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Bernard

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Tout ce qui a été posté par Bernard

  1. Sur quoi se sont-ils basés pour sanctionner Ben Chrifia et le petit con de Chaalali si ce n'est la vidéo?
  2. Le premier ministre islandais a démissionné suite aux révélations du scandale Panama Papers. En Tunisie, Marzouk nie formellement être à l'origine de cet échange, je me demande tout de même qui s'amuserait à se faire passer pour lui ou pourquoi des journalistes inventeraient cet échange. Quoi qu'il en soit, il est déjà presque mort politiquement. Concernant le site, je trouve leur gestion de l'affaire extrêmement peu professionnelle.
  3. Oui c'est bien cela. J'ai reçu l'article et comm on me l'a présenté comme celui contenant les noms des personnalités tunisiennes, je me suis fait avoir comme un bleu.
  4. J'ai édité mes posts, j'étais à côté de la plaque car j'avais lu l'article de 2015.. Je m'en excuse auprès de vous tous et M Bouchamaoui. @AM2
  5. Ces gens ne savent pas travailler. Lorsqu'on organise une telle rencontre, on se tait jusqu'à son annonce officielle.
  6. L'attentat de novembre contre la garde présidentielle a été largement couvert par les médias, ainsi que l'attaque de Ben Guerdane. Et si nous regardions nos propres médias et leur traitement des attentats dans le monde?
  7. Le début de la fin pour Mazembe mais pas pour Katumbi. Kabila n'est pas si puissant que cela, la RD Congo est un très vaste pays où des pans entiers ne sont pas contrôlés par le pouvoir central. Le Burundi et le Rwanda décident de la politique intérieur, et je ne parle pas des Belges. Les Congolais sont las des Kabila, alors que Moïse incarne une success story nationale. Il est gouverneur de l'une des régions les plus riches du pays, a mis en place énormément de travaux d'infrastructures, a remis le TPM sur le toit de l'Afrique, bref un profil de gagneur. La messe n'est pas dites. Je trouve quand même que la vidéo est exagérée, les médias ont parlé en long en large et en travers des divers attentats qui ont eu lieu en Tunisie et en Côte d'Ivoire notamment. Ils parlent de ce qu'il se passe dans des pays qui leur sont proches et c'est bien normal. Sinon autant arrêter d'informer et faire des JT attentats tout les soirs... Il faut être réaliste, un attentat qui frappe un pays voisin ou ami nous touche bien plus qu'un attentat à l'autre bout du monde.
  8. c'est ce que j'appelle la mentalité Daesh.
  9. On sort de la compétition, Benzarti devient sélectionneur pour 3 ans, l'Etoile reprend sa place et nous la nôtre. 'Un joli rêve non?
  10. Quel match! Il n'a rien à envier aux derbys entre l'Ouganda et le Burundi...
  11. Au menu de ce soir : une défense à 5.
  12. Si si, la preuve c'est qu'ils ont attaqué la Turquie...
  13. Même en France il est possible d´accéder à l'aéroport sans subir aucun contrôle. Ils font trop confiance aux renseignements. L'Europe ce sont d'abord des peuples et, je ne pense pas que ces peuples aient arrosé quiconque, leurs gouvernants oui par contre.
  14. Il y a un club pour lequel cela n'aurait pas changé grand chose.
  15. KHazri et Camis forfait, Henryk les remplace avec Maher Hannachi et Mortada Ben Ouannes...
  16. Slip Riahi va ruiner le Club Africain et entraîner avec lui la "stadisation" de ce club. 'En passant, je persiste à m'étonner lorsqu'on dit que le CA est un grand club, il n'en est rien depuis belle lurette.
  17. C'est une honte que ce Monsieur ait été reconduit à la tete de la fédération. Les gens sont devenus complètement pourris dans ce pays.
  18. Par Frida Dahmani « Pourquoi j’ai rompu avec Rached Ghannouchi » Figure emblématique de la défense des droits de l’homme, il avait milité pour la légalisation du MTI, ancêtre d’Ennahdha, dans les années 1980. Avant de se brouiller avec son chef en 2005. Opposant à Ben Ali, dont il a dénoncé les pratiques et décrit les exactions dans Supplice tunisien. Le jardin secret du général Ben Ali (La Découverte, 1995), Ahmed Manaï, 74 ans, a été un farouche défenseur des droits de l’homme et a milité, dans les années 1980, pour la légalisation du Mouvement de la tendance islamique (MTI), rebaptisé Ennahdha en 1989. Il paiera son engagement d’un exil forcé de dix-sept ans en France. Proche du courant islamiste tunisien sans y avoir jamais été encarté, cet ancien expert auprès de l’ONU revient sur la genèse du mouvement cofondé par Rached Ghannouchi et dévoile les raisons de sa rupture avec ce dernier. « Un vendredi d’octobre 1968, un homme seul déambulait dans la mosquée de Paris. C’était Rached Ghannouchi. Nous fîmes connaissance et nous revîmes régulièrement au 15 de la rue de Belleville, où un lieu de prière et de rassemblement avait été aménagé. Il était croyant, mais n’avait jamais prié à la mosquée Zitouna de Tunis, bien qu’ayant suivi son enseignement durant sept ans. Rebelle, il me confia, en juillet 1969, en présence de son frère, qu’il voulait retourner en Tunisie « pour provoquer la révolte des Béni Zid », sa tribu d’origine. Il n’en fera rien, les siens ne l’ayant pas suivi. Nous étions de bons amis. Peu de temps après notre retour à Tunis, il sollicita même mon épouse pour demander la main d’une jeune femme qui s’était distinguée, à l’occasion de la Nuit du destin, par une brillante intervention devant Bourguiba. Une démarche restée sans suite. C’est à cette époque que Ghannouchi rencontra Abdelfattah Mourou, Fadhel Beldi, Hmida Ennaifer et d’autres. Ensemble, ils décident de créer, avec des enseignants de la Zitouna, l’Association de sauvegarde du Saint Coran(1). Ils tenteront d’en prendre les commandes, mais seront rapidement exclus par le principal animateur de l’association, Cheikh Habib Mestaoui, qui soupçonnait quelque chose de louche. En 1973, le groupe devint une organisation clandestine, Al-Jam’iya al-Islamiya, s’exprimant dans les colonnes de la revue Al-Maarifa, du cheikh Ben Slama. Mais Ghannouchi voulait sortir de la clandestinité, car il disait craindre la réaction de Mohamed Sayah, figure du Parti socialiste destourien (PSD, au pouvoir) et patron d’une milice redoutée. Je le mis même en contact avec Abdallah Farhat, ministre de la Défense, et Mustapha Filali, ex-directeur du PSD (Octobre 1978). Mais ses camarades rejetèrent cette option. De ces années-là, il faut retenir l’adhésion de la Jam’iya aux Frères musulmans. La démarche avait été effectuée par Hmida Ennaifer, mais, à ce jour, tous les membres du groupe nient ce fait, pourtant établi. De même qu’ils nient les deux projets de coup d’État de 1987 et de 1991. Ghannouchi m’a d’ailleurs reproché d’avoir évoqué, dans les années 2000, ces opérations avortées, mais il les avait reconnues implicitement en me lançant, en 2006 : « Que fallait-il faire de Bourguiba et de Ben Ali ? » L’existence d’une branche paramilitaire – le groupe sécuritaire – au sein du mouvement m’avait du reste déjà été confirmée par son propre chef, Salah Karkar, auquel succédera Moncef Ben Salem. Ghannouchi et ses camarades créèrent le MTI en 1981. L’été de cette année-là, en plein ramadan, lors d’une réunion du mouvement à Monastir, les cafés, sous la menace des islamistes, durent baisser leur rideau pendant la journée. Informé, Bourguiba ordonna les premières arrestations. Quelques jours plus tôt, Ghannouchi m’avait demandé de les rejoindre. Je lui répondis que j’avais choisi de ne jamais associer islam et politique, l’assurant toutefois de mon soutien en cas de besoin. D’où mon engagement total dans sa défense et celle de ses amis jusqu’à leur libération, en 1984. Écœuré Après les attentats de Monastir et de Sousse en 1987, Ghannouchi est de nouveau arrêté, puis condamné à la prison à vie, mais je persistais à penser qu’il fallait sortir le mouvement de la clandestinité et l’intégrer pour le contrôler. Outre le fait d’avoir maltraité et persécuté les dirigeants islamistes, l’erreur de Ben Ali aura été d’abord de les gracier en 1988 sans les avoir jugés. L’issue des législatives de 1989 – le parti au pouvoir rafle la totalité des sièges à l’issue d’un scrutin truqué – conduit Ennahdha à renouer avec la violence. Le projet de coup d’État de 1991 couvait ainsi depuis longtemps. Le 18 mai 1989, dix jours avant qu’il s’exile à Alger, Ghannouchi m’avait soutenu qu’il lui faudrait « deux ans », sans être plus explicite. Il comptait alors sur une victoire du Front islamique du salut (FIS) algérien pour revenir en conquérant en Tunisie. Notre dernière rencontre remonte à 1995, mais la rupture définitive aura lieu en 2005. Des détenus islamistes avaient demandé à être libérés. Avec un collectif, nous préparâmes une lettre à l’intention de Ben Ali. Ghannouchi, depuis Londres, eut vent de l’affaire et me signifia par téléphone qu’il était opposé à l’initiative, assurant que les prisonniers pouvaient faire la démarche individuellement. Écœuré, je rompis tout contact avec lui, car j’avais le sentiment qu’il vivait sur le malheur des autres et préférait fabriquer des martyrs plutôt que de voir des hommes réhabilités dans leurs droits(2). Une secte qui n’œuvre que pour elle-même Finalement, j’en aurai davantage appris sur Ennahdha lors de mon exil que durant ces dernières années, où elle a prétendu accepter le jeu démocratique. En réalité, ses dirigeants se battent contre l’État, qu’ils ne reconnaissent pas, et contre l’idée de patrie. Ils croient davantage au parti qu’en Dieu et sont prêts à mettre l’État à genoux pour servir leurs intérêts. C’est ce qu’ils font depuis 2011. Sans ses prisonniers politiques, Ennahdha aurait disparu depuis longtemps. Elle était d’ailleurs dans un état de quasi-mort clinique en 2009-2010, d’autant que la fracture entre les militants réfugiés à l’étranger et ceux qui étaient restés en Tunisie s’était creusée, une partie des premiers ayant bâti leur fortune sur les subsides qui auraient dû revenir aux derniers. Au sein d’Ennahdha, ce qui est utile au mouvement est forcément utile à l’islam, et non l’inverse. Dans tous les cas, l’avenir du parti est tout tracé : Ghannouchi restera à vie son président parce qu’il en contrôle les finances. Il avait d’ailleurs affirmé en 2008 à des militants qui voulaient redynamiser le mouvement : « Ennahdha, c’est moi. Vous pouvez en créer une autre si ça vous chante. » Ainsi va le parti de Ghannouchi tel que je l’ai connu, une fourmilière très organisée, comparable à une secte qui n’œuvre que pour elle-même. »
  19. Les activités de larbitre du match du CSS ont été gelées. juste pour vous dire qu'il faut arrêter de voir le mal partout.
  20. Il y a la lutte contre la version dite officielle dans une affaire particulière et pour des intérêts particuliers, et puis il y a le formatage des esprits au rejet de l'idée d'Etat, et c'est dans cette seconde perspective que s'inscrit le projet islamiste. Je ne les déteste pas, mais comme disait feu Chokri Belaïd : "nous avons une place pour eux dans notre projet de société, eux n'en ont pas pour nous".
  21. La différence de réalisation entre le match ASM-CSS et le match de l'étoile face à l'OCK est saisissant. Et je ne parle pas du terrain et du stade.
  22. Une equipe sport & travail qu'ils ont battu sur le score de 1 à 0.
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