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Messages posté(e)s par Silver

  1. comment ça un fait historique ?

    Oui 5ouya c'est un fait historique, après tu peux critiquer le fait que les 6 millions sont 1000X plus exposés que les 54 autres millions, que les juifs l'ont bien utilisé pour se victimiser, mais on ne peut pas nier l'indéniable. ça me rappel certains français qui nient encore la guerre d'Algérie.

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  2. khouya lghali, arrête de te foutre de ma gueule ! :)

    concernant les nouvelles technologies, tasma3 b'Toshiba ? tasma3 b'Sony ? tasma3 b'Samsung ? tasma3 b'la Corée du sud ? Taiwan ? Inde ? Brésil ? Afrique Du Sud ? Iran ? Venezuela ? ... !

    5ouya tu as parlé d'empire Yankee, ya3ni la société de consommation, le capitalisme, l'american way of life etc... donc tout ceux que tu cites en font parti!

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  3. 560275_460576397298837_1773030192_n.jpg

    Et voilà! chacun va y aller de sa petite caricature pour montrer à quel point les arabes sont des cons :)

    Sinon ces caricatures ne me choquent pas, les européens ont une autre conception de la liberté d'expression que la nôtre et nous devons la respecter... tout comme on leur demande de respecter la notre lorsqu'ils viennent chez nous.

    Je préfère un trop plein de liberté plutôt que trop de restrictions, et même si ça touche à la religion... il serait peut-être temps que nous nous décomplexions.

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  4. Hedi Ben Abbes : « Sakher El Materi a été expulsé et non extradé car les qataris ont estimé très sévère l’acte d’extradition »

    Hedi Ben Abbes, secrétaire d'état auprès du ministre des affaires étrangères, chargé des affaires américaines et asiatiques, a déclaré, mardi, sur les ondes de Radio Express Fm, que Sakher El Materi, gendre du président déchu réfugié à Doha, a été bel et bien expulsé (et non éloigné selon lui) de Qatar sur ordre de l’Emir Hamad Ben Khalifa Al-Thani.

    ShemsfM

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  5. Pas si loin des 14% de BenAli .... [khamem]

    Tu veux dire quoi par là stp? ye5i ce gouvernement est au pouvoir depuis janvier 2011? en un laps de temps assez court le taux de chômage tombe de 1.8 points et tu me parles du chiffre tronqué donné par le régime déchu... tu ne trouves pas que c'est une bonne chose qu'il y ait moins de chômeurs?

    بلاغ

    11-09-2012

    تستغرب رئاسة الجمهورية حملة التشكيك التي تقودها بعض الاطراف حول قرار السلطات القطرية طرد صهر الرئيس السابق صخر الماطري عن الاراضي القطرية.

    ويهم رئاسة الجمهورية أن تؤكد على أن قرار السلطات القطرية في هذا الخصوص نهائي ولا رجعة فيه بتأكيد من سمو أمير قطر شخصيا وأنه لن يكون بإمكان صخر الماطري العودة إلي قطر تحت أي ظرف ، كما يهم رئاسة الجمهورية أن تؤكد على أن القرار القطري جاء تتويجا لاتصالات ومحادثات قادها السيد عماد الدايمي مدير الديوان الرئاسي.

    دائرة الإعلام والتواصل

    رئاسة الجمهورية

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    • Contre 11
  6. amma fi beli la troika est unis dans leur programme , c'est a dire le CPR ne s'alliera pas avec ennahda pour que cette derniere applique son proframme , deja lors des tractationns kasroulna ryousna bhkeyt la mise en place d'un programme commun , donc soit ils mentent et ils discutaits des porte feuille minsterielle , soit vous etes mis d'accord et la la responsabilité est partagé :)

    Tu as parlé de "non maitrise de certain ministre de leur sujet", je t'ai répondu que les ministres CPR faisaient leur boulot.

    Maintenant si on va systématiquement tout ramener à Nahdha pour me mettre dans une position où je serais dans l'obligation de les défendre alors que je ne partage rien avec eux et que je suis probablement à l'opposé de la plupart de leurs idées... je dis non :)

    • Contre 8
  7. ken andikom hal tfadlou warrouna ;) sinon votre guide a dit donnez nous six mois et vous verrez des changement ;)

    haja okhra ,les une raison de la baisse de note de la tunisie est la non maitrise de certain ministre de leur sujet ;) si t'est pas conscient de ce point a lors je peut rien pour toi ;)

    Le CPR n'a pas le ministère de l'économie pour appliquer son programme :) je suis conscient que certains ministres ne sont pas à la hauteur et qu'ils méritent d'être remplacés, c'est le cas dans toutes les démocraties dans le monde.

    PS: concernant les ministres CPR, Ben Hamidane fait un boulot énorme au niveau des domaines de l'Etat, Sihem Badi a redoré le blason du ministère de la femme qui est devenu un véritable ministère qui met en place des actions partout dans le pays et pas un centre fantoche comme par le passé, Abdelwaheb Maatar a lancé sa nouvelle stratégie pour l'emploi et ne cesse d'essayer de trouver de nouvelles sources de créations, Hichem Ben Jemaa secrétaire d'Etat à la jeunesse travaille dans l'ombre mais fait un boulot énorme aussi pour le ministère... notamment pour les dossiers de corruption. Et enfin Hédi Ben Abbès qui a aussi un bon bilan à son actif.

    Brabbi arretons le dialogue de sourds et ayons une discussion digne de gens responsables

    qu'est ce que tu reproches à Y Brahim

    personnellement je reproche à Abdessalem son incompétence légendaire

    Allo Mosaique, ena Silver men Paris n7eb nsellem 3ala 5ouna Bati w nehdilou ghonneyet Dalida Parole Parole

    merci Mosaique

    • Contre 10
  8. 1. en tt cas , tu peut dire ce que tu veut sur MM mais il ne peut jamais etre un Homme d'etat ! il n'est pas venu ici par pour le peuple mais pour la présidence , pour etre un figurant et un leche botte d'ennahda ! son role est l'opposition limite LNDH ET PAS PLUS

    2. pour le programme de nide tounis je peut t'affirmer que les plus grands bureau d'etude de tunis sont sur le coups ;)

    1. Il te prouvera le contraire...

    2. oui en nous proposant comme part de gâteau au FMI et à l'Occident :)

    Ah si je comprends bien toi aussi ca te fait rire de voir certains lécher les bottes d'un leche botte d'ennahda :ph34r:

    Tu as lu l'interview?

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  9. ça me fait rire de voir certains lécher les bottes d'un tortionnaire comme BCE et critiquer voir insulter un Président démocrate ancien opposant élu à l'issu d'un scrutin démocratique :)

    Vous pouvez vous donner l'illusion d'être majoritaire sur ce forum, mais la réalité dans le pays est tout autre et vous vous en rendrez compte assez vite :)

    Ps: quelqu'un aurait un lien pour le programme de la pelle de la Tunisie?

    • Pour 4
    • Contre 17
  10. Interview du Président avec le Figaro:

    INTERVIEW - S'il met en garde les extrémistes, le président tunisien se dit «scandalisé» par l'image de son pays en France.

    Moncef Marzouki, 67 ans, médecin de formation qui a longtemps vécu en France, est président de la République tunisienne depuis décembre 2011.

    LE FIGARO. - Vous avez récemment accusé les islamistes d'Ennahda de revenir à des pratiques dignes de l'ère Ben Ali. Y a-t-il dérive autoritaire?

    Moncef MARZOUKI. - Je parlerais plutôt de tentation - et de tentative - de mainmise sur un certain nombre de rouages de l'État. Pour la tentation, je leur dis halte! Et pour la tentative, je les avertis que cela ne va pas marcher. Dès qu'on les met en garde, ils reculent. Il existe une tendance, peut-être pas une volonté délibérée, mais une tendance d'une fraction d'Ennahda - car c'est un corps complexe - de reproduire de façon quasi inconsciente les anciennes pratiques. J'ai voulu tirer la sonnette d'alarme en disant que non: si nous sommes là, ce n'est pas pour refaire ce qui a été fait avant, c'est pour faire autre chose, et cela implique de veiller à la neutralité de l'État. Je vais proposer, en veillant même à ce que ce soit inscrit dans la Constitution, que la nomination des grands commis de l'État ne relève plus de la responsabilité du président de la République ou du premier ministre, mais d'une commission dans laquelle il y aurait des représentants du président, du premier ministre et du Parlement ; pour que l'État soit ce qu'il doit être - et qu'il n'a jamais été d'ailleurs en Tunisie: la propriété de la nation et non pas d'un parti politique.

    Ennahda est accusé d'avoir phagocyté l'administration. Les deux tiers

    des gouverneurs seraient issus de leurs rangs…

    MM - Oui, je confirme, et cela m'indispose fortement. Moi, je refuse de m'installer dans une stratégie de partage du gâteau. Tout ce qui relève des grands rouages de l'État n'a rien à faire avec les nominations partisanes.

    Les tensions au sein de la coalition sont de plus en plus vives. Est-elle déjà, comme certains l'affirment, une coquille vide?

    C'est faux. La troïka au pouvoir fonctionne. Beaucoup de choses ont été faites dans le cadre de cette troïka et, ce que les gens ignorent, beaucoup de choses ont pu être évitées. Des erreurs de gestion, des conflits. C'est comme en médecine. Vous voyez les maladies qui ont été guéries mais pas celles qui ont été évitées. Évidemment, il y a des tensions, des crispations, mais c'est naturel. Nous avons des idéologies différentes, des sensibilités différentes. Des laïcs de gauche avec des islamistes conservateurs, ce n'est pas évident. Cela nécessite beaucoup de subtilité, de patience, d'abnégation. Cette coalition résiste, et c'est un miracle.

    Les islamistes partagent-ils toujours avec vous le même projet de société?

    Le projet d'une société pluraliste, tolérante, où la femme est l'égale de l'homme, une société ouverte sur le monde tout en étant attachée à ses racines n'est pas remis en cause par Ennahda, mais par sa fraction d'extrême droite qui est très minoritaire dans le pays, c'est-à-dire les salafistes. Ce projet est également attaqué par une infime minorité d'extrême gauche qui voudrait nous ramener à la révolution culturelle. Ce projet de société, soutenu par la quasi-totalité des Tunisiens, est en place depuis soixante ans, et s'imaginer qu'il puisse être mis en danger par la déclaration d'un imam ou la manifestation d'une poignée d'illuminés, cela revient à croire qu'on peut changer de place une forêt parce qu'il y a une branche qui bouge. Jamais les libertés n'ont été autant protégées dans ce pays. J'aime la France, mais je suis accablé, scandalisé, blessé, indigné par l'image qu'on y donne de la Tunisie, à savoir un pays qui va basculer dans l'escarcelle de l'islamisme, qui est sur le point de verser dans le salafisme. Le moindre petit incident, qui n'a strictement aucun impact sur la société tunisienne, est grossi, comme cette malheureuse attaque d'un élu français qui a déclenché un branle-bas de combat médiatique. Je ne veux pas dire que ce n'est pas un acte condamnable, mais il y a des millions de touristes en Tunisie et ils ne sont jamais agressés. Les salafistes ont parfaitement compris cela et ils vont nous mettre la pression. Ces incidents sont insignifiants pour ce qui est de leur capacité à transformer la société tunisienne, mais ils sont malheureusement hypersignifiants par leur capacité de nuisance sur l'image de la Tunisie.

    Il n'empêche que bon nombre d'acteurs de la société civile qui avaient fait confiance à Ennahda se disent aujourd'hui trahis…

    La situation est difficile, complexe, je partage ces craintes, mais la Tunisie n'est pas en train de basculer dans l'islamisme à outrance. Prétendre cela relève du fantasme. Le débat politique est très virulent parce qu'il y a des forces antagonistes qui n'ont pas l'habitude de travailler ensemble. La Tunisie est en train de se reconstruire. Nous devons créer un nouveau système politique, un nouveau système d'information, un nouveau système de valeurs, et chacun tente de donner à ces nouveaux systèmes les configurations qui l'arrangent. En faisant preuve de bonne ou mauvaise foi, de calme ou d'agressivité. C'est le chaudron du diable. Mon rôle consiste à calmer le jeu. Je le dis aux islamistes d'Ennahda comme aux gens de ma famille politique où certains se sont mis en tête de tester les islamistes, de les provoquer, de voir s'ils ne vont pas tomber dans le panneau. De part et d'autre, on pousse l'autre à l'erreur, et, si ce jeu dérape, cela finira dans la violence. Moi, je leur dis: calmez-vous, parce que, de toute façon, nous sommes contraints de cohabiter.

    Que pensez-vous du projet d'article 28 de la future Constitution qui parle

    de complémentarité et non d'égalité des sexes?

    Disons que c'est une maladresse. Je l'ai dit aux gens d'Ennahda, et je crois qu'ils n'en sont pas très fiers.

    Le saccage par des salafistes de l'exposition d'art à La Marsa?

    Un nouveau dérapage. J'ai fait savoir que je préfère tous les effets pervers de la liberté d'expression à la censure. Nous avons hérité d'une culture de l'intolérance. Vous ne pouvez pas demander à un pays qui sort de cinquante ans d'autoritarisme de tout accepter du jour au lendemain.

    Que pensez-vous du projet de loi criminalisant l'atteinte au sacré?

    Je suis contre. C'est absurde. Ce projet n'a pas de raison d'être, d'autant qu'il existe déjà une loi qui punit de tels actes.

    Les médias dénoncent des atteintes à la liberté d'expression…

    Le gouvernement tente maladroitement de se défendre contre un harcèlement permanent. Et, comme partout ailleurs, il veut encadrer les médias. Mais ce n'est pas noir ou blanc. Le méchant loup qui veut museler les médias, c'est du fantasme, parce que le méchant loup, à savoir l'État, laisse dire et écrire des choses abominables, est attaqué du matin au soir par une presse dont beaucoup de plumes collaboraient avec l'ancien régime. Il y a des professionnels dignes de respect et une bande de malfrats dont vous n'avez pas idée. Ils se posent en révolutionnaires modèles après avoir écrit des lettres honteuses à Ben Ali et reçu de l'argent. Ce qu'ils veulent, c'est couler le gouvernement. D'ailleurs, nous allons transmettre leurs dossiers à la justice transitionnelle.

    Diriez-vous encore qu'Ennahda est l'équivalent islamiste de la démocratie chrétienne?

    Oui, je n'ai pas changé d'avis. Ma stratégie pendant les années de plomb a été de dire qu'il y a un spectre islamiste très large et que l'islamisme, pour une large part, est soluble dans la démocratie. Ma mission est de les arrimer aux valeurs démocratiques. C'est la raison pour laquelle je continue à coopérer avec

    Ennahda, sachant aussi que la frange salafiste est irrécupérable.

    Le projet de Constitution est loin de faire consensus. Ennahda veut un régime parlementaire, les autres partis un régime semi-présidentiel…

    Si la Constitution n'est pas acceptée par une majorité des deux tiers, nous consulterons le peuple par référendum. Les islamistes ne peuvent pas réunir à eux seuls cette majorité, donc ils ne peuvent pas imposer leurs vues. Nous sommes les descendants des Phéniciens, nous faisons du négoce depuis trois mille ans. Nous avons le sens du marchandage et du compromis. Il y aura un consensus. Nous n'avons pas le choix.

    [hi] Mr le Président [hi]

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