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[News] Actualité en Tunisie


Bati

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Slim Chiboub devait comparaitre aujourd’hui, 18 novembre 2014, devant le tribunal de première instance concernant deux affaires de port d’arme illégal jugées par contumace.

A la surprise générale, Slim Chiboub a été déféré devant le doyen des juges d’instruction pour une troisième affaire dont nous ne connaissons pas la nature jusqu’ici.

Rappelons que les avocats de Slim Chiboub devaient s’opposer aux jugements prononcés par contumace et avaient bon espoir de faire libérer momentanément leur client. Le fait que Slim Chiboub soit déféré devant un autre juge pour une autre affaire pourrait rendre cela impossible.

Mise à jour : Slim Chiboub a comparu devant le doyen des juges d'instruction pour deux affaires concernant des accusations de malversation selon l'article 96 du code de procédure pénale. Le juge a choisi de laisser M.Chiboub en liberté pour lesdites affaires. Pour ce qui est des affaires de port d'armes, Slim Chiboub a expliqué qu'il ne connaissait pas la provenance de l'arme trouvée dans sa voiture. Il a justifié cela par le chaos qui a régné le 14 janvier 2011 en ajoutant qu'il n'était plus responsable de ce qui se passait ni chez lui, ni dans sa voiture. Ses avocats ont demandé que leur client soit relaxé. Le jugement dans ces deux affaires est attendu dans l'après-midi du 18 novembre 2014.

Modifié (le) par nabil mkachekh
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Ibachrek bel khir !!!!

Bekodret rabbi labess !!!! The king is at home !!!!

Ca c'est juste pour les deux affaires de corruption. Il reste un délibéré sur les deux affaires de port d'armes dont le verdict sera prononcé cet aprés-midi mais ça devrait la faire.

Par ailleurs Nida récupére officiellement son 87 ème siège au parlement et Mastfa reste officiellement debout pour au moins cinq ans.

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Ca c'est juste pour les deux affaires de corruption. Il reste un délibéré sur les deux affaires de port d'armes dont le verdict sera prononcé cet aprés-midi mais ça devrait la faire.

Par ailleurs Nida récupére officiellement son 87 ème siège au parlement et Mastfa reste officiellement debout pour au moins cinq ans.

86eme.
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Béji Caïd Essebsi : Les raisons d'un départ

Un document qui mérite d'être lu (ou relu pour certains), la tribune publiée par Béji Caïd Essebsi, sur le journal Le Monde, le mercredi 12 juin 1972, expliquant les raisons de son départ du gouvernement :
On ne rendra jamais assez hommage à Bourguiba pour avoir, depuis l'indépendance, su, à la tête du parti et de l'Etat, être le chef omniprésent qui a assumé sa haute mission avec la clairvoyance, la compétence et l'envergure qui ont accrédité dans le monde cette image privilégiée d'une Tunisie stable, sagement gouvernée et maîtresse de ses destinées.
Mais il se trouve que la situation dans le pays a, depuis, évolué d'une manière décisive et irréversible. Trois faits, importants entre tous, en ont transformé fondamentalement les données :
  • Tout d'abord, les résultats d'une politique suivie pendant une quinzaine d'années et visant avant tout la promotion de l'homme; résultats tangibles qui ont permis à certains observateurs de parler de l'avènement d'une Tunisie nouvelle : une jeunesse plus instruite et plus exigeante, une prise de conscience plus affermie des masses, une ouverture plus large sur le monde, et des structures sociales plus moderne;
  • La maladie du président, ensuite, et le ralentissement forcé de ses activités, qui ont révélé, à la pratique, les imperfections d'un système fait à la mesure d'un homme exceptionnel, d'un " homme de l'histoire ", comme dirait Malraux. En effet, tant que Bourguiba était là, le système fonctionnait, mais chaque fois que sa présence se faisait moins sentir aux leviers de commande les rouages grinçaient et la mécanique se grippait;
  • La crise enfin, résultant de la mauvaise application de l'expérience des coopératives et qui s'analyse, en dernier ressort, comme une crise de confiance, dans les méthodes suivies.
Ces éléments, à l'évidence, appelaient d'une manière urgente une reconsidération de notre système politique et de nos méthodes de gouvernement et imposaient une organisation du pouvoir qui soit naturellement adaptée à l'évolution générale du pays. Bourguiba comprit à temps, et ce fut encore lui qui, le 8 juin 1970, appela les Tunisiens à s'engager dans cette voie du salut : " En ce qui nous concerne, l'expérience vient de démontrer que la concentration des pouvoirs entre les mains d'un seul responsable, si intègre, si dévoué soit-il, comporte des risques... L'édifice ne doit pas s'écrouler du seul fait que je ne serai plus là... "
Répondant à son appel, le congrès du parti, qui s'est tenu à Monastir au mois d'octobre 1971, a fait sienne cette analyse et a adopté des recommandations de nature à assurer aussi bien aux structures du parti qu'à celles de l'Etat un fonctionnement démocratique et sûr, en préconisant notamment le principe de l'élection comme seul mode de désignation des responsables au sein du parti, et le dépôt rapide d'un projet de réforme de la Constitution.
Malheureusement, prenant prétexte d'une déclaration faite à un journaliste français, au lendemain du congrès, par un membre du nouveau comité central, une très violente campagne de presse fut déclenchée à travers les journaux, la radio et la télévision, chauffant à blanc l'opinion publique, brandissant le spectre de la catastrophe et créant ainsi une atmosphère artificielle de crise.
L'ACTION atteignit-elle son but ? Ou le président crut-il voir son autorité ou son prestige mis en cause ? Toujours est-il que le comité central, réuni pour l'élection du bureau politique conformément aux nouvelles résolutions du congrès, se vit présenter un mode de constitution du bureau politique qui était en fait le retour à la pratique antérieure. C'est ainsi que, sur les cinquante-huit nouveaux membres élus, trente-sept n'avaient pas la possibilité de poser leur candidature.
Par respect pour Bourguiba et devant la menace de l'ouverture d'une crise que personne ne pensait pouvoir accepter ni envisager, j'ai préféré quant à moi m'abstenir, non sans avoir exposé clairement mon point de vue, et présenter au chef de l'Etat une démission de mes fonctions d'ambassadeur de Tunisie à Paris.
JE demeure personnellement convaincu, et les entretiens que le président a bien voulu m'accorder par la suite m'ont confirmé dans cette idée, que d'aucuns avaient démesurément exagéré auprès de lui les risques de je ne sais quels dangers qui menaceraient la Tunisie.
Force nous est cependant de constater que, par réaction à un danger supposé, Bourguiba semble, pour la première fois de sa carrière, hésiter devant l'avenir : lui qui avait pour devise d'aller toujours de l'avant par l'apport d'idées-forces et le choix d'hommes nouveaux a, comme dans un réflexe d'autodéfense, accepté la reconduction de méthodes et de pratiques qu'il a lui même réprouvées; lui qui a toujours été le grand rassembleur d'hommes et qui a été le symbole de l'" unité nationale " accepte d'assister à la dangereuse réapparition d'un régionalisme chauvin que nous pensions à jamais disparu.
Telle est la situation. D'aucuns parlent déjà de l'impasse. Je pense, quant à moi, qu'il y a toujours moyen de redresser une situation et d'éviter le pire.
Il s'agit tout d'abord d'éviter que le débat ne s'instaure autour d'un malentendu : l'idée que certains veulent limiter les pouvoirs de Bourguiba alors que d'autres veulent au contraire les préserver, voire les renforcer.
La question véritable à laquelle il est nécessaire d'apporter une réponse claire et sans équivoque est la suivante : le régime fondé par Bourguiba est-il appelé à lui survivre ou doit-il au contraire disparaître après lui ? Je ne peux pour ma part que faire mienne la réponse nette formulée par Bourguiba dans son discours du 8 juin 1970.
IL est en effet indéniable que le régime ne saurait lui survivre que dans la mesure où la stabilité qui a été réalisée par la fidélité à un homme sera relayée par une stabilité fondée sur des institutions démocratiques qui, seules, sont susceptibles d'assurer la permanence de l'Etat et de préserver les acquis de l'oeuvre de Bourguiba.
Il importe également de méditer le mot de Léon Blum selon lequel " en dix ans les révolutions se vident de leur substance ". Après quinze années de pouvoir, le régime tunisien, comme tout autre régime, a besoin d'être réformé en tenant compte d'" évolutions nécessaires "... Faute de quoi, nous risquons d'être irrémédiablement déphasés par rapport à l'époque que nous vivons et au degré de maturité de notre peuple, par rapport à notre jeunesse, qui doit certes être instruite des vertus de notre passé, mais à qui il faut surtout offrir un idéal et des méthodes d'action qui soient en harmonie avec ses aspirations profondes et légitimes... " Les révolutions que l'on ne fait pas soi-même, ce sont les autres qui les feront ", soulignait fort justement un grand écrivain français.
Il est indéniable enfin que toute réforme dans ce domaine, pour avoir quelque chance de succès dans l'immédiat et dans l'harmonie, doit être soutenue par le président Bourguiba, qui aura encore une fois à mettre tout son prestige et tout son talent au service d'une telle entreprise.
Puisse-t-il, dans l'intérêt supérieur du pays et de l'unité nationale menacée, saisir une occasion prochaine pour s'affirmer devant l'histoire comme l'homme qui a su non seulement édifier son pays, mais également et surtout comprendre les évolutions inéluctables et prendre les devants pour assurer à son oeuvre la pérennité par le progrès et l'harmonie.
(Journal le Monde, mercredi 12 juin 1972)
(*) Bèji Caïd Essebi vient de quitter le poste d'ambassadeur de Tunisie en France, à la suite de la démission qu'il a donnée au mois d'octobre à M. Bourguiba, et dont il explique ici les raisons.

Modifié (le) par allouche
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  • La maladie du président, ensuite, et le ralentissement forcé de ses activités, qui ont révélé, à la pratique, les imperfections d'un système fait à la mesure d'un homme exceptionnel, d'un " homme de l'histoire ", comme dirait Malraux. En effet, tant que Bourguiba était là, le système fonctionnait, mais chaque fois que sa présence se faisait moins sentir aux leviers de commande les rouages grinçaient et la mécanique se grippait;

IL est en effet indéniable que le régime ne saurait lui survivre que dans la mesure où la stabilité qui a été réalisée par la fidélité à un homme sera relayée par une stabilité fondée sur des institutions démocratiques qui, seules, sont susceptibles d'assurer la permanence de l'Etat et de préserver les acquis de l'oeuvre de Bourguiba.

Deux points clés de cet article qui ne sont pas d'actualité aujourd'hui:

1-BCS est certes dans un age avancé mais il n'est ni physiquement atteint ni mentalement diminué. Et combien même il doit mettre des couches pour adultes celà ne peut le géner dans l'accomplissement de ses fonctions présidentielles.

2-Le système dans lequel sera appelé à évoluer BCS en tant que président est totalement différent de celui ou avait évolué Bourguiba. Si Lahbib évoluait dans un système fait sur mesure pour lui et dont le fonctionnement dépendait directement de sa personne. Aujourd'hui ce ne sera pas le cas selon la meilleure constitution de tous les temps.

Il faut rajouter à ces constatations le fait que:

3- Les pouvoirs et les charges du président à élire n'ont rien à voir avec les fonctions dont devait se dépétrer Bourguiba dans son temps. La majorité des pouvoirs seront entre les mains du premier ministre et de l'assemblée.

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Le gendre du président déchu, Slim Chiboub a été transféré au doyen des juges d’instruction du tribunal de première instance de Tunis dans deux affaires se rapportant à la corruption financière.
Après examen de l’opposition de Slim Chiboub dans ces deux affaires , le tribunal a décidé de le garder en état de liberté.
Alors que dans les deux affaires de détention d’armes sans autorisation, et dans lesquelles il est condamné à 6 ans. L’affaire a été retenue pour délibération et le verdict sera prononcé cet après midi.
Slim Chiboub a pour sa part nié toute relation avec l’arme saisie et a affirmé que son domicile n’était plus sous son contrôle dès 16 h le 14 janvier 2011, il a en outre réclamé son innocence. Le comité de protection considère sa comparution inutile et appelle à un non lieu et de le garder en état de liberté.

source MFM

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Deux points clés de cet article qui ne sont pas d'actualité aujourd'hui:

1-BCS est certes dans un age avancé mais il n'est ni physiquement atteint ni mentalement diminué. Et combien même il doit mettre des couches pour adultes celà ne peut le géner dans l'accomplissement de ses fonctions présidentielles.

2-Le système dans lequel sera appelé à évoluer BCS en tant que président est totalement différent de celui ou avait évolué Bourguiba. Si Lahbib évoluait dans un système fait sur mesure pour lui et dont le fonctionnement dépendait directement de sa personne. Aujourd'hui ce ne sera pas le cas selon la meilleure constitution de tous les temps.

Il faut rajouter à ces constatations le fait que:

3- Les pouvoirs et les charges du président à élire n'ont rien à voir avec les fonctions dont devait se dépétrer Bourguiba dans son temps. La majorité des pouvoirs seront entre les mains du premier ministre et de l'assemblée.

Le point clé, et qui nuance ma vision de ce type, c'est ses 'orientations' démocratiques dès les années 70...

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Le juge d’instruction du bureau 12 au tribunal de première instance de Tunis a entendu au gendre du président déchu Slim Chiboub dans une affaire de menaces, nécessitant une condamnation pénale. Une plainte déposée par un ancien agent de la garde présidentielle. Il a été décidé de le garder en état de liberté.

Il a également comparu dans trois autres affaires d’abus de pouvoir.

Slim Chiboub comparaitra devant le pôle judiciaire dans trois autres affaires se rapportant à la corruption financière. Le nombre des affaires retenues contre Slim Chiboub est donc passé à 9.

MOSAIQUE FM

Ils veulent sa peau apparement

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Le point clé, et qui nuance ma vision de ce type, c'est ses 'orientations' démocratiques dès les années 70...

Donc à moins que tu ne sois en train de faire dans le sarcasme, tu laisses tomber Ben Jaafar et tu votes BCE!

Je suis fier de toi allouche.

Le juge d’instruction du bureau 12 au tribunal de première instance de Tunis a entendu au gendre du président déchu Slim Chiboub dans une affaire de menaces, nécessitant une condamnation pénale. Une plainte déposée par un ancien agent de la garde présidentielle. Il a été décidé de le garder en état de liberté.

Il a également comparu dans trois autres affaires d’abus de pouvoir.

Slim Chiboub comparaitra devant le pôle judiciaire dans trois autres affaires se rapportant à la corruption financière. Le nombre des affaires retenues contre Slim Chiboub est donc passé à 9.

MOSAIQUE FM

Ils veulent sa peau apparement

Il faut faire semblant de vouloir sa peau mais il finira par s'en sortir.

Il y a une opinion publique à gérer

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L'engouement des clubistes pour Riahi nonobstant son passé et son passif plus que suspicieux ne m'étonne pas du tout quand je vois celui d'une grande frange de mes amis espérantistes pour Chiboub.

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L'engouement des clubistes pour Riahi nonobstant son passé et son passif plus que suspicieux ne m'étonne pas du tout quand je vois celui d'une grande frange de mes amis espérantistes pour Chiboub.

Chiboub Mkachakh. Il a servi l'Espérance. On le respecte pour cela. Le reste oumourou

Lékhor ma 3andou 7atta 3ale9a m3a leclub. Il veut se servir du CA pour exaucer ses fantasmes. Personne ne peut le respecter pour ca en core moins les clubistes.

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L'engouement des clubistes pour Riahi nonobstant son passé et son passif plus que suspicieux ne m'étonne pas du tout quand je vois celui d'une grande frange de mes amis espérantistes pour Chiboub.

ce n'est pas pck les deux s'appel slim qu'on peut les comparer 5ouya.

notre slim est un mkacha5 et personne ne peut en douter, il a fait que la dawla passe un cap, il c'est donné cœur et âme au service de l'esperance et elle le lui a bien rendu...

le plombier c'est autre chose, il est la pour faire de la politique et profiter de la "popularité" de la merda, fibalou birrasmi 10mlayen, il a prit la merda en otage personne ne peut payer la masse salarial et ensuite il leur dit que si vous ne voter pas pour moi je ne serait plus président de la merda...

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