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Un certain John Wayne sur BN :

Q-1 : La Turquie a abattu un Sukhoi Russe aux dessus de ses frontières avec la Syrie. S'agit-il d'un incident grave ou d'un incident aux conséquences limitées ? 
JW : Il s'agit d'un des incidents les plus grave de notre époque contemporaine, encore plus grave que celui de la crise des missiles de Cuba ou de l'attaque de la Baie de Cochons car le contexte est entièrement diffèrent puisque la guerre en Syrie représente une guerre de nécessité pour la Russie qui défend son existence même. Au lendemain de la deuxième guerre mondiale, Moscou luttait pour une extension de l'influence communiste dans le Monde. Elle soutenait des états qui étaient soit communistes, soit des alliés militaires alignés ou non comme l'Egypte ou la Yougoslavie. L'Union Soviétique n'a jamais vécu de menace ou de guerre à ses frontières mêmes. Même la fin de la guerre en Afghanistan a été marquée par une entente qui permettrait un retrait des Soviétiques et un respect de ses frontières. Si les Etats Unis voyaient pendant la première guerre froide une menace du type de la théorie du domino qui ferait que des états joindraient le bloc communiste successivement de façon à encercler et à menacer l'existence même des Etats Unis, ce même théorème est celui qui anime la stratégie militaire de la Russie. La chute du régime de Bashar Al Assad signifierait la disparition d'un régime laïque tampon contre l'islamisme et l'exposition directe de la Russie à une guerre de Jihad qui s'étendrait a une grande partie de son territoire. Lors de la crise des missiles de Cuba, Washington a été confronté à une menace nucléaire dont la source était une ile située à vol d'oiseau de son territoire. La même menace existe aujourd'hui pour la Russie pour qui la Syrie est le dernier rempart avant une implosion possible des territoires Russes par un Jihad interne mais aussi externe. La Russie veut s'éviter un scenario macabre ou des milliers de Djihadistes étrangers franchiraient les frontières Russes et avanceraient vers Moscou avec l'aide de l'OTAN et des pétromonarchies du Golfe et d'Arabie. 


Q-2 : Quelles sont les options possibles pour Moscou ? 
JW : Dans une situation ou la Russie combat des Djihadistes Russes qui menacent de regagner le territoire et d'y débuter un Jihad sanglant, Moscou ne dispose que de peu d'options. La Russie ne peut en aucun cas faire marche arrière. Le contrôle du territoire Syrien par l'armée de l'air Russe représente une étape vitale dans cette guerre de survie. Moscou pourrait décider d'étendre l'espace de contrôle vital à sa survie au territoire Turque. Ce qui signifie que la Russie pourrait décider de la création d'une zone de sécurité a l'intérieur même du territoire Turque afin de protéger ses vols limitrophes de la frontière avec la Syrie et où se trouvent les factions rebelles loyales a Al Qaeda et qui disposent de la technologie militaire Américaine comme les missiles TOW. C'est dans cette zone que l'on retrouve aussi la plus forte concentration en conseillers militaires de la CIA et du Pentagone. Moscou peut, moyennant sa technologie de surveillance satellite couplée a sa technologie de missiles balistiques dont les plateformes sont ses destroyers et ses sous-marins, créer une véritable zone d'exclusion aérienne a l'intérieur du territoire Turque. Une option militaire qui forcerait Ankara a opter pour une retraite stratégique dans l'espoir de s'éviter un conflit militaire total avec Moscou. Sans le savoir, la Turquie s'est mise dans une situation dans laquelle elle ne peut que sortir humiliée, même si son but ultime est la création d'une confrontation directe entre l'OTAN et la Russie.

Q-3 : Pourquoi la Turquie désire-t-elle une confrontation directe entre l'OTAN et la Russie ? 
JW : Erdogan est en train de perdre sa guerre pour un Islam sunnite qui s'étendrait de Constantinople à l'Arabie Saoudite. La Russie par ses bombardements aux frontières Turques a enrayé le flot de pétrole de contrebande qui lie les territoires Nord de l'Irak et de la Syrie aux territoires Turques ou les hydrocarbures quittent ensuite pour le port d'Eilat en Israël. Les bombardements Russes renforcent les positions des Kurdes en Syrie qui rêvent d'un état indépendant. Erdogan est un homme qui joue ses dernières cartes. La victoire de Bashar Al Assad signifierait la fin des islamistes Turques et un renversement de pouvoir en Turquie au profit de l'armée et des Kamelistes. Une ville de Damas encerclée met Erdogan dans une position de force. Damas est le Stalingrad des Arabes et comme lors de cette bataille historique qui a opposé les Nazis aux Soviétiques, la victoire des Russes et de Bashar Al Assad pourrait déborder vers la Turquie et créer ce raz de marée Nationaliste que je mentionne depuis des années. La victoire de l'armée Arabe Syrienne signifierait un mouvement inverse du printemps Arabe qui touchera même Tunis et Rabat. 

Q-4 : Quelles sont les autres options militaires possibles de Moscou ? 
JW : La gravité de l'incident provient des raisons déjà énumérées ci-dessus mais il y a aussi le simple fait que Moscou déplore la mort d'au moins un de ses pilotes. Il s'agit d'un incident très fort en symboles. Les pilotes de chasse représentent l'élite de l'armée Russe. L'histoire de l'Union Soviétique est riche en pilotes qui devinrent des héros par leurs exploits lors de la seconde guerre mondiale comme par exemple Alexey Petrovich Maresyev qui fut amputé de ses deux jambes en combattant les nazis de son Polikarpov I-16, mais qui retourna au combat en 1943 en pilotant son avion de chasse avec des prothèses des jambes. Moscou pourrait opter pour des représailles de type « Shock and awe » lors desquelles des symboles du régime d'Erdogan seraient détruit par missiles balistiques. Une destruction totale du Palais d'Erdogan à Ankara par des missiles balistiques Russes qui pénètreraient la couverture en missiles Patriote Turques est une possibilité réelle aujourd'hui surtout qu'une telle destruction favorisait un changement de régime en Turquie. L'option de destruction nucléaire d'une ville qui serait le fief de DAECH est également une possibilité. Les Russes même s'ils sont humbles sont un peuple puissant et même si Erdogan et ses adeptes de l'Islam politique Turque se pensent en sécurité car ils disposent d'une protection théorique de l'OTAN, celle-ci ne les protègerait pas à temps en cas de confrontation militaire avec la Russie. La Russie pourrait décider très bientôt de lancer un message très fort au reste du monde. 

F.M. Alias JOHN WAYNE 
Diplômé d'Histoire et de Sciences Politiques de l'Université Paris-Sorbonne. 
Ancien Fonctionnaire aux Ministères des Affaires Etrangères et de l'Intérieur Tunisiens des gouvernements d'Habib Bourguiba et de Zine El Abidine Ben Ali. 
Diplomate de carrière et spécialiste de la sécurité et du renseignement. 

Modifié (le) par Sango
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Un certain John Wayne sur BN :

Q-1 : La Turquie a abattu un Sukhoi Russe aux dessus de ses frontières avec la Syrie. S'agit-il d'un incident grave ou d'un incident aux conséquences limitées ? 
JW : Il s'agit d'un des incidents les plus grave de notre époque contemporaine, encore plus grave que celui de la crise des missiles de Cuba ou de l'attaque de la Baie de Cochons car le contexte est entièrement diffèrent puisque la guerre en Syrie représente une guerre de nécessité pour la Russie qui défend son existence même. Au lendemain de la deuxième guerre mondiale, Moscou luttait pour une extension de l'influence communiste dans le Monde. Elle soutenait des états qui étaient soit communistes, soit des alliés militaires alignés ou non comme l'Egypte ou la Yougoslavie. L'Union Soviétique n'a jamais vécu de menace ou de guerre à ses frontières mêmes. Même la fin de la guerre en Afghanistan a été marquée par une entente qui permettrait un retrait des Soviétiques et un respect de ses frontières. Si les Etats Unis voyaient pendant la première guerre froide une menace du type de la théorie du domino qui ferait que des états joindraient le bloc communiste successivement de façon à encercler et à menacer l'existence même des Etats Unis, ce même théorème est celui qui anime la stratégie militaire de la Russie. La chute du régime de Bashar Al Assad signifierait la disparition d'un régime laïque tampon contre l'islamisme et l'exposition directe de la Russie à une guerre de Jihad qui s'étendrait a une grande partie de son territoire. Lors de la crise des missiles de Cuba, Washington a été confronté à une menace nucléaire dont la source était une ile située à vol d'oiseau de son territoire. La même menace existe aujourd'hui pour la Russie pour qui la Syrie est le dernier rempart avant une implosion possible des territoires Russes par un Jihad interne mais aussi externe. La Russie veut s'éviter un scenario macabre ou des milliers de Djihadistes étrangers franchiraient les frontières Russes et avanceraient vers Moscou avec l'aide de l'OTAN et des pétromonarchies du Golfe et d'Arabie. 


Q-2 : Quelles sont les options possibles pour Moscou ? 
JW : Dans une situation ou la Russie combat des Djihadistes Russes qui menacent de regagner le territoire et d'y débuter un Jihad sanglant, Moscou ne dispose que de peu d'options. La Russie ne peut en aucun cas faire marche arrière. Le contrôle du territoire Syrien par l'armée de l'air Russe représente une étape vitale dans cette guerre de survie. Moscou pourrait décider d'étendre l'espace de contrôle vital à sa survie au territoire Turque. Ce qui signifie que la Russie pourrait décider de la création d'une zone de sécurité a l'intérieur même du territoire Turque afin de protéger ses vols limitrophes de la frontière avec la Syrie et où se trouvent les factions rebelles loyales a Al Qaeda et qui disposent de la technologie militaire Américaine comme les missiles TOW. C'est dans cette zone que l'on retrouve aussi la plus forte concentration en conseillers militaires de la CIA et du Pentagone. Moscou peut, moyennant sa technologie de surveillance satellite couplée a sa technologie de missiles balistiques dont les plateformes sont ses destroyers et ses sous-marins, créer une véritable zone d'exclusion aérienne a l'intérieur du territoire Turque. Une option militaire qui forcerait Ankara a opter pour une retraite stratégique dans l'espoir de s'éviter un conflit militaire total avec Moscou. Sans le savoir, la Turquie s'est mise dans une situation dans laquelle elle ne peut que sortir humiliée, même si son but ultime est la création d'une confrontation directe entre l'OTAN et la Russie.

Q-3 : Pourquoi la Turquie désire-t-elle une confrontation directe entre l'OTAN et la Russie ? 
JW : Erdogan est en train de perdre sa guerre pour un Islam sunnite qui s'étendrait de Constantinople à l'Arabie Saoudite. La Russie par ses bombardements aux frontières Turques a enrayé le flot de pétrole de contrebande qui lie les territoires Nord de l'Irak et de la Syrie aux territoires Turques ou les hydrocarbures quittent ensuite pour le port d'Eilat en Israël. Les bombardements Russes renforcent les positions des Kurdes en Syrie qui rêvent d'un état indépendant. Erdogan est un homme qui joue ses dernières cartes. La victoire de Bashar Al Assad signifierait la fin des islamistes Turques et un renversement de pouvoir en Turquie au profit de l'armée et des Kamelistes. Une ville de Damas encerclée met Erdogan dans une position de force. Damas est le Stalingrad des Arabes et comme lors de cette bataille historique qui a opposé les Nazis aux Soviétiques, la victoire des Russes et de Bashar Al Assad pourrait déborder vers la Turquie et créer ce raz de marée Nationaliste que je mentionne depuis des années. La victoire de l'armée Arabe Syrienne signifierait un mouvement inverse du printemps Arabe qui touchera même Tunis et Rabat. 

Q-4 : Quelles sont les autres options militaires possibles de Moscou ? 
JW : La gravité de l'incident provient des raisons déjà énumérées ci-dessus mais il y a aussi le simple fait que Moscou déplore la mort d'au moins un de ses pilotes. Il s'agit d'un incident très fort en symboles. Les pilotes de chasse représentent l'élite de l'armée Russe. L'histoire de l'Union Soviétique est riche en pilotes qui devinrent des héros par leurs exploits lors de la seconde guerre mondiale comme par exemple Alexey Petrovich Maresyev qui fut amputé de ses deux jambes en combattant les nazis de son Polikarpov I-16, mais qui retourna au combat en 1943 en pilotant son avion de chasse avec des prothèses des jambes. Moscou pourrait opter pour des représailles de type « Shock and awe » lors desquelles des symboles du régime d'Erdogan seraient détruit par missiles balistiques. Une destruction totale du Palais d'Erdogan à Ankara par des missiles balistiques Russes qui pénètreraient la couverture en missiles Patriote Turques est une possibilité réelle aujourd'hui surtout qu'une telle destruction favorisait un changement de régime en Turquie. L'option de destruction nucléaire d'une ville qui serait le fief de DAECH est également une possibilité. Les Russes même s'ils sont humbles sont un peuple puissant et même si Erdogan et ses adeptes de l'Islam politique Turque se pensent en sécurité car ils disposent d'une protection théorique de l'OTAN, celle-ci ne les protègerait pas à temps en cas de confrontation militaire avec la Russie. La Russie pourrait décider très bientôt de lancer un message très fort au reste du monde. 

F.M. Alias JOHN WAYNE 
Diplômé d'Histoire et de Sciences Politiques de l'Université Paris-Sorbonne. 
Ancien Fonctionnaire aux Ministères des Affaires Etrangères et de l'Intérieur Tunisiens des gouvernements d'Habib Bourguiba et de Zine El Abidine Ben Ali. 
Diplomate de carrière et spécialiste de la sécurité et du renseignement. 

Un lien FB stp?

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Un lien FB stp?

Il n'y en a pas. Ce gars écrit en commentaires d'articles de businnessnews sous le pseudo John Wayne.

 

La Russie déconseille à ses citoyens de se rendre en Turquie. C'est 3 millions de rouristes par an, le deuxième contingent après les britanniques. Dans un secteur touristique déjà en crise, c'est un coup de grâce.  

 

Sur le plan militaire, Les Russes renforcent leur défenses en Syrie avec l'envoi d'un croiseur et Désormais tous les bombardier voleront sous protection aérienne.

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Tiens en parlant de crise au niveau du tourisme, à Paris et selon les chiffres de booking.com on est à 80% d annulation sur novembre.

A l hotel ou je travaille, on est à -150 000 Euros de l'objectif annuel, je vous laisse imaginez l'ambiance ... 

Hier ce genre de crise été chez les autres, aujourdhui c'est "chez nous".

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par principe, l'avion russe n'a pas le droit de franchir la frontière truque.

déjà si l'intervention russe en Syrie est "légale", c'est parce que le régime Syrien (reconnu internationalement) l'a demandée, par contre la Turquie (qu'elle abrite des terroristes, des criminels, ou des dinosaures) elle n'a rien demandé à la Russie qui n'a pas le droit de violer son espace aérien.

si la Russie possède des informations, elle doit les transmettre à l'armée turque qui fait ce que bon lui semble sur son territoire, pas plus.

sachant que les pays qui se respectent, considèrent le viol de leur espace aérien comme une déclaration de guerre.

 

quand même manech bech netne9chou fi 1+1=2.

 

Le principe tu dis?

Le même Erdogan déplorait une attaque lâche et éhontée quand le régime Syrien a abattu son F-4 en 2012.

Il s'était défendu que l'avion étant dans l'espace international mais après analyses il s'est avéré qu'il a bel et bien survolé l'espace aérien Syrien.

Il n'a rien trouvé à dire alors que 'A short-term border violation can never be a pretext for an attack' traduisez qu'une violation de frontière de courte durée ne peut en aucun cas être un prétexte pour une attaque. http://www.bbc.com/news/world-middle-east-18584872

Où est le principe là dedans?

Peut-être que tu parles d'un autre principe propre aux islamistes le "7lel 3lina 7ram 3likom".

Il ne faut pas se voiler la face, la présence Russe en Syrie et les derniers bombardements visant des fuel tanks daechiens exaspère au plus haut point les turcs qui bénéficiaient de l'écoulement de ce pétrole à bas prix, ce pétrole de contrebande finance en grande partie l'état islamique.

Je te conseille de lire cet article du HuffPost http://www.huffingtonpost.fr/2014/10/11/daech-petrole-etat-islamique-marche-petrolier_n_5964614.html

 

 

Modifié (le) par hebboss
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قال الرئيس التركي، رجب طيب أردوغان، إنه لو كانت أنقرة على علم بأن الطائرة روسية، لكانت تصرفت حيالها بشكل مختلف.

ففي تصريحات لتلفزيون فرانس 24 قال أردوغان اليوم الخميس "لو كنا نعلم أنها طائرة روسية ربما كنا حذرناها بشكل مختلف"، وأضاف أنه حاول الاتصال بالرئيس الروسي فلاديمير بوتين، ولكن الرئيس الروسي لم يرد على اتصاله الهاتفي بعد الحادث، الذي وقع أول أمس الثلاثاء.

وأعلن أردوغان، أنه اقترح "عقد اجتماع مع الرئيس الروسي في باريس يوم 30 تشرين الثاني/نوفمبر [على هامش قمة المناخ]، ولكني لم أتلقَ رداً حتى الآن".

كان المتحدث باسم الرئاسة الروسية، ديميتري بيسكوف، قال في وقت سابق اليوم إن أجندة الأعمال لا تتضمن اجتماعاً بين بوتين وإردوغان.

 
 
9addechou remzz ce Poutine :D
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قال الرئيس التركي، رجب طيب أردوغان، إنه لو كانت أنقرة على علم بأن الطائرة روسية، لكانت تصرفت حيالها بشكل مختلف.

ففي تصريحات لتلفزيون فرانس 24 قال أردوغان اليوم الخميس "لو كنا نعلم أنها طائرة روسية ربما كنا حذرناها بشكل مختلف"، وأضاف أنه حاول الاتصال بالرئيس الروسي فلاديمير بوتين، ولكن الرئيس الروسي لم يرد على اتصاله الهاتفي بعد الحادث، الذي وقع أول أمس الثلاثاء.

وأعلن أردوغان، أنه اقترح "عقد اجتماع مع الرئيس الروسي في باريس يوم 30 تشرين الثاني/نوفمبر [على هامش قمة المناخ]، ولكني لم أتلقَ رداً حتى الآن".

كان المتحدث باسم الرئاسة الروسية، ديميتري بيسكوف، قال في وقت سابق اليوم إن أجندة الأعمال لا تتضمن اجتماعاً بين بوتين وإردوغان.

 
 
9addechou remzz ce Poutine :D

Erdogan: 3anna kelma fi tounès: el 5ouf ijarrif ejjouf

 

:D

 

Tawwa wallet ken jina fi belna elli hiyya tayyara rousiyya... Malla Erdogan. 

En lisant un peu, j'ai vu que le beau-fils d'Erdogan la trentaine a été nommé ministre de l'Energie. Ca vous rappelle pas quelqu'un :)

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Erdogan: 3anna kelma fi tounès: el 5ouf ijarrif ejjouf

 

:D

 

Tawwa wallet ken jina fi belna elli hiyya tayyara rousiyya... Malla Erdogan. 

En lisant un peu, j'ai vu que le beau-fils d'Erdogan la trentaine a été nommé ministre de l'Energie. Ca vous rappelle pas quelqu'un :)

c'est une secte ils agissent pareil mais ne parlent pas la même langue il faut juste trouver la traduction de "Bou Chleka" en Turc :)

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hahahaha wallahi idha7kou ! la frontiere turque avec la syrie etait une passoire où des miiliers de rats ont transités , la Turquie qui a fermé sa frontiere aux Kurdes de Turquie qui voulaient aller combattre au pres des Kurdes et on ne sait toujours pas pourquoi (enfin si on le sait) , la Turquie où transite le petrole de daesch , acheté des clopinettes , melanger au petrole "legale" puis revendu !

j'invite tout le monde à regarder le special investigation sur l'argent de daech et vous verrez le role de la Turquie et de ce fils de p*** d'erdogan.

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hahahaha wallahi idha7kou ! la frontiere turque avec la syrie etait une passoire où des miiliers de rats ont transités , la Turquie qui a fermé sa frontiere aux Kurdes de Turquie qui voulaient aller combattre au pres des Kurdes et on ne sait toujours pas pourquoi (enfin si on le sait) , la Turquie où transite le petrole de daesch , acheté des clopinettes , melanger au petrole "legale" puis revendu !

j'invite tout le monde à regarder le special investigation sur l'argent de daech et vous verrez le role de la Turquie et de ce fils de p*** d'erdogan.

pour le pétrole de Daech tout le monde en a profité: US, régime syrien et Turquie, et chaque camp accuse l'autre de profiter...et  ceux que tu apelles des rats, est ce qu'ils sont passés légalement par les frontières officielles ou bien ils ont utilisé les circuits des contre bandistes? Il est certain que la Turquie a facilité ou fermé l'oeil sur le transit des gens vers Nosra et l'amrée libre, mais par rapport à Daech il faut des preuves.

http://www.huffingtonpost.fr/2014/10/11/daech-petrole-etat-islamique-marche-petrolier_n_5964614.html

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Un certain John Wayne sur BN :

Q-1 : La Turquie a abattu un Sukhoi Russe aux dessus de ses frontières avec la Syrie. S'agit-il d'un incident grave ou d'un incident aux conséquences limitées ? 
JW : Il s'agit d'un des incidents les plus grave de notre époque contemporaine, encore plus grave que celui de la crise des missiles de Cuba ou de l'attaque de la Baie de Cochons car le contexte est entièrement diffèrent puisque la guerre en Syrie représente une guerre de nécessité pour la Russie qui défend son existence même. Au lendemain de la deuxième guerre mondiale, Moscou luttait pour une extension de l'influence communiste dans le Monde. Elle soutenait des états qui étaient soit communistes, soit des alliés militaires alignés ou non comme l'Egypte ou la Yougoslavie. L'Union Soviétique n'a jamais vécu de menace ou de guerre à ses frontières mêmes. Même la fin de la guerre en Afghanistan a été marquée par une entente qui permettrait un retrait des Soviétiques et un respect de ses frontières. Si les Etats Unis voyaient pendant la première guerre froide une menace du type de la théorie du domino qui ferait que des états joindraient le bloc communiste successivement de façon à encercler et à menacer l'existence même des Etats Unis, ce même théorème est celui qui anime la stratégie militaire de la Russie. La chute du régime de Bashar Al Assad signifierait la disparition d'un régime laïque tampon contre l'islamisme et l'exposition directe de la Russie à une guerre de Jihad qui s'étendrait a une grande partie de son territoire. Lors de la crise des missiles de Cuba, Washington a été confronté à une menace nucléaire dont la source était une ile située à vol d'oiseau de son territoire. La même menace existe aujourd'hui pour la Russie pour qui la Syrie est le dernier rempart avant une implosion possible des territoires Russes par un Jihad interne mais aussi externe. La Russie veut s'éviter un scenario macabre ou des milliers de Djihadistes étrangers franchiraient les frontières Russes et avanceraient vers Moscou avec l'aide de l'OTAN et des pétromonarchies du Golfe et d'Arabie. 


Q-2 : Quelles sont les options possibles pour Moscou ? 
JW : Dans une situation ou la Russie combat des Djihadistes Russes qui menacent de regagner le territoire et d'y débuter un Jihad sanglant, Moscou ne dispose que de peu d'options. La Russie ne peut en aucun cas faire marche arrière. Le contrôle du territoire Syrien par l'armée de l'air Russe représente une étape vitale dans cette guerre de survie. Moscou pourrait décider d'étendre l'espace de contrôle vital à sa survie au territoire Turque. Ce qui signifie que la Russie pourrait décider de la création d'une zone de sécurité a l'intérieur même du territoire Turque afin de protéger ses vols limitrophes de la frontière avec la Syrie et où se trouvent les factions rebelles loyales a Al Qaeda et qui disposent de la technologie militaire Américaine comme les missiles TOW. C'est dans cette zone que l'on retrouve aussi la plus forte concentration en conseillers militaires de la CIA et du Pentagone. Moscou peut, moyennant sa technologie de surveillance satellite couplée a sa technologie de missiles balistiques dont les plateformes sont ses destroyers et ses sous-marins, créer une véritable zone d'exclusion aérienne a l'intérieur du territoire Turque. Une option militaire qui forcerait Ankara a opter pour une retraite stratégique dans l'espoir de s'éviter un conflit militaire total avec Moscou. Sans le savoir, la Turquie s'est mise dans une situation dans laquelle elle ne peut que sortir humiliée, même si son but ultime est la création d'une confrontation directe entre l'OTAN et la Russie.

Q-3 : Pourquoi la Turquie désire-t-elle une confrontation directe entre l'OTAN et la Russie ? 
JW : Erdogan est en train de perdre sa guerre pour un Islam sunnite qui s'étendrait de Constantinople à l'Arabie Saoudite. La Russie par ses bombardements aux frontières Turques a enrayé le flot de pétrole de contrebande qui lie les territoires Nord de l'Irak et de la Syrie aux territoires Turques ou les hydrocarbures quittent ensuite pour le port d'Eilat en Israël. Les bombardements Russes renforcent les positions des Kurdes en Syrie qui rêvent d'un état indépendant. Erdogan est un homme qui joue ses dernières cartes. La victoire de Bashar Al Assad signifierait la fin des islamistes Turques et un renversement de pouvoir en Turquie au profit de l'armée et des Kamelistes. Une ville de Damas encerclée met Erdogan dans une position de force. Damas est le Stalingrad des Arabes et comme lors de cette bataille historique qui a opposé les Nazis aux Soviétiques, la victoire des Russes et de Bashar Al Assad pourrait déborder vers la Turquie et créer ce raz de marée Nationaliste que je mentionne depuis des années. La victoire de l'armée Arabe Syrienne signifierait un mouvement inverse du printemps Arabe qui touchera même Tunis et Rabat. 

Q-4 : Quelles sont les autres options militaires possibles de Moscou ? 
JW : La gravité de l'incident provient des raisons déjà énumérées ci-dessus mais il y a aussi le simple fait que Moscou déplore la mort d'au moins un de ses pilotes. Il s'agit d'un incident très fort en symboles. Les pilotes de chasse représentent l'élite de l'armée Russe. L'histoire de l'Union Soviétique est riche en pilotes qui devinrent des héros par leurs exploits lors de la seconde guerre mondiale comme par exemple Alexey Petrovich Maresyev qui fut amputé de ses deux jambes en combattant les nazis de son Polikarpov I-16, mais qui retourna au combat en 1943 en pilotant son avion de chasse avec des prothèses des jambes. Moscou pourrait opter pour des représailles de type « Shock and awe » lors desquelles des symboles du régime d'Erdogan seraient détruit par missiles balistiques. Une destruction totale du Palais d'Erdogan à Ankara par des missiles balistiques Russes qui pénètreraient la couverture en missiles Patriote Turques est une possibilité réelle aujourd'hui surtout qu'une telle destruction favorisait un changement de régime en Turquie. L'option de destruction nucléaire d'une ville qui serait le fief de DAECH est également une possibilité. Les Russes même s'ils sont humbles sont un peuple puissant et même si Erdogan et ses adeptes de l'Islam politique Turque se pensent en sécurité car ils disposent d'une protection théorique de l'OTAN, celle-ci ne les protègerait pas à temps en cas de confrontation militaire avec la Russie. La Russie pourrait décider très bientôt de lancer un message très fort au reste du monde. 

F.M. Alias JOHN WAYNE 
Diplômé d'Histoire et de Sciences Politiques de l'Université Paris-Sorbonne. 
Ancien Fonctionnaire aux Ministères des Affaires Etrangères et de l'Intérieur Tunisiens des gouvernements d'Habib Bourguiba et de Zine El Abidine Ben Ali. 
Diplomate de carrière et spécialiste de la sécurité et du renseignement. 

J'ai rarement lu autant de conneries concentrées en si peu de mots.

Si ça c'est vraiment un élément de notre ministère des A.E, un diplomate de carrière et un spécialiste de la sécurité et du renseignement, je comprend pourquoi notre diplomatie et nos renseignements sont si nuls.

C'est incroyable de dire autant d'idiotie. Diplômé d'histoire et de Sciences Po (va savoir quel diplome), et il nous pond ça ?

Un conseil d'un non "spécialiste", ne copier pas ces bêtises, c'est tout au plus ridicule.

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En lisant un peu, j'ai vu que le beau-fils d'Erdogan la trentaine a été nommé ministre de l'Energie. Ca vous rappelle pas quelqu'un :)

Ça rappelle ... Ben Ali qui a fait monter en puissance Sakhr.

Ça rappelle ... Ghannouchi qui a placé son beau-fils ministre.

Ça rappelle Sarkozy qui a essayé de glisser son fils ...

Ça rappelle les dynasties Bush, Clinton, Kennedy ...

Ça rappelle Kirchner époux et femme en Argentine.

Ça rappelle les Bhutto au Pakistan.

Ça rappelle Sebsi qui nous glisse son fils.

Ça rappelle Delors et Aubry.

Ne parlons même pas du Liban. Ou des pays africains ...

Et basiquement ça s'appelle le népotisme, c'est universel, intemporel, indépendant du régime ou de l'idéologie.

 

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Je vais vous raconter une longue histoire.

En 1971, une poche de gaz gigantesque a été découverte, dans le golfe persique, répartie à moitié moitié entre le Qatar et l'Iran. Cette poche, les qataris l'ont nommé North Dome, et les perses - ou iraniens - l'ont nommée South Pars (rien à voir avec Eric Cartman).

Cette poche de gaz représente 20% des réserves naturelles de gaz du monde. Le Qatar a commencé les forages en 1988, pour passer, à partir de 1996, en phase de production et augmenter progressivement sa capacité de production, au fil des années.

L’Iran, du fait du blocus économique qui le frappait, n'a pu commencer l'exploitation de ce champ que bien plus tard, mais rattrape depuis son retard.

De l'autre côté, schématiquement, l'Europe est un gigantesque consommateur de gaz qui ne produit pratiquement rien et doit tout acheter sur le marché international. Les trois grandes sources de gaz qui alimentent l'Europe sont l'Algérie, les champs de la mer du nord (exploités par le royaume uni et la Norvège)... et la Russie.

La Russie ayant réussi à nouer des liens proches avec l'Algérie, l'Europe vit donc dans une situation de dépendance stratégique permanente vis-à-vis d'une coupure toujours possible du gaz russe qui, si elle était également appliquée par l'Algérie, plongerait l'Europe dans une crise énergétique grave.

La conjonction de ces deux facteurs, d'un côté un Qatar et un Iran producteurs massifs d'un gaz abondant, et de l'autre d'une Europe qui voudrait diversifier ses sources d'approvisionnement énergétiques, tout cela explique le rapprochement entre la France et le Qatar (mais aussi le relâchement du blocus iranien).

Donc, à partir de 2007, un Qatar ayant des quantités immenses de gaz à fourguer a commencé à draguer l’État français, s'offrant des clubs de foot, des coupes du monde pour devenir populaire et... en substance, monter un projet de gazoduc direct, allant du Qatar, passant par l'Arabie Saoudite, rejoignant la Turquie, puis rentrant en Europe par les Balkans.

Le seul problème... c'est qu'entre l'Arabie Saoudite et la Turquie, il n'y a que deux pays, le premier étant l'Irak et le second... la Syrie.

L'Irak étant en guerre et jugé totalement inadéquat pour y construire un gazoduc, les qataris et les saoudiens ont proposé, en 2009, à Bachar El Assad de construire ce gazoduc sur son territoire.

Bachar El Assad étant allié de la Russie, la Russie lui fit refuser ce transit, puisque ce gaz qatari allait la priver de son arme stratégique contre l'Europe. Assad refusa donc, en conséquence de quoi, en 2011 le Qatar et l'Arabie Saoudite consacrèrent quelques milliards d'euros à la création de milices en Syrie pour entamer un conflit contre Assad, dans l'espoir de le destituer, étant entendu que l’État qui prendrait sa place pourrait être islamiste ou n'importe quoi d'autre, la seule obligation qui lui incomberait, dès sa prise de pouvoir, se résumant à la construction de ce gazoduc.

Le Qatar et l'Arabie Saoudite financèrent ainsi Al Nosra, branche d'Al Qaïda en Syrie, avec la bénédiction d'Israël qui voyait d'un bon oeil la chute d'El Assad, qui ainsi arrêterait de financer le Hezbollah qui du coup n'aurait plus eu de financement pour continuer de tirer des roquettes sur Israël.

Et la guerre civile en Syrie éclata, et ... la guerre s'enlisa, pendant des mois, des années...

En septembre 2013, excédés par le temps que prenait cette petite guerre coloniale, les USA, la France et le Royaume uni se décidèrent à envoyer une flotte de guerre pour appuyer les rebelles syriens et faire chuter Bachar et son régime.

La Russie, qui ne l'entendait pas de cette oreille, envoya plusieurs navires de guerre s'interposer entre la côte syrienne et la coalition qui allait passer à l'attaque.

Il faut ici comprendre que la façon de faire la guerre des USA est très monolithique, codifiée... lorsqu'ils passent à l'attaque, ils le font :

1) avec des missiles tomahawk, qui permettent de détruire les radars à interférométrie et les radars passifs (ceux qui voient les avions furtifs),
2) ce qui permet ensuite d'envoyer l'aviation furtive détruire les défenses anti aériennes et les PC de commandement,
3) ce qui permet ensuite d'envoyer la vague de bombardiers classiques pour inonder les troupes terrestres ennemies de bombes.

Donc, toute la stratégie américaine est basée sur l'attaque première des tomahawk. En septembre 2013, la flotte américaine, avant de lancer le gros de ses tomahawks en a lancé deux, de "reconnaissance"... et ils ont eu la très désagréable surprise de les voir tomber dans l'eau, leurs missiles ayant été brouillés par les contre mesures électroniques de la flottille russe.

Donc, alors que la télé nous bombardait avec les explications sur l'attaque qui allait avoir lieu, que Hollande l'avait annoncée publiquement... eh bien l'occident a du replier ses billes et rentrer penaud à la maison, puisque l'attaque ne pouvait pas avoir lieu. Et cette guerre annoncée fut oubliée du jour au lendemain par nos médias.

La vengeance de l'occident eu lieu quelques mois plus tard, en Ukraine. Une révolution fut organisée par les services secrets européens. Des barbouzes de la DGSE engagèrent quelques centaines de mercenaires pour organiser un coup d’État, qui eut bien lieu, le but premier étant de punir la Russie qui avait eu l'outrecuidance de croire qu'elle pouvait agir en tant que superpuissance.

Et l'Ukraine tomba aux mains d'une junte pro-occidentale. La Russie réagit en récupérant la Crimée et en réussissant à utiliser le sentiment pro-russe d'une bonne moitié de l'Ukraine pour entamer là bas une guerre civile.

Les USA réussirent à faire détruire, par l'état ukrainien, un avion de ligne tiré au sort qui permet à l'Europe d'inventer des sanctions économiques contre la Russie, ce qui permit de mettre à mal l'économie russe et de diminuer la valeur du rouble par deux face à l'Euro tout comme au dollar.

Mais la Russie survécut sans trop de problèmes au choc économique.

Pendant ce temps, la guerre continuait en Syrie... Al Nosra avait accouché d'un monstre, l'Etat Islamique, la guerre de tranchées était de plus en plus défavorable au régime d'El Assad...

L'Iran, considérant - à juste titre - que l'Arabie Saoudite finançait l'EI aussi bien en Syrie qu'en Irak, l'Iran soutenant les pouvoirs centraux syrien et irakien et étant en conflit officieux avec l'Arabie Saoudite sur deux fronts déjà, décida d'appuyer une révolte armée au Yemen contre l'Arabie Saoudite. Ce conflit débuta en mars 2015.

Ainsi donc, l'Iran et l'Arabie Saoudite sont en conflit désormais sur trois fronts, en Syrie, en Irak et au Yemen... l'exploitation de la poche de gaz north dome/south pars étant évidemment le noeud du problème.

C'est ainsi que la Russie décida d'intervenir directement en Syrie, il y a un ou deux mois, pour assister le pouvoir central, en faisant travailler essentiellement son aviation, sans troupes au sol.

L'espoir changea de camp, le combat changea d'âme, comme disait tonton Victor... Les troupes d'el Assad reprenant le dessus, la construction qataro-arabo-turco-atlantiste tombait à l'eau. Qui plus est, l'Etat Islamique et Al Nosra ayant poussé le bouchon un peu plus loin que ce qui était attendu... il devenait de plus en plus difficile pour les "démocraties" occidentales de faire croire qu'elles étaient du côté du "bien"... et l'on ne peut que constater l'habileté avec laquelle Poutine a réussi à remporter la guerre médiatique en occident.

Pour punir la Russie de son intervention en Syrie, la partie étant perdue, les américains décidèrent de dégommer un avion rempli de citoyens russes, attentat camouflé en acte perpétré par l'EI (et évidemment pour essayer de faire peser l'opinion publique russe contre l'entrée en guerre en Syrie).

Quelques jours plus tard, les attentats de Paris furent perpétrés.
1) Il est aisé d'imaginer que ces attentats puissent être une réaction à l'attentat de Sharm el Sheikh.
2) Ces attentats ont achevé de convaincre les opinions publiques occidentales qu'il fallait agir contre l’État Islamique, forçant la main à nos dirigeants à aller à l'opposé de leur plan.
3) Il est aisé de comprendre que ces attentats ont été commandités à Bruxelles, capitale mondiale des espions aujourd'hui, capitale des magouilles et des coups tordus. Pour rappel, Molenbeek, c'est à Bruxelles.
_____________________________________________________________

En conclusion... je pense que le commanditaire derrière les attentats de Paris est l’État russe, servi par le FSB. Je ne renie pas totalement la possibilité que les actes terroristes du 13 novembre aient pu avoir été commis de façon autonome par quelques membres de l'EI... mais l'hypothèse la plus crédible - et de loin - me semble êtret celle d'actes organisés par le FSB, cette hypothèse rentrant parfaitement dans la "logique" de la partie de ping pong qu'Europe et Russie se livrent depuis quelques années.

Cette théorie explique par ailleurs très bien les passeports retrouvés, qui sont autant de "clins d'oeil" du FSB à la CIA et à leur passeport totalement improbable retrouvé après le 11 septembre. Une façon de signer le travail en disant "On vous encule, et en plus on vous le dit directement".

Je pense donc que le FSB est depuis quelques années occupé à médiatiser les actes les plus abjects de l'état islamique, qu'il a sponsorisé nombre de films... que c'était un "clin d'oeil" destiné à brouiller les cartes que d'affubler les exécutés des tenues oranges de Guantanamo, que les attentats de Charlie Hebdo sont aussi de leur fait.

Je pense que c'est l’État français qui était derrière l'affaire Merah, je pense qu'en observant la facilité avec laquelle quelques racailles des cités avaient été utilisées par la DGSE pour comploter ... eh bien les services secrets et le gouvernement russes ont compris l'intérêt qu'ils pouvaient tirer de cette fragilité... et ils le font désormais.

Je pense que le fait qu'on retrouve des passeports, aussi bien lors des attentats du bataclan, que durant Charlie... est une preuve flagrante que des services secrets organisent tout ce merdier. Ce ne pourrait être ni la CIA ni le mossad, ni la DGSE, car aucun de ces pays n'a d'intérêt à ce qui s'est produit. Le seul pays qui y avait un intérêt était la Russie.

Quand aux naïfs qui diront encore "ah là là, encore la théorie du complot"... dans un monde ou Poutine est ancien directeur du KGB, ou le père Bush est ancien directeur de la CIA... nous sommes dirigé par des enculés formés à l'école de la fourberie et du complot !!
_____________________________________________________________

Et Hollande et Valls dans tout ça?

Eh bien je pense qu'il s'agit simplement de deux imbéciles. L'un va niquer des poufs en scooter, l'autre a pour seul diplôme une licence d'histoire, obtenue à 24 ans (donc trois redoublements lors de son cursus scolaire et universitaire).

Le coeur du système, le groupe Bildeberg, avait prévu DSK pour régner sur la France. Ils n'avaient pas pensé à un "remplaçant", et Hollande est bien ce qu'il est, c'est à dire un pion naïf et totalement inconscient des enjeux planétaires et des forces en action.

Il suffit de voir les réactions gênées d'Obama à chaque fois qu'il est en sa présence... à chaque fois Obama pense tellement fort "pauvre con" que tout son langage corporel laisse paraitre ce message...

Et comme Poutine, pour sa part, est tout sauf con... eh bien il a compris qui il avait en face de lui, il exploite "à merveille" la stupidité et l'ignorance crasse de nos dirigeants, qui combinée à la malléabilité de nos jeunes de banlieue lui permet, au travers d'opérations ciblées, de manipuler l'opinion publique occidentale et de diviser l'occident.
_____________________________________________________________

Ce descriptif aurait pu être bien plus complet, parler des sunnites arabes et des chiites achéménides et de leur haine réciproque multi-millénaire, j'aurais parler du choix turc d'appuyer Daesh et Al Nosra dans l'espoir de massacrer un peu plus encore les kurdes... de beaucoup d'autres choses.

Il est certain que la situation est plus complexe en Syrie qu'un "simple" affrontement bipolaire, puisqu'il y a actuellement quatre forces en présence :

1) le pouvoir central d'Assad,
2) les révolutionnaires "modérés" d'Al Quaïda en Syrie (ceux qui coupent les têtes de façon modérée et ont massacré de façon modérée le pilote russe qui avait sauté en parachute de son SU-24),
3) les Daesh wesh wesh,
4) et enfin les kurdes.

Il me fallait donc simplifier, afin de montre que derrière tous ces groupes de guerre se cachent principalement l'Arabie Saoudite et l'Iran, l'objet du litige étant une poche de gaz énorme, qui ne peut avoir pour destinée que d'alimenter à terme l'Europe, par un gazoduc qui passera forcément par la Syrie.

Derrière l'Arabie et l'Iran se cachent les USA et la Russie. La Russie s'est déjà installée sur le terrain, et la Turquie a entamé la phase des provocations militaires, qui justifiera à terme l'intervention des troupes américaines, pour déterminer, par un affrontement direct avec la Russie du trajet du gazoduc traversant la Syrie, qui viendra soit du Qatar en passant par l'Arabie Saoudite, soit d'Iran en passant par l'Irak.

Pour cette simple question "d'aiguillage", la Russie et les USA sont prêts à se mettre sur la gueule.

20% du gaz de la planète... c'est beaucoup d'argent.

 
Photo de Rouslan Toumaniantz.
 
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Je vais vous raconter une longue histoire.

En 1971, une poche de gaz gigantesque a été découverte, dans le golfe persique, répartie à moitié moitié entre le Qatar et l'Iran. Cette poche, les qataris l'ont nommé North Dome, et les perses - ou iraniens - l'ont nommée South Pars (rien à voir avec Eric Cartman).

Cette poche de gaz représente 20% des réserves naturelles de gaz du monde. Le Qatar a commencé les forages en 1988, pour passer, à partir de 1996, en phase de production et augmenter progressivement sa capacité de production, au fil des années.

L’Iran, du fait du blocus économique qui le frappait, n'a pu commencer l'exploitation de ce champ que bien plus tard, mais rattrape depuis son retard.

De l'autre côté, schématiquement, l'Europe est un gigantesque consommateur de gaz qui ne produit pratiquement rien et doit tout acheter sur le marché international. Les trois grandes sources de gaz qui alimentent l'Europe sont l'Algérie, les champs de la mer du nord (exploités par le royaume uni et la Norvège)... et la Russie.

La Russie ayant réussi à nouer des liens proches avec l'Algérie, l'Europe vit donc dans une situation de dépendance stratégique permanente vis-à-vis d'une coupure toujours possible du gaz russe qui, si elle était également appliquée par l'Algérie, plongerait l'Europe dans une crise énergétique grave.

La conjonction de ces deux facteurs, d'un côté un Qatar et un Iran producteurs massifs d'un gaz abondant, et de l'autre d'une Europe qui voudrait diversifier ses sources d'approvisionnement énergétiques, tout cela explique le rapprochement entre la France et le Qatar (mais aussi le relâchement du blocus iranien).

Donc, à partir de 2007, un Qatar ayant des quantités immenses de gaz à fourguer a commencé à draguer l’État français, s'offrant des clubs de foot, des coupes du monde pour devenir populaire et... en substance, monter un projet de gazoduc direct, allant du Qatar, passant par l'Arabie Saoudite, rejoignant la Turquie, puis rentrant en Europe par les Balkans.

Le seul problème... c'est qu'entre l'Arabie Saoudite et la Turquie, il n'y a que deux pays, le premier étant l'Irak et le second... la Syrie.

L'Irak étant en guerre et jugé totalement inadéquat pour y construire un gazoduc, les qataris et les saoudiens ont proposé, en 2009, à Bachar El Assad de construire ce gazoduc sur son territoire.

Bachar El Assad étant allié de la Russie, la Russie lui fit refuser ce transit, puisque ce gaz qatari allait la priver de son arme stratégique contre l'Europe. Assad refusa donc, en conséquence de quoi, en 2011 le Qatar et l'Arabie Saoudite consacrèrent quelques milliards d'euros à la création de milices en Syrie pour entamer un conflit contre Assad, dans l'espoir de le destituer, étant entendu que l’État qui prendrait sa place pourrait être islamiste ou n'importe quoi d'autre, la seule obligation qui lui incomberait, dès sa prise de pouvoir, se résumant à la construction de ce gazoduc.

Le Qatar et l'Arabie Saoudite financèrent ainsi Al Nosra, branche d'Al Qaïda en Syrie, avec la bénédiction d'Israël qui voyait d'un bon oeil la chute d'El Assad, qui ainsi arrêterait de financer le Hezbollah qui du coup n'aurait plus eu de financement pour continuer de tirer des roquettes sur Israël.

Et la guerre civile en Syrie éclata, et ... la guerre s'enlisa, pendant des mois, des années...

En septembre 2013, excédés par le temps que prenait cette petite guerre coloniale, les USA, la France et le Royaume uni se décidèrent à envoyer une flotte de guerre pour appuyer les rebelles syriens et faire chuter Bachar et son régime.

La Russie, qui ne l'entendait pas de cette oreille, envoya plusieurs navires de guerre s'interposer entre la côte syrienne et la coalition qui allait passer à l'attaque.

Il faut ici comprendre que la façon de faire la guerre des USA est très monolithique, codifiée... lorsqu'ils passent à l'attaque, ils le font :

1) avec des missiles tomahawk, qui permettent de détruire les radars à interférométrie et les radars passifs (ceux qui voient les avions furtifs),
2) ce qui permet ensuite d'envoyer l'aviation furtive détruire les défenses anti aériennes et les PC de commandement,
3) ce qui permet ensuite d'envoyer la vague de bombardiers classiques pour inonder les troupes terrestres ennemies de bombes.

Donc, toute la stratégie américaine est basée sur l'attaque première des tomahawk. En septembre 2013, la flotte américaine, avant de lancer le gros de ses tomahawks en a lancé deux, de "reconnaissance"... et ils ont eu la très désagréable surprise de les voir tomber dans l'eau, leurs missiles ayant été brouillés par les contre mesures électroniques de la flottille russe.

Donc, alors que la télé nous bombardait avec les explications sur l'attaque qui allait avoir lieu, que Hollande l'avait annoncée publiquement... eh bien l'occident a du replier ses billes et rentrer penaud à la maison, puisque l'attaque ne pouvait pas avoir lieu. Et cette guerre annoncée fut oubliée du jour au lendemain par nos médias.

La vengeance de l'occident eu lieu quelques mois plus tard, en Ukraine. Une révolution fut organisée par les services secrets européens. Des barbouzes de la DGSE engagèrent quelques centaines de mercenaires pour organiser un coup d’État, qui eut bien lieu, le but premier étant de punir la Russie qui avait eu l'outrecuidance de croire qu'elle pouvait agir en tant que superpuissance.

Et l'Ukraine tomba aux mains d'une junte pro-occidentale. La Russie réagit en récupérant la Crimée et en réussissant à utiliser le sentiment pro-russe d'une bonne moitié de l'Ukraine pour entamer là bas une guerre civile.

Les USA réussirent à faire détruire, par l'état ukrainien, un avion de ligne tiré au sort qui permet à l'Europe d'inventer des sanctions économiques contre la Russie, ce qui permit de mettre à mal l'économie russe et de diminuer la valeur du rouble par deux face à l'Euro tout comme au dollar.

Mais la Russie survécut sans trop de problèmes au choc économique.

Pendant ce temps, la guerre continuait en Syrie... Al Nosra avait accouché d'un monstre, l'Etat Islamique, la guerre de tranchées était de plus en plus défavorable au régime d'El Assad...

L'Iran, considérant - à juste titre - que l'Arabie Saoudite finançait l'EI aussi bien en Syrie qu'en Irak, l'Iran soutenant les pouvoirs centraux syrien et irakien et étant en conflit officieux avec l'Arabie Saoudite sur deux fronts déjà, décida d'appuyer une révolte armée au Yemen contre l'Arabie Saoudite. Ce conflit débuta en mars 2015.

Ainsi donc, l'Iran et l'Arabie Saoudite sont en conflit désormais sur trois fronts, en Syrie, en Irak et au Yemen... l'exploitation de la poche de gaz north dome/south pars étant évidemment le noeud du problème.

C'est ainsi que la Russie décida d'intervenir directement en Syrie, il y a un ou deux mois, pour assister le pouvoir central, en faisant travailler essentiellement son aviation, sans troupes au sol.

L'espoir changea de camp, le combat changea d'âme, comme disait tonton Victor... Les troupes d'el Assad reprenant le dessus, la construction qataro-arabo-turco-atlantiste tombait à l'eau. Qui plus est, l'Etat Islamique et Al Nosra ayant poussé le bouchon un peu plus loin que ce qui était attendu... il devenait de plus en plus difficile pour les "démocraties" occidentales de faire croire qu'elles étaient du côté du "bien"... et l'on ne peut que constater l'habileté avec laquelle Poutine a réussi à remporter la guerre médiatique en occident.

Pour punir la Russie de son intervention en Syrie, la partie étant perdue, les américains décidèrent de dégommer un avion rempli de citoyens russes, attentat camouflé en acte perpétré par l'EI (et évidemment pour essayer de faire peser l'opinion publique russe contre l'entrée en guerre en Syrie).

Quelques jours plus tard, les attentats de Paris furent perpétrés.
1) Il est aisé d'imaginer que ces attentats puissent être une réaction à l'attentat de Sharm el Sheikh.
2) Ces attentats ont achevé de convaincre les opinions publiques occidentales qu'il fallait agir contre l’État Islamique, forçant la main à nos dirigeants à aller à l'opposé de leur plan.
3) Il est aisé de comprendre que ces attentats ont été commandités à Bruxelles, capitale mondiale des espions aujourd'hui, capitale des magouilles et des coups tordus. Pour rappel, Molenbeek, c'est à Bruxelles.
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En conclusion... je pense que le commanditaire derrière les attentats de Paris est l’État russe, servi par le FSB. Je ne renie pas totalement la possibilité que les actes terroristes du 13 novembre aient pu avoir été commis de façon autonome par quelques membres de l'EI... mais l'hypothèse la plus crédible - et de loin - me semble êtret celle d'actes organisés par le FSB, cette hypothèse rentrant parfaitement dans la "logique" de la partie de ping pong qu'Europe et Russie se livrent depuis quelques années.

Cette théorie explique par ailleurs très bien les passeports retrouvés, qui sont autant de "clins d'oeil" du FSB à la CIA et à leur passeport totalement improbable retrouvé après le 11 septembre. Une façon de signer le travail en disant "On vous encule, et en plus on vous le dit directement".

Je pense donc que le FSB est depuis quelques années occupé à médiatiser les actes les plus abjects de l'état islamique, qu'il a sponsorisé nombre de films... que c'était un "clin d'oeil" destiné à brouiller les cartes que d'affubler les exécutés des tenues oranges de Guantanamo, que les attentats de Charlie Hebdo sont aussi de leur fait.

Je pense que c'est l’État français qui était derrière l'affaire Merah, je pense qu'en observant la facilité avec laquelle quelques racailles des cités avaient été utilisées par la DGSE pour comploter ... eh bien les services secrets et le gouvernement russes ont compris l'intérêt qu'ils pouvaient tirer de cette fragilité... et ils le font désormais.

Je pense que le fait qu'on retrouve des passeports, aussi bien lors des attentats du bataclan, que durant Charlie... est une preuve flagrante que des services secrets organisent tout ce merdier. Ce ne pourrait être ni la CIA ni le mossad, ni la DGSE, car aucun de ces pays n'a d'intérêt à ce qui s'est produit. Le seul pays qui y avait un intérêt était la Russie.

Quand aux naïfs qui diront encore "ah là là, encore la théorie du complot"... dans un monde ou Poutine est ancien directeur du KGB, ou le père Bush est ancien directeur de la CIA... nous sommes dirigé par des enculés formés à l'école de la fourberie et du complot !!
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Et Hollande et Valls dans tout ça?

Eh bien je pense qu'il s'agit simplement de deux imbéciles. L'un va niquer des poufs en scooter, l'autre a pour seul diplôme une licence d'histoire, obtenue à 24 ans (donc trois redoublements lors de son cursus scolaire et universitaire).

Le coeur du système, le groupe Bildeberg, avait prévu DSK pour régner sur la France. Ils n'avaient pas pensé à un "remplaçant", et Hollande est bien ce qu'il est, c'est à dire un pion naïf et totalement inconscient des enjeux planétaires et des forces en action.

Il suffit de voir les réactions gênées d'Obama à chaque fois qu'il est en sa présence... à chaque fois Obama pense tellement fort "pauvre con" que tout son langage corporel laisse paraitre ce message...

Et comme Poutine, pour sa part, est tout sauf con... eh bien il a compris qui il avait en face de lui, il exploite "à merveille" la stupidité et l'ignorance crasse de nos dirigeants, qui combinée à la malléabilité de nos jeunes de banlieue lui permet, au travers d'opérations ciblées, de manipuler l'opinion publique occidentale et de diviser l'occident.
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Ce descriptif aurait pu être bien plus complet, parler des sunnites arabes et des chiites achéménides et de leur haine réciproque multi-millénaire, j'aurais parler du choix turc d'appuyer Daesh et Al Nosra dans l'espoir de massacrer un peu plus encore les kurdes... de beaucoup d'autres choses.

Il est certain que la situation est plus complexe en Syrie qu'un "simple" affrontement bipolaire, puisqu'il y a actuellement quatre forces en présence :

1) le pouvoir central d'Assad,
2) les révolutionnaires "modérés" d'Al Quaïda en Syrie (ceux qui coupent les têtes de façon modérée et ont massacré de façon modérée le pilote russe qui avait sauté en parachute de son SU-24),
3) les Daesh wesh wesh,
4) et enfin les kurdes.

Il me fallait donc simplifier, afin de montre que derrière tous ces groupes de guerre se cachent principalement l'Arabie Saoudite et l'Iran, l'objet du litige étant une poche de gaz énorme, qui ne peut avoir pour destinée que d'alimenter à terme l'Europe, par un gazoduc qui passera forcément par la Syrie.

Derrière l'Arabie et l'Iran se cachent les USA et la Russie. La Russie s'est déjà installée sur le terrain, et la Turquie a entamé la phase des provocations militaires, qui justifiera à terme l'intervention des troupes américaines, pour déterminer, par un affrontement direct avec la Russie du trajet du gazoduc traversant la Syrie, qui viendra soit du Qatar en passant par l'Arabie Saoudite, soit d'Iran en passant par l'Irak.

Pour cette simple question "d'aiguillage", la Russie et les USA sont prêts à se mettre sur la gueule.

20% du gaz de la planète... c'est beaucoup d'argent.

 
Photo de Rouslan Toumaniantz.
 

En rouge : plausible, convaincant, réaliste, belle démonstration. En un mot analytique. :0148-yes:

En jaune : ça part totalement en sucette, aucune preuve sérieuse, hypothétique, supputations. En un mot: délirant :D 

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