Aller au contenu

[F1] Saison 2011


El Roi

Recommended Posts

  • 2 weeks later...
  • 2 weeks later...
  • 2 weeks later...

excellent GP [saffak]

1/ Hamilton : trés rapide et course sans la moindre faute

2/Alonso : égale à lui même [drabou]

3/Webber : rate son départ = rate sa course

4/Vettel : a eu certains problemes techniques surtout au niveau des freins

5/Massa : a quand le team Ferrari lui accorde une telle stratégie qui se répète d'un GP à un autre ? :angry:

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 2 months later...
Grand Prix du Japon - Vettel, champion dans l'indifférence

Sebastian Vettel (Red Bull) peut devenir dimanche le plus jeune double champion du monde de l'histoire de la F1, à l'issue du Grand Prix du Japon. Pourtant, l'Allemand semble souffrir d'un manque de reconnaissance et intéresse peu le grand public. Tentative d'explications.

Sebastian Vettel titré en 2011, ça ne fait plus aucun doute. L'Allemand a besoin d'un point pour ajouter son nom au panthéon des pilotes double champion du monde. D'autres avant lui ont connu cette joie : Jim Clark (1963, 1965), Mika Häkkinen (1998, 1999) ou plus récemment Fernando Alonso (2005, 2006) pour ne citer qu'eux. Vettel devrait d'ailleurs détrôné l'Espagnol pour devenir le plus jeune pilote de l'histoire à obtenir une double consécration. A 24 ans. Mais cela n'empêche pas "Baby Schumi" de souffrir d'un manque de reconnaissance de la part du grand public. Pourquoi ?

. Une domination sans partage

Vettel peut devenir dimanche le plus jeune double champion du monde. Pourtant, l'Allemand intéresse peu le grand public. Pourquoi ? - 2 "A vaincre sans péril, on triomphe sans gloire". A l'image de la domination de Michael Schumacher chez Ferrari au début des années 2000 qui avait fini par lasser, celle de Sebastian Vettel lui nuirait-elle ? C'est possible. Vainqueur de neuf des quatorze Grands Prix de la saison, le pilote allemand a rarement du batailler pour imposer sa RB7 (très) au dessus du lot. Mais reprocher à Vettel de tuer le suspense et de gagner grâce à une voiture performante, c'est lui faire un mauvais procès. L'Allemand a signé 11 pole positions contre 3 à son équipier Mark Webber qui dispose pourtant du même matériel. C'est déjà un premier succès. Et il a réalisé quelques beaux dépassements, le dernier en date au 5e tour du Grand Prix d'Italie lorsqu'il prend le meilleur sur Fernando Alonso dans la Curva Grande avec deux roues dans l'herbe. Osé pour ne pas dire risqué.

. Une image trop lisse ?

Avec sa tête de jeune premier, Vettel n'a pas le charisme d'un Alonso ou d'un Hamilton. Certes. Son surnom de "Baby Schumi" qui lui a longtemps collé à la peau - et qui lui colle encore un peu - ne l'aide pas non plus à se forger sa propre personnalité. Pourtant Vettel est un gagnant, un pilote qui sait fédérer autour de lui. Après chaque victoire, il n'oublie jamais de féliciter son équipe dès le drapeau à damier franchi. En vrai team player. Et puis son gimmick de pointer le doigt au ciel sur le podium n'est pas encore aussi célèbre que le saut de cabri de Schumacher. Mais il commence à marquer les victoires de son sceau.

. Il gagne avec Red Bull

"Red Bull n'est pas un constructeur, c'est un marchand de boissons. C'est une société de boissons contre l'histoire McLaren/Ferrari." En mars dernier, Lewis Hamilton a eu des mots durs envers l'équipe de Milton Keynes à laquelle appartient Sebastian Vettel. C'est peut-être exagéré mais remporter un titre avec RBR n'aura évidemment jamais la même saveur qu'un titre décroché avec un constructeur historique. Si Vettel avait gagné avec Ferrari depuis trois saisons, il serait adulé par les tifosis. La question aurait été tout autre, c'est certain.

. Trop "couvé" par Red Bull

Vettel peut devenir dimanche le plus jeune double champion du monde. Pourtant, l'Allemand intéresse peu le grand public. Pourquoi ? - 3 Soutenu depuis l'âge de huit ans par Red Bull, Vettel a gravi un à un les échelons du sport automobile. Avec brio. Sa carrière n'a connu aucun accroc. De ses premiers tours de monoplaces en Formule BMW en 2003 à sa titularisation en Formule 1 en cours de saison 2007 chez Toro Rosso, le prodige a toujours répondu aux attentes de son employeur et surtout celles de Helmut Marko, l'exigeant responsable de la filière Red Bull. Titularisé dans l'équipe une de Dietrich Mateschitz en 2009, il obtient quelques faveurs de son team en 2010 par rapport à son équipier. La plus frappante reste l'épisode de Silverstone où Red Bull décide de retirer le nouvel aileron de la monoplace de Webber pour le mettre sur celle de Vettel. Favorisé, chouchouté Vettel ? Aux dépens d'une certaine forme de débrouille qui rend le succès plus beau ? Certains le pensent. Mais Red Bull est en droit d'attendre un retour sur investissement après avoir énormément misé sur un pilote. C'est aussi le lot d'un autre pilote dans le paddock, Lewis Hamilton, élevé au biberon McLaren. Sans que personne ne trouve rien à y redire.

Hadrien HIAULT / Eurosport

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Pasted as rich text.   Paste as plain text instead

  Only 75 emoji are allowed.

×   Your link has been automatically embedded.   Display as a link instead

×   Your previous content has been restored.   Clear editor

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.

Chargement
  • En ligne récemment   0 membre est en ligne

    • Aucun utilisateur enregistré regarde cette page.
×
×
  • Créer...