augmente la demande et tu provoque une situation de pénurie qui favorise le marché noir , la spéculation ... en plus en augmentant le cout du travail, tu baisse la marge des producteurs , donc ils ont interrêt à se diriger plus vers l'exportation , le marché noir vers la lybie, l'algérie ... bref des circuits ou il n'ya pas de TVA , pas de taxes, peu ou pas d'impots ... et la pénurie devient plus réelle et l'inflation difficilement maîtrisable

et dans tout ça il y'a une incohérence dans la politique adopté, il fallait aussi augmenter les impôts ( au moins créer une nouvelle tranche pour les très grands revenus ), on est un pays sui subventionne, la farine, le sucre, le thé, le café, l'essence ..., les augmentations des prix ne peuvent pas à elles seules permettre de résorber l'augmentation réelle des prix ( ki etzid 35% fel smig ouel smag il faut s'attendre à une augmentation d'au moins 20% des produits agricoles et industriels ), et du coup la croissance ne servira pas à créer des emplois, mais à payer la dette et ses intérêts

Bien vu, tu as bien analysé la situation

Tu justifies presque un exploit économique de ben ali car tous ces facteurs existaient de son temps. Pour être plus cohérent, il faudrait comparer ce que valait ces produits il y a 3 ou 4 ans. L'augmentation des salaires est venue plutôt compenser partiellement une très grande inflation depuis 2010 et pas le contraire. Je ne comprends pas comment on arrive à justifier les choix économiques du gouvernement: il aurait été plus judicieux d'inciter les investisseurs à venir ici alors que le Maroc fait le plein, de renoncer temporairement à compenser à coup de centaines de milliards les prisonniers politiques, de donner des signaux positifs aux investisseurs locaux et étrangers ainsi qu'au citoyen lambda. Il ne faut pas perdre de vue que cette "révolution" était pour améliorer les conditions de vie des tunisiens, or pour le moment c'est le contraire qui se produit. Tout le reste demeure des discussions politiques qui sont loin du quotidien du tunisien

Pourquoi tu fais allusion à l'époque Ben Ali ??? de quelle justification tu parles ??? Menfoutiste a juste essayé d'analyser scientifiquement et économiquement la situation sans pour autant "justifier" !!!

de quels milliards pour les prisonniers tu parles ??? ça n'a jamais fais l'objet d'un budget à ce jour !!!

[didoo-bli$$]

finalement pour la compététivité avec le maroc, le maroc est devenu plus compétitite grâce à une simplification des procédures administratives ( chantier entammé par abbou et il avance ) et grâce à un climat sociale et politique plus stable , mais pour ce qui est de l'inflation et autres indicateurs économiques ma yefr9ou a3Lina kan bessabr ( pour info , le maroc a indémnisé les victimes des années hassan II et pourtant ma felsetch )

je confirme et j'ajoute , d'après qq amis hommes d'affaires qui ont des sctes là bas, leur procédures sont similaires en qq sortes aux nôtres, la terre est plus chère et les impôts aussi.

Il m'ont dit que c'est la confiance et la scène économique/politique qui les pousse vers le Maroc.

En Tunisie il y avait une grande simplification des procédures surtout pour les étrangers (le truc de guichet unique et entreprise en un temps record)..et pourtant ça ne marche pas avec le cirque au pouvoir (les dernières années Ben Ali et les incompétents actuels)

Modifié (le) September 2, 2012 at 15:18 par didoo-bli$$

[didoo-bli$$]

Sinon,

ce qui se passe au palais carthage (réunion wala chnowa 3al moncef Bey...)

et Adnen Mansar qui se croit à la bibliothèque Al Kitab mta3 l'avenue.. et des racailles de journalistes qui dénigrent bourguiba au palais présidentiel avec des termes qu'on peut qualifier (au minimum) de 9ellet 7yé w bhema. et biensur la meme chose avec zaba avec un populisme qui dépasse les limites.

Marzouki...zeyed wakahaw.

[dream team]

Je pense que la situation économique du pays est plus profonde et compliquée qu'on peut la débattre sur un forum, il faut vraiment être un groupe d'experts économique et financier d'une part et qui connaissent la réalité de ce qui se passe au pays d'autre part pour pouvoir débattre ce sujet.

De ma part en tant que banquier, je peux vous assurer d'une chose: le pays règne dans une fraude fiscale: je n'ai jamais rencontré un professionnel ou une sté (autre que exportatrice) qui déclare la totalité de ses revenus (n'en parlons pas des médecins, commerçants, salon de thé, restos..), y' a que le simple citoyen salarié qui se voit déduire l’impôt avant même de recevoir son salaire.

Un autre point, j'en ai eu la confession de quelques clients (qui vivent avec la contre bande) m'ont assuré que les marchandises passent de la Lybie vers la Tunisie et vice versa d'une manière quotidienne et normale et sans contrôle douanier, faut juste connaitre le bon timing, circuit.. N'en parlons pas de l'importation massive de la chine ou la Turquie, les réseaux d'importations clandestines existent encore après l’ère de ben ali et Trabelsi..

Donc a mon avis, ces 2 grands chantiers peuvent constituer une source importante et supplémentaire pour l’état si le 1er chantier s’avère difficile, du fait qu'il s'agit d'une culture Tunisienne de ne pas payer le Fisc (le tunisien considère que payer le Fisc est de la perte de l'argent)et que l'administration fiscale en elle même a besoin d'une tandhifa..

Alors que pour les barrières douanières, il faut miser et déployer des efforts gigantesques pour protéger nos frontières..

Ce qui se passe actuellement dans notre chère Tunisie: est que le système économique est entrain de servir a 1 ou 2% de la population pr s'enrichir alors que les autres sont entrain de pourrir..

[didoo-bli$$]

Donc a mon avis, ces 2 grands chantiers peuvent constituer une source importante et supplémentaire pour l'état si le 1er chantier s'avère difficile, du fait qu'il s'agit d'une culture Tunisienne de ne pas payer le Fisc (le tunisien considère que payer le Fisc est de la perte de l'argent)et que l'administration fiscale en elle même a besoin d'une tandhifa..

juste pour l'anecdote ya Dream, en fouillant un peu dans l'histoire de notre pays, il s'avère que notre comportement de "tkarkir" et de "fuir le fisc" et de "sabba".. ça remonte à l'ère carthaginoise (je suis sérieux )

le remède était : un état solide avec un pouvoir exécutif d'un an non renouvelable , la suite vous la connaissez.

donc 7keyet el fisc s3Iba chwaya

[Tarajilover]

s'il fallait voir dans mon message une allusion à l'époque ben ali, ça serait une explication des évènements du bassin minier , ceux de ben guerdane et enfin ceux de sidi bouzid , suite à la crise économique de 2008 ( ses impacts sur l'économie ont été plus rude que la révolution )

et celui qui qui a vu dans ce message une justification de la politique ( qui est un ensemble de mesures, qui doivent être cohérentes , et non pas une seule mesure ), doit aller consulter pour se soigner de sa mauvaise foi , une mauvaise foi qui atteint son apogée avec l'argument "indemnisation", qui n'est pour le moment qu'un principe, elle n'est pas budgété, il n'y a pas de projet de loi dans ce sens, même le processus de la justice transitoire dont l'aboutissement logique est l'indémnisation n'est pas claire à ce jour , et celui qui va me sortir les propos de dimassi dans ce sens devrait, s'il est honnête assumer tout ce qu'avait dit dimassi , en particulier son attachement à l'annulation du fond de soutien , et après qu'il vienne se plaindre des augmentations des prix

donc je le redis:

- oui l'augmentation des prix est une nécessité

- oui l'augmentation des bas salaires est une obligation économique et morale

- non ces mesures ne doivent pas être financé par un endettement extérieur mais par la mise à contribution des hauts revenus pour une meilleure distribution des richesses, si on doit s'endetter, c'est soit pour faire face à un évènnement imprévu ( catastrophe naturelle ) , soit pour financer la croissance créer des emplois

finalement pour la compététivité avec le maroc, le maroc est devenu plus compétitite grâce à une simplification des procédures administratives ( chantier entammé par abbou et il avance ) et grâce à un climat sociale et politique plus stable , mais pour ce qui est de l'inflation et autres indicateurs économiques ma yefr9ou a3Lina kan bessabr ( pour info , le maroc a indémnisé les victimes des années hassan II et pourtant ma felsetch )

Déjà attaquer les forumiens avec mauvaise foie etc n’est pas une manière de discuter. Pour ma part, je ne parle pas politique ou parti politique, mais c’est toi qui attaque les forumiens selon leur parti politique ce qui fait que tes posts manquent de discernement.

Pour mon post précédent, tu n’as cité que le point où je parle d’indemnisation et à aucun moment tu n’as discuté mon point de vue économique. Donc stp Menfoutiste si tu veux discuter les idées et analyser la situation économique d’une façon objective tant mieux mais si tu veux tout tourner en politique alors sache que je ne suis pas amateur de politique.

Je reviens sur l’intention d’indemnisation (le partie au pouvoir à passé plus d’un mois à sonder l’opinion publique donc je conclue qu’ils ont la ferme intention de le faire) et je la cite comme un exemple de signal négatif envoyé aux investisseurs étrangers et locaux.

Les incitations aux investissements l’ont été depuis zaba et le Maroc a copié une partie du code. Abbou n’a donc rien à voir. Aujourd’hui les investisseurs étrangers n’ont pas confiance dans le pays et voient d’un mauvais œil le débat essentiellement théologique et religieux.

Cette « révolution » était une opportunité formidable pour hisser la Tunisie à un rang supérieur mais mal heureusement on est en train de rater dangereusement ce virage. J’ai une question à vous poser et prière de me répondre sans populisme car ça ne fera pas avancer le débat : économiquement qu’est- ce qu’on a gagné ?

Pour une bonne analyse de l’économie tunisienne, c’est un peu long et très instructif http://www.radioexpressfm.com/podcast/show/dr-moez-joudi-analyse-l-actualite-economique

Modifié (le) September 2, 2012 at 16:30 par Tarajilover

[Tarajilover]

Je pense que la situation économique du pays est plus profonde et compliquée qu'on peut la débattre sur un forum, il faut vraiment être un groupe d'experts économique et financier d'une part et qui connaissent la réalité de ce qui se passe au pays d'autre part pour pouvoir débattre ce sujet.

De ma part en tant que banquier, je peux vous assurer d'une chose: le pays règne dans une fraude fiscale: je n'ai jamais rencontré un professionnel ou une sté (autre que exportatrice) qui déclare la totalité de ses revenus (n'en parlons pas des médecins, commerçants, salon de thé, restos..), y' a que le simple citoyen salarié qui se voit déduire l’impôt avant même de recevoir son salaire.

Un autre point, j'en ai eu la confession de quelques clients (qui vivent avec la contre bande) m'ont assuré que les marchandises passent de la Lybie vers la Tunisie et vice versa d'une manière quotidienne et normale et sans contrôle douanier, faut juste connaitre le bon timing, circuit.. N'en parlons pas de l'importation massive de la chine ou la Turquie, les réseaux d'importations clandestines existent encore après l’ère de ben ali et Trabelsi..

Donc a mon avis, ces 2 grands chantiers peuvent constituer une source importante et supplémentaire pour l’état si le 1er chantier s’avère difficile, du fait qu'il s'agit d'une culture Tunisienne de ne pas payer le Fisc (le tunisien considère que payer le Fisc est de la perte de l'argent)et que l'administration fiscale en elle même a besoin d'une tandhifa..

Alors que pour les barrières douanières, il faut miser et déployer des efforts gigantesques pour protéger nos frontières..

Ce qui se passe actuellement dans notre chère Tunisie: est que le système économique est entrain de servir a 1 ou 2% de la population pr s'enrichir alors que les autres sont entrain de pourrir..

Je suis d'accord sur les deux points. Pour le deuxième par contre, la solution parait simple mais reste très délicate. En effet, il y a des régions qui ne vivent qu'avec cette contrebande. Prenons l'exemple de Ben Guerdane, il y a des contrebandiers qui se font 30 mille dinars par mois et ils ne laisseront pas faire facilement. il y a pleins de villes qui ne vivent qu'avec le trafic et ça sera dur de l'éradiquer.

[dream team]

juste pour l'anecdote ya Dream, en fouillant un peu dans l'histoire de notre pays, il s'avère que notre comportement de "tkarkir" et de "fuir le fisc" et de "sabba".. ça remonte à l'ère carthaginoise (je suis sérieux )

le remède était : un état solide avec un pouvoir exécutif d'un an non renouvelable , la suite vous la connaissez.

donc 7keyet el fisc s3Iba chwaya

ken 7ekeyt el fisc s3iba we7keyet contre bande s3iba, on finira le reste de notre vie dans la merde..

Même si, ça va prendre bcp de temps et de générations pour changer cette culture, mais au moins on pourra espérer changer les têtes dans l'administration fiscale et douanière..

Bilehi un douanier qui touche 500d ou 700d de salaire et qui trouve l'opportunité de gagner son salaire en 1 seule journée? il fera quoi? la plupart d'eux vont céder..

Donc faut tout revoir, faut de la volonté, un sens d'analyse et surtout une reforme sur tous les plans weli ybougi mba3d yekel 3la rassou..

[dream team]

Je suis d'accord sur les deux points. Pour le deuxième par contre, la solution parait simple mais reste très délicate. En effet, il y a des régions qui ne vivent qu'avec cette contrebande. Prenons l'exemple de Ben Guerdane, il y a des contrebandiers qui se font 30 mille dinars par mois et ils ne laisseront pas faire facilement. il y a pleins de villes qui ne vivent qu'avec le trafic et ça sera dur de l'éradiquer.

vous avez raison, il faut essayer de limiter les dégâts wakahaw, il faut renforcer le contrôle douanier avant ben guerden au niveau du Gabes, wedhref.., il faut également penser a offrir des solutions de rechange pour les jeunes de ben guerden pour travailler dans d'autres secteurs que la contre bande..

Sinon, ce qui nuit gravement a notre économie c'est l'importation massive, on ne peut plus parler de développement de l'industrie avec l'existence de ce fléau, des milliers de familles qui se voient au chômage a cause des usines qui ont fermés leurs portes et qui n'ont pas pu tenir le coup face a ces produits importés..

[tottiroma]

Eli 9alhélék yekdheb 3lik enti.

ili 9alli 3anna pétrole wala ili 9alli nbi3ou fih bléch ?

[dkanon]

ili 9alli 3anna pétrole wala ili 9alli nbi3ou fih bléch ?

illi 9allek 3andna pétrole w manech nbi3Ou fih blech

[Menfoutiste]

Je pense que la situation économique du pays est plus profonde et compliquée qu'on peut la débattre sur un forum, il faut vraiment être un groupe d'experts économique et financier d'une part et qui connaissent la réalité de ce qui se passe au pays d'autre part pour pouvoir débattre ce sujet.

De ma part en tant que banquier, je peux vous assurer d'une chose: le pays règne dans une fraude fiscale: je n'ai jamais rencontré un professionnel ou une sté (autre que exportatrice) qui déclare la totalité de ses revenus (n'en parlons pas des médecins, commerçants, salon de thé, restos..), y' a que le simple citoyen salarié qui se voit déduire l’impôt avant même de recevoir son salaire.

Un autre point, j'en ai eu la confession de quelques clients (qui vivent avec la contre bande) m'ont assuré que les marchandises passent de la Lybie vers la Tunisie et vice versa d'une manière quotidienne et normale et sans contrôle douanier, faut juste connaitre le bon timing, circuit.. N'en parlons pas de l'importation massive de la chine ou la Turquie, les réseaux d'importations clandestines existent encore après l’ère de ben ali et Trabelsi..

Donc a mon avis, ces 2 grands chantiers peuvent constituer une source importante et supplémentaire pour l’état si le 1er chantier s’avère difficile, du fait qu'il s'agit d'une culture Tunisienne de ne pas payer le Fisc (le tunisien considère que payer le Fisc est de la perte de l'argent)et que l'administration fiscale en elle même a besoin d'une tandhifa..

Alors que pour les barrières douanières, il faut miser et déployer des efforts gigantesques pour protéger nos frontières..

Ce qui se passe actuellement dans notre chère Tunisie: est que le système économique est entrain de servir a 1 ou 2% de la population pr s'enrichir alors que les autres sont entrain de pourrir..

la fraude fiscale ( contre bande en fait partie ) est devenu une politique d'état depuis des années, la tunisie est un pays bizarre, ou on avait régulièrement de la croissance mais ou les recettes fisacles de l'état sont en baissse

ce problème s'amplifie , lorsqu'on sait que les grand fraudeurs ont aussi de grandes dettes auprès des banques et sont de mauvais payeurs , ils sont de ce fait de triples voleurs, ils volent le fisc, ils volent les banques , et du coup ils volent les simples citoyens: empreint/création monétaire/inflation , et les capacités d'empreint des banques sont monopolisé par les même fraudeurs, aux dépend des petits entrepreneurs

et on pousse l'absurdité plus loin, puisque par exemple, on puni de prison les émetteurs de chèques sans provision alors que normalement, ce sont les banques qui sont responsables de l'émission des chèques et que la logique veut qu'on privilégie la survie économique des individus ( saisie sur salaire ) et des sociétés ( mise en redressement judiciaire )

sans parler du régime forfaitaire qui s'applique à des métiers n'ont aucun mal à déterminer avec précision leur chiffre d'affaire ( les médecins par exemple )

et tout ça nécessite des décisions courageuses, que le citoyen n'acceptera pas sur le court terme , car elle demandent des sacrifices, puisque lutter contre la contre bande veut dire des milliers de familles sans source de revenus, des milliers de familles qui ne pourront plus équiper leurs maisons, s'habiller , acheter des jouets pour leurs enfants

lutter contre l'évasion fiscale veut dire qu'on sera à la merci du chantage à l'emploi des hommes d'affaires pourris

reconnaître publiquement le problème des empreints qui ne seront jamais remboursés est synonyme d'une crise bancaire

... et malheureusement le tunisien ne veut pas entendre les mauvaises nouvelles et regarder la réalité en face

@tarajilover, lorsque j'écrirais une critique, et qu'on ne me dit pas que c'est une justification, j'arrêterais de parler de mauvaise foi

@tottiroma on n'avait pas de problème de pétrole jusqu'à l'année 2005 environ ( en terme rapport production/consommation), aujourd'hui la consommation augmente, la production diminue, et surtout la capacité de raffinage n'a pas beaucoup évolué ( une nouvelle station est en cours de réalisation ) ce qui nous empêchait de consommer notre pétrole ( on a besoin d'environ 100K baril par jour et la raffinerie de bizerte a une capacité de 34K baril ), et c'est normale que les revenus de vente par baril soient inférieurs au prix du baril sur le marché puisque ce ne sont pas des compagnies étatiques qui font la prospection et l'extraction , ki el falla7 elli i5adher ardhou il gagne beaucoup moins que dans le cas ou il s'occupe de la récolte et de la vente

[Taraji Power]

wiikbiis

"Hamadi Jebali, Hamed Karoui et Hédi Baccouche participent à un dîner d’hommes d’affaires."

Quelques centaines d’hommes d’affaires participent, en cette soirée du 2 septembre 2012, à un dîner « payant » à Sousse, dans la salle des fêtes "Jinen Khadija", lequel dîner est organisé par une association présidée par Nejib Karoui, fils de Hamed Karoui.

Hamadi Jebali, actuel chef du gouvernement et secrétaire général d’Ennahdha, participe à ce dîner, en compagnie de deux anciens premiers ministres et vice-présidents du RCD, Hédi Baccouche et Hamed Karoui. Les trois premiers ministres se trouveraient à la même table.

Notons que de nombreux hommes d’affaires, apparentés « RCD », participent également à ce dîner.

http://www.businessnews.com.tn/details_article.php?t=520&a=33184&temp=3&lang&fb_source=message

[za3bout]

wiikbiis

"Hamadi Jebali, Hamed Karoui et Hédi Baccouche participent à un dîner d’hommes d’affaires."

Quelques centaines d’hommes d’affaires participent, en cette soirée du 2 septembre 2012, à un dîner « payant » à Sousse, dans la salle des fêtes "Jinen Khadija", lequel dîner est organisé par une association présidée par Nejib Karoui, fils de Hamed Karoui.

Hamadi Jebali, actuel chef du gouvernement et secrétaire général d’Ennahdha, participe à ce dîner, en compagnie de deux anciens premiers ministres et vice-présidents du RCD, Hédi Baccouche et Hamed Karoui. Les trois premiers ministres se trouveraient à la même table.

Notons que de nombreux hommes d’affaires, apparentés « RCD », participent également à ce dîner.

http://www.businessnews.com.tn/details_article.php?t=520&a=33184&temp=3&lang&fb_source=message

Et c'est les autres biensure qui s'associe aux anciens RCD ... Essebssi, hammami, etd .. Tous le monde Sauf les monsieurs propres de ennahdha. (radhya allahou 3lihom, wa7id wa7id)

[Bati]

d7712f4c28ed67e7cf0bd3bf1ceac4f6