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http://www.youtube.com/watch?v=4Hkiv-F36Pc&feature=youtu.be min les elites l rajel rabi yar7mou 17 fil bac w asgher moulezem fil bled inna lileh w inna ilayhi raji3oun
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achetez vous des armes ... bientôt ça sera plus necessaires que les portables
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merci des stats enormes 1 but encaissé dans 8 matchs contre 22 marqués c'est ENORME
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ena mazelet jdid konet no5less min Dexter 9bal ema tawa wfet c'est bon
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8/8 c'est un record ?
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Magnifique Breaking Bad j'ai adoré , jeu d'acteur réalisation et surtout les reversement de situation et les chocs 9weya barcha et la fin 9weya barcha better than dexter
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Je viens de terminer l'episode 9 maintenant M A G N I F I Q U E
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je viens de terminer le telechargement de la saison 5 de Breaking Bad w inaha lé sahriya m3a Breaking Bad 7ata l mawt
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jdid hetha ?
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elle est parfaite la serie , aussi l'episode mais je trouve tjr que Hello Dexter Morgon est la meilleur episode et la 4eme saison est la meilleur saison d'une serie je dois terminer Breaking Bad ( dans 2 jours max ) et puis je ferai une bonne comparaison entre les 2 séries cultes de cette décennies d’après plusieurs demain traya7 mechiw sbe7 le temps yekmel l telechargement mte3 saison 5 w nibda 3la 3ajla fellil
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je viens de terminer la 4eme saison Magnifique Breaking Bad
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le pire que je gagnais toujours a3ti asgher war9a w dima yemchi
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Je commence la 4eme saison aujourd'hui ou bien demain
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wallah je me repose trop :p je travaille de 13h a 19hje rentre nor9ed vers 21h30 a 5h du matin je me reveille hakeka n7ot Breaking Bad ilyuom par exemple j'ai regardé 6 episode de suites :p
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je ss a la 9eme episode de la 3eme episode elila nkamlha Magnifique
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jem3a o5ra taw irodouha jme3et l nahdha , La femme de Tayeb La3guili w o5t Samid Bettaeib w 5aleha howa 7amma
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je viens de terminer la 1ere saison de Breaking Bad en moins de 48 heures Heisenberg Nssob f la 2eme tikmel w nkamlha lila w ghodwa je vais terminer les 5 saisons en moins de dix jours
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je vbiens de rentrer tawa o9ssem billeh wrass ommi wrass baba je viens de voir Lotfi ben jeddou wzir l de5iliya yerkeb f karhba issou9 fiha Walid Baneni mte3 ennahdha ben jeddou hbat min karhba mecedes mùte3 louzaara w mché m3ah un garde du corps waslou lil karhba la7keya l kol saret f alain savary f aka l zan9a ili wra jeme3 entre canon et jeme3 mte3 alain savary ma sma3teech b chniya 9al ili behc ya3ti la79i9a 3la mout chokri ema je crois que fama lien ken yatla3 ili 9alou s7i7
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Les dix commandements de Rudi Garcia à la Roma 1 – Apprendre l'italien rapidement Cela peut paraître une évidence, et pourtant, ce n'est pas si simple. Dès sa première conférence de presse, Rudi Garcia a insisté pour qu'on lui pose toutes les questions en italien, même pour les correspondants français (sauf exceptions), afin de se familiariser avec la langue. Pour sa présentation, il avait même demandé aux photographes présents d'arrêter de faire des photos pendant que les journalistes lui posaient des questions car les nombreux crépitements des flashs l'empêchaient de bien entendre et de capter l'accent. Garcia a pris des cours intensifs et a été capable au bout d'un mois et demi de diriger un entraînement sans problème. Les joueurs ont apprécié et nombre d'entre eux ont avoué qu'ils avaient été surpris par sa rapide acclimatation. Garcia accorde beaucoup d'importance à ses discours avec les joueurs, aussi bien collectivement qu'individuellement, et le fait de parler rapidement l'italien était capital pour faire passer ses idées. 2 – Ne pas se laisser influencer sur le mercato Rudi Garcia l'a rapidement annoncé, dès sa première conférence de presse : aucun joueur n'arrivera à la Roma sans son aval. Un exemple parmi tant d'autres : alors que Walter Sabatini poussait pour recruter le gardien brésilien Rafael (23 ans, Santos, aujourd'hui à Naples), Garcia insistait pour avoir à sa disposition un gardien plus sûr, déjà habitué au championnat italien et très expérimenté. Résultat, Sabatini changeait de dossier et recrutait Morgan De Sanctis (Naples). Le gardien italien a d'ailleurs largement contribué aux bonnes performances de la Roma en ce début de saison, aussi bien sur le terrain, qu'en dehors, où il s'est imposé comme un leader du vestiaire. 3 – Ne pas donner d'importance au passé Rudi Garcia le martèle à chaque conférence de presse d'avant et d'après match : le passé ne l'intéresse pas. Quand on lui demande comment il a réussi à transformer cette Roma, il précise qu'il a tiré un trait sur ce qui s'y était passé depuis deux ans et qu'il n'y accorde aucune importance. Lui ne vise que le court, moyen et long terme à la Roma et il ne veut pas se laisser influencer par ce qui s'est passé avant son arrivée. C'est notamment avec cet état d'esprit qu'il a défendu Osvaldo lors du stage estival alors que de nombreux tifosi l'insultaient pour son comportement depuis deux ans. 4 – Instaurer des règles Alors que les joueurs de la Roma faisaient ce qu'ils voulaient en toute impunité depuis deux ans, avec des dirigeants ne soutenant pas toujours leur entraîneur (comme avec Zeman), ceux-ci ont dû se plier aux règles de Rudi Garcia. Questionné dès son arrivée sur le sujet, l'entraîneur français s'est contenté d'un laconique "quand on vit en communauté, il y a toujours des règles". L'alimentation, la ponctualité, le respect, le collectif et le dépassement de soi, voilà quelques aspects que surveille attentivement Rudi Garcia. Le départ d'Osvaldo a aussi facilité la cohésion et évité bien des problèmes de comportement. 5 – Redonner confiance au groupe En débarquant à Rome, Rudi Garcia a vite compris (en deux heures selon ses dires) qu'il aurait du travail pour redonner confiance à son groupe. Le Français évoque aujourd'hui l'ambiance négative liée aux mauvais résultats et au désamour des tifosi qu'il a trouvée à son arrivée. Pour effacer cette tendance à la déprime, Garcia et son staff ont fait un travail en profondeur et ont réussi à gommer l'auto scepticisme général. Entre entretiens individuels et réunions collectives, petits jeux à l'entraînement et véritable force d'auto persuasion, Rudi Garcia a peut-être réussi le plus dur : un lourd travail psychologique et mental sur ce groupe. 6 – Ramener une solidité défensive Après le passage de l'inexpérimenté Luis Enrique, du "fou" Zeman et de "l'inutile" Andreazzoli, la Roma avait perdu ses racines italiennes. Certes, la Roma a toujours été un club romantique où le beau jeu prime et où le Catenaccio n'a jamais été une raison de vivre, mais de là à présenter une équipe avec une défense si perméable, il y avait un gouffre que les joueurs avaient pourtant réussi à combler. Alors, Rudi Garcia a beaucoup travaillé l'aspect défensif dès ses premiers entraînements. Il a enfin réussi à inculquer un état d'esprit collectif fort, où les joueurs défendent ensemble et à onze. Tout le monde se met au service de l'équipe lors des phases sans ballon, et il suffit de voir un joueur comme Borriello faire des sprints de 40 mètres sur le côté pour venir défendre, pour comprendre que Garcia a réussi ce tour de force. La Roma n'a concédé qu'un but (meilleure défense de Série A) et que neuf tirs cadrés à ses adversaires (meilleure équipe là encore) lors des cinq premières journées. 7 – Transmettre son style de jeu La Roma sait se faire patiente. Là où elle aurait envoyé, il y a quelques mois, de longs ballons devant, face au manque de solutions offensives, elle sait aujourd'hui prendre son temps dans la construction de ses attaques offensives. Le milieu à trois De Rossi-Pjanic-Strootman est fait de techniciens, capables de décrocher pour imprimer une première relance propre et assurer la possession de balle. Offensivement, les trois joueurs alignés permutent pendant toute la rencontre afin d'éviter de donner des références aux défenseurs adverses. Il n'est pas rare de voir Gervinho etFlorenzi aller de droite à gauche ou encore Totti dans l'axe et sur un côté. Alors que Maicon est toujours positionné assez haut dans son couloir droit, Balzaretti se concentre essentiellement sur la phase défensive afin de ne pas déséquilibrer la défense, tandis que Florenzi couvre le latéral brésilien. En résumé, la Roma a le ballon, reste patiente, affiche une sérénité étonnante, et sait accélérer quand il le faut. 8 – Donner de l'importance à chaque joueur Rudi Garcia ne manque jamais une occasion de féliciter publiquement ses remplaçants. Mercredi soir, il a notamment insisté sur le travail de Totti et Dodo. Contre Vérone, c'était Ljajic. Contre la Lazio, encore l'attaquant serbe, Taddei et Borriello. À chaque fois, il met en avant l'état d'esprit très positif des joueurs qui commencent les matchs sur le banc. Le symbole de tout cela ? La joie sur les buts de la Roma. Un attroupement énorme se forme et tous les remplaçants fêtent le but comme s'ils venaient de le marquer eux-mêmes. Rudi Garcia réussit à maintenir tout le monde sous pression et sait récompenser le bon travail de ceux qui jouent moins. Sur la pelouse de la Sampdoria, Marquinho et Borriello étaient par exemple "inhabituellement" titularisés. Il ne s'agissait pas d'un turn-over pour raison physique mais bien d'une sorte de récompense. 9 – Savoir se mettre la presse dans la poche Après les premières semaines "normales" où Garcia a pris la température auprès des médias transalpins, il se lâche un peu plus lors de ses interviews et ses conférences de presse. Sa phrase "On a remis l'église au centre du village" a fait le buzz après le derby, tout comme son inattendue déclaration "aujourd'hui je suis l'un des vôtres, je suis Romanista", accueillie par les applaudissements de nombreux journalistes présents dans la salle. Il n'hésite plus à plaisanter lors des interviews d'après match avec les présentateurs et présentatrices de Mediaset et Sky Italia, preuve de la bonne humeur générale au sein du club, grâce aux bons résultats. 10 – Bannir l'euphorie Il est si facile de se laisser emporter par la douce folie romaine. Alors, le "marteau-piqueur" Rudi Garcia redouble d'efforts : non, la Roma n'a encore rien fait. Cinq victoires, c'est bien. Très bien même. Mais ce n'est pas un trophée ni même synonyme d'une place en Coupe d'Europe. Le technicien français insiste pour faire redescendre la température rapidement et éviter toute euphorie. Dès le coup de sifflet final passé, l'entraîneur français ne pense qu'au prochain match et ne s'attarde pas sur le précédent. C'est un élément clé de l'éventuelle réussite de la Roma cette saison : maintenir la concentration du groupe, éviter l'euphorie et garder cette faim de victoires. Cela tombe bien, le club a choisi un slogan publicitaire équivoque cet été : "personne n'a plus faim que nous". Rendez-vous fin mai pour l'addition http://eurovisions.eurosport.fr/football/serie-a/2013-2014/les-dix-commandements-de-rudi-garcia-a-la-roma_sto3941698/story.shtml
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Isco dhaya3 fiha Benzema ikawer f match e5er Arbeloa Coentrao Bale kolha dhay3a fiha Ancelloti kif kif
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je parle de celui dans la photo ili l9a jweb kbir kif ma 9al howa f jarda mte3 darou ken f nessma zeda howa ilyoum sinon pour Mohamed Slah Hidri c'est pas si facile cette hitoire de 50 attaques en une seule journée sinon Abou Iyadh est rambo :p
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je crois que howa ili ken f nessma ilyoum rajel est sur de lui 3ale5er w 7assb ma ya7ki inajem ye9leb libled
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merci achref-est TG b9adech dream HD behi ?
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benzema 3mal l 3ar bil bhema
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