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http://www.assabahnews.tn/article/96238/%D9%85%D8%AE%D8%B7%D8%B7-%D8%A7%D8%BA%D8%AA%D9%8A%D8%A7%D9%84-%D8%A7%D9%84%D8%B3%D8%A8%D8%B3%D9%8A-%D8%A7%D9%84%D9%86%D9%8A%D8%A7%D8%A8%D8%A9-%D8%A7%D9%84%D8%B9%D9%85%D9%88%D9%85%D9%8A%D8%A9-%D8%AA%D9%81%D8%AA%D8%AD-%D8%AA%D8%AD%D9%82%D9%8A%D9%82%D8%A7-%D8%B6%D8%AF-%D8%A7%D9%84%D9%85%D8%B1%D8%B2%D9%88%D9%82%D9%8A-%D9%88%D9%85%D9%86%D8%B5%D8%B1
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Le porte-parole de la présidence de la république, Adnene Manser avait démissionné de sa fonction au sein de la présidence depuis le 1er novembre 2014, selon une décision républicaine, numéro 239, écrite le 31 octobre 2014 et publiée dans le Journal Officiel de la République Tunisienne (JORT), sauf que Manser a émis et signé des documents relevant de la présidence de la république, 25 jours après l'officialisation de sa démission. En effet, Adnene Manser a signé des documents, le 25 novembre 2014, en tant que directeur du cabinet présidentiel, relatifs à la création de comités administratifs appartenant à la présidence de la république. Cette décision ainsi que la signature de Adnene Manser ont été publiées dans le JORT du 5 décembre 2014. Il est à noter qu'Adnene Manser est le directeur de la campagne électorale pour la présidentielle, de Moncef Marzouki, depuis le 25 novembre 2014.
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http://www.businessnews.com.tn/moncef-marzouki--sans-falsification-il-nest-pas-possible-a-lautre-candidat-de-nous-vaincre--video,520,51877,3 https://www.youtube.com/watch?v=IxjpS0hrbbg#t=71
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La tension est montée d’un cran la semaine dernière. Il y a, dans ce pays, des politiques qui occupent les plus hautes sphères du pouvoir et qui n’ont jamais entendu parler d’un sondage. Ils ont passé leur « printemps » à dénigrer les instituts spécialisés et les médias les accusant d’être à la solde d’un adversaire politique hypothétique. Et à l’annonce des résultats, aussi bien aux législatives qu’au premier tour de la présidentielle, ils ont été surpris de découvrir la réalité. Tiens ! Les Tunisiens ne nous aiment pas ! Tiens, les Tunisiens n’ont pas compris la révolution et leur intérêt. Sans jamais remettre en doute leurs idées reçues, ils accusent les médias (bien sûr !) d’avoir manipulé, à dessein, l’opinion publique pour l’éloigner de la révolution, de ses hommes et de ses objectifs. Il est donc normal, avec ce constat d’échec et ces résultats catastrophiques, que la tension monte. Et si la tension ne monte pas suffisamment, on la fait monter en soufflant sur les braises et en jetant l’huile sur le feu. Ici, on joue le tout pour le tout et peu importe que l’on joue, aussi, la politique de la terre brûlée. Tarek Kahlaoui, Hamadi Jebali, Salem Labiadh et autres Al Jazeera, Al Moutawassat, TNN et Assada ne s’embarrasseront plus à relayer tous types d’intox pour alimenter la haine et le régionalisme dans l’espoir de marquer des points en faveur de Moncef Marzouki et d’en retirer à Béji Caïd Essebsi. Aux dernières législatives, le parti présidentiel CPR a récolté 68.000 voix, soit 2%. Avec un tel score, le constat de l’impopularité de ce parti et de son président est sans appel. Le bilan de Moncef Marzouki est dramatique en trois ans. Il n’a pas arrêté de nommer et de gommer ses conseillers les plus proches, plus d’une quinzaine en tout. Ses amis les plus proches des années de braise l’ont laissé tomber les uns après les autres et ont dénoncé ses turpitudes et le danger qu’il représente : Néziha Rejiba, Omar S’habou, Slim Bagga, Taoufik Mathlouthi, Ahmed Manaï. Au parti présidentiel, aujourd’hui, on dit qu’on est zinzins et qu’on est fiers de l’être. On est même honoré d’avoir le soutien des salafistes et des ligues de protection de la révolution. « Et alors ? », déclarait l’une de ces « zinzins » la semaine dernière sur le plateau de Nessma . Il y a des parties radicales dans ce pays qui ont intérêt à voir Moncef Marzouki rester là où il est. Comment faire pour qu’il y reste ? On mobilise les foules. Le « miracle » s’est produit dimanche dernier. De 68.000 voix obtenues par son parti le 26 octobre, Moncef Marzouki réussit à décrocher quelque 1,1 million de voix le 23 novembre. Même ceux qui étaient traités de microbes l’ont soutenu ! Il y a donc une véritable machine qui a été lancée pour le sauver. Qui est derrière cette machine ? Tout le monde s’accorde à dire que c’est Ennahdha. Le constat est juste, mais tronqué. Car il n’y a pas un seul parti Ennahdha, mais plusieurs. Ou, du moins, plusieurs tendances au sein d’Ennahdha qui s’entredéchirent en interne. Il y a deux ans, la division au sein d’Ennahdha était claire pour ceux qui suivent de près le parti islamiste. Le parti était partagé entre les anciens prisonniers et les anciens exilés. Ça n’a pas beaucoup changé depuis, même si l’on ne parle plus de cette ligne de front interne. Les anciens prisonniers n’arrivent pas à admettre qu’ils ont été éjectés du pouvoir et qu’ils ne sont plus le premier parti au pays. Ils en veulent à mort à leur « sheikh » Rached Ghannouchi qui, avec ses tactiques, les a conduits à ce résultat dramatique. Ils lui en veulent d’avoir exercé la pression pour que la loi de l’exclusion politique ne passe pas. Ils lui en veulent d’avoir négocié, à Paris, avec Béji Caïd Essebsi. Ils lui en veulent d’avoir lancé un appel de neutralité à la veille du 1er tour et d’avoir diffusé une vidéo, entre les deux tours, pour relancer cet appel. C’est même la première fois, dans ces élections, que Rached Ghannouchi sort en personne pour diffuser une vidéo. Ce qui s’est passé en Egypte, l’année dernière, a énormément pesé en Tunisie. Durant ses deux décennies d’exil, Rached Ghannouchi a eu le temps de rencontrer du monde et d’avoir une idée de ce qu’est la politique et la géopolitique. Fin calculateur, véritable renard, Rached Ghannouchi a très rapidement compris qu’il fallait reculer, s’il ne veut pas connaitre le même sort que les frères musulmans égyptiens. Le risque était gros et l’ombre de la guerre civile planait. Rached Ghannouchi a rapidement compris aussi que le danger de maintenir Moncef Marzouki à son poste est nettement supérieur, pour son parti et pour le pays, que de voir Béji Caïd Essebsi à Carthage. Marzouki à Carthage et Nidaa à la Kasbah signifie cohabitation synonyme d’instabilité politique totale. Marzouki n’a pas beaucoup de prérogatives, mais il a celle de dissoudre le parlement élu. Le danger de le voir jouer avec un tel instrument est réel et Ghannouchi le sait. Et il sait aussi que Caïd Essebsi n’a aucun moyen de faire revenir la dictature, comme le crient sur tous les toits Marzouki and co. Avec le tiers du parlement entre ses mains, une société civile (islamiste et de gauche) aux aguets et très active et des médias qui tirent sur tout ce qui bouge, cette éventualité est quasi nulle. Ces convictions de Rached Ghannouchi ne sont pas partagées par tout le monde. Loin de là. Il y a les naïfs qui ne les comprennent même pas, à l’instar des Abbou et des bases d’Ennahdha. Et puis, il y a les requins et les vautours qui n’y adhèrent pas du tout et qui sont prêts à prendre le risque de brûler le pays pour se maintenir au pouvoir. C’est dans cette liste que puise Marzouki et c’est ceux là qui lui ont ramené les voix nécessaires pour qu’il accède au second tour. Dans cette liste, on trouve des Abdellatif Mekki, Abdelkrim Harouni et Ali Laârayedh, notamment. Hamadi Jebali s’est joint à eux dernièrement, mais pour un autre objectif. Ces gens-là étaient tous en prison et ils ont tous un historique violent, pour ne pas dire sanglant. Ont-ils changé ? Ont-ils évolué ? Le doute est permis quand on se rappelle de la chevrotine de Siliana ou quand on se remémore Abou Iyadh qui a quitté la mosquée d’El Fath parce que Laârayedh a donné l’ordre à la police de se retirer. Il suffit d’écouter leurs discours pour se convaincre que ces gens-là ne comprennent pas grand-chose à la politique, à la géopolitique, ou la nécessité de la concorde pour sauver le pays. De quel pays parle-t-on déjà ? Ils ont passé des années de prison parce qu’ils croyaient en une cause bien déterminée, et non parce qu’ils croient en la démocratie et en la liberté. Ils ont donc bien manœuvré et ce depuis des mois. Dès la présidentielle, ils ont poussé des dizaines de candidats, les plus farfelus, à se présenter. On a vu la « botoxée » et celui qui lui manquait une « voiture motorisée » pour gagner. 27 ont réussi à dépasser le premier filet. Et quand on voit de près ceux qu’on croit poussés par le parti islamiste, on voit ceux qui appartiennent au camp Ghannouchi (comme Hechmi Hamdi par exemple) et ceux qui appartiennent au camp adverse. Les « démocrates » aux égos démesurés ont achevé le reste. Maintenant que le premier tour est passé, avec le résultat qu’on connait, les divisions se sont accentuées davantage au sein du parti islamiste. Ceux qui soufflent sur les braises pour enflammer le sud (Laârayedh est de l’extrême sud tunisien, tout comme Imed Daïmi et Slim Ben Hmidène, autres pyromanes du paysage) pour favoriser Marzouki et ceux qui appellent, d’une manière à peine voilée, à ne pas voter pour lui. Résultat des courses, tout le pays se voit acculé à être dans la réaction et non dans l’action. Les uns tentent de calmer le jeu, pendant que les autres continuent, en toute impunité, à jeter de l’huile sur le feu. Quitte à faire capoter les élections, quitte à enflammer le pays, leur avenir personnel prévaut sur la réussite de la transition démocratique. Une démocratie qui place leur « ennemi » au pouvoir n’est pas une démocratie viable à leurs yeux. Quand on a connu l’eau de feu et les explosifs dans sa jeunesse, il est tout à fait logique d’évoluer vers le feu et les bombes quand on devient grand. Ce n’est peut-être pas le cas de ces dirigeants d’Ennahdha, mais on témoignera, au moins, qu’ils sont bien doués pour ajouter de l’huile sur le feu et souffler sur les braises.
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Le président de l’ANC, Mustapha Ben Jaâfar, s’est expliqué, sur les ondes de Mosaïque FM le 2 décembre 2014, sur les raisons de la non invitation de Moncef Marzouki à la séance d’ouverture de la nouvelle assemblée des représentants du peuple (ARP). Mustapha Ben Jaâfar a expliqué que l’absence de Moncef Marzouki est due à des raisons protocolaires. Selon lui, le chef de l’exécutif n’avait pas à être présent car il s’agit d’une passation entre deux parlements. Il a justifié la présence du gouvernement par le fait que ce dernier est en rapport direct avec l’Assemblée. Mustapha Ben Jaâfar a tenu à dire que le fait de ne pas inviter Moncef Marouki « n’avait aucune portée, ou objectif politique ».
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Le juge d’instruction du 8ème bureau du pôle judiciaire a décidé de garder Slim Chiboub en état de liberté dans une affaire de corruption concernant la société canadienne spécialisée en construction de stations pour générer l’électricité. Mais il reste en état d’arrestation dans d’autres affaires. Slim Chiboub est impliqué dans 14 affaires : Acquitté dans une affaire 6 mois de prison dans une deuxième affaire Un mandat de dépôt dans une affaire En état de liberté dans les 11 autres affaires
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Le groupe hacktiviste Anonymous Tunisie a révélé avec fracas des documents* consécutifs aux dépenses faramineuses de la présidence de la République. Sur la toile tunisienne, le scandale s’est propagé comme une trainée de poudre, d’autant plus que la publication de ces documents a coïncidé avec le premier tour de l’élection présidentielle. C’est que Moncef Marzouki semble, contrairement à ce qu’il prétend, dilapider les deniers publics en frais, pour le moins qu’on puisse dire, inutiles et exorbitants ! Retour sur les frasques financières du président provisoire de la République. A la publication des documents secrets de la présidence et le tollé suscité chez les internautes tunisiens, les proches de Moncef Marzouki ont signifié qu’il s’agit là d’une tentative malhonnête pour saboter les chances du président sortant à gagner les élections. Le camp de Marzouki a crié au complot et a tenté de mettre en doute l’authenticité des factures, accusant une manœuvre des adversaires politiques, en vue de jeter le discrédit sur le président-candidat. Business News s’est abstenu de publier ces documents, tant que leur authenticité n’est pas confirmée, la réponse vient du porte-parole de la présidence de la République, Mohamed Messaî, qui sans gêne, aucune, l’a affirmé ! Le nouveau porte-parole a en effet déclaré que la publication des documents et des factures, n’était pas une réalisation en soi. La raison ? Selon lui, tous ces documents sont disponibles aux citoyens, et que chacun a la possibilité de les consulter, en vertu du droit d’accès à l’information. Mohamed Messaî ajoute que toutes les dépenses de la présidence ne sont un secret pour personne, soulignant que le gouvernement est au courant de tous les frais. Le responsable explique que le contrôleur des dépenses du gouvernement, se charge de l’approbation des factures et en cas de refus, celles-ci sont acheminées au chef du gouvernement. Est-ce que cela justifie pour autant les dépenses scandaleuses du président de la République ? Nous y reviendrons dans les détails ! Dans la foulée, Mohamed Messaî a accusé les fonctionnaires de la présidence, signifiant qu’ils sont responsables de la fuite des documents, dans le but de manipuler l’opinion publique dans les colonnes d’Assabah News. Contradiction ? Le monsieur assure d’un coté que les factures sont disponibles à tous, et d’un autre condamne leur fuite… Les hacktivistes ont confirmé qu’ils ont entrepris cette opération, afin d’éclairer l’opinion publique sur la duplicité du discours de Moncef Marzouki. Alors qu’il cherche à démontrer qu’il préserve l’argent public et sa solidarité avec les classes démunies, les documents piratés révèlent le contraire de ce qu’il prétend être. La folie des grandeurs de Moncef Marzouki semble ne pas avoir de limites. Les coûts des dîners, réceptions, hébergement dan des hôtels de luxe ou autres cocktails et déplacements à l’étranger, sont tout à la fois stupéfiants et choquants, quand on sait que la Tunisie est en pleine crise économique. La facture qui a le plus suscité l’indignation et les moqueries amères des Tunisiens, est celle des frais de 10.000 dinars d’un restaurant pour l’achat de poissons et de fruits de mer. Parmi la liste des dépenses, on relève également une demande formulée à la présidence du gouvernent pour la prise en charge des frais de séjour de l’ancien président mauritanien, Mohamed Cheikh Abdelilahi et la délégation de quatre personnes qui l’accompagne. Le document fuité nous apprend que les frais assumés par la présidence, concernent des soins prodigués à l’ex chef d’Etat mauritanien, à l’hôpital militaire. Le coût total de ce séjour, pour soins, qui a duré 22 jours s’est élevé à 18.627.000 dinars. La présidence de la République a en outre pris en charge les frais de transport du ministre sud-américain Pedro Paez Perez, 11. 478.000 dinars en tout, pour un déplacement Quito-Madrid, Madrid-Barcelone, Madrid-Tunis et Madrid-Quito. Par ailleurs, le président du Conseil de transition libyen et ses accompagnateurs ont bénéficié de la générosité de la présidence de la République. Pour une visite datant du 13 au 14 janvier 2012, on a dépensé 15.790.683 dinars, en frais d’hébergement de nourriture et de boissons ! Une autre visite, d’une délégation libyenne, a coûté 40.767.645 dinars. Le séjour a duré deux jours du 22 au 24 novembre 2012. Les amis personnels de Moncef Marzouki ne sont pas en reste, puisque la présidence s’est vue chargée de leur séjour ! Antoine Lazarus et Bernard Elghozi ont séjourné au Regency Tunis Hotel, aux frais de la présidence, la facture s’élève à 2.200 dinars. Il ne s’agit en aucun cas d’une visite protocolaire, ce qui rend ces dépenses inacceptables. On en passe des séjours dans des hôtels de luxe ou des cocktails et banquets, au cours desquels les deniers publics sont dilapidés sans vergogne ! A titre d’exemple, on apprend que rien qu’avec l’hôtel Golden Tulip, la présidence de la République a dépensé pas moins de 64.710.000 dinars en petits-déjeuners, déjeuners, cocktails et transports de nourriture. A l’hôtel El Mouradi Tozeur, la facture s’élève à 29.750.400 dinars, pour un séjour avec 20 chambres double, 68 en triple et 30 en quadruple, de quoi loger tout un bataillon ! Un autre déjeuner à l’hôtel Africa a coûté 16.250.000 dinars… Il devient impossible de relever ici toutes les factures de la présidence de la République, tant leur nombre est important, mais ces quelques exemples démontrent clairement l’ampleur du gaspillage qui a pris des proportions inadmissibles… Alors que les Tunisiens doivent se serrer la ceinture, le chef de l’Etat, provisoire, organise avec l’argent public, des repas et des événements qui coûtent des sommes faramineuses. En prenant conscience de tels gaspillages, on est en droit d’être perplexe, devant un président qui se targue de se préoccuper des pauvres et démunis, alors qu’il n’a cessé de berner le peuple et de dilapider l’argent du contribuable sans vergogne ! La question est, si Moncef Marzouki et son cabinet vont un jour rendre compte à la Justice de telles dépenses ?!
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http://www.tuniscope.com/article/57797/arabe/polit/bce-400610 a lire
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https://www.facebook.com/video.php?v=665908143526922
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celui qui a commis plusieurs infractions dans le premier tour dépose 8 recours,la bassesse du CPR n'a pas de limite
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Les présidences du CPR et d’Ennahdha ont beau lancer des appels au calme, certains pyromanes ne reculent devant aucune indécence pour marquer des points contre leur adversaire politique et enflammer le pays. Ainsi le cas de l’ancien député et actuel dirigeant du CPR, Samir Ben Amor, qui vient de mettre en ligne des procès verbaux de la police judiciaire élaborés vendredi dernier, soit le 21 novembre 2014. La publication des PV de police ou des PV de justice est strictement interdite. Médias et avocats connaissent bien cette interdiction et ses répercussions pénales. Ils en parlent, mais ne les publient jamais et ne les reprennent jamais textuellement. Samir Ben Amor n’en a que faire de ces interdictions, il a carrément publié des fac-similés de ces PV sans même flouter les noms des adjoints du procureur de la République et des agents de police ayant rédigé les PV et constaté les méfaits. C’est le même Samir Ben Amor qui, il y a un an, criait au scandale sur la fuite d’un télégramme de la CIA avertissant le ministère de l’Intérieur de l’assassinat de feu Mohamed Brahmi. Ces PV sont en rapport avec une saisie par la police d’un matériel de propagande en faveur du candidat à la présidentielle Moncef Marzouki. La saisie n’est pas fortuite, a priori, puisqu’elle a eu lieu après le constat par des agents de la police de Siliana d’inscriptions sauvages sur les murs d’un lycée et d’une école avec de la peinture fraiche. Ces inscriptions appellent à voter pour Moncef Marzouki, insultent les médias, « votez pour le docteur et non le dictateur »… Les PV mentionnent clairement qu’il n’y a pas eu d’arrestations, mais signalent la saisie d’un lot d’équipement, de matériel et d’affiches. Pêle-mêle, on trouve des centaines d’affiches géantes et de formats petit et moyen avec la photo de Marzouki, des centaines d’autocollants avec la photo du candidat, un ordinateur, des livrets de fans de l’UGTE (organisation estudiantine de tendance islamiste), des bonbonnes de peinture à gaz, etc. Ce qui est à relever, c’est que parmi les objets saisis par la police, on note une affiche géante sur laquelle on voit une photo d’une momie et l’inscription « votez pour la momie » en plus de 25 autocollants de grand format, 82 autocollants de format moyen et 97 autocollants de petit format. Sur ces autocollants, la police indique qu’il y a l’inscription « votez pour la momie du 7 novembre ». Dans son post Facebook, Samir Ben Amor publie bien les PV, mais dans le résumé qu’il en fait, il parle de militants CPR patriotes arrêtés arbitrairement par la police. Il dit que ces militants ont été arrêtés juste parce qu’ils ont soutenu Marzouki, alors que les PV ne parlent guère d’arrestations. Samir Ben Amor ne signale pas bien entendu, dans son résumé, la présence de ces affiches dénigrant Béji Caïd Essebsi et ne parle que du retour de la dictature et des arrestations arbitraires. Nous tenons à la disposition du procureur de la République les captures d’écran de ces PV que nous ne publierons pas vu que c’est strictement interdit par la loi. Si la justice applique strictement la loi, Samir Ben Amor encourt une peine de prison pour avoir publié ces documents.
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https://www.facebook.com/video.php?v=10152377151797085
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https://www.facebook.com/video.php?v=771152879626249
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les gens torturès sahbi c'etait avant la revolution et apres aussi,marzouki n'a rien fait,ni a siliana,ni autre,marzouki a acceuillis dans son palais des terroristes qui ont tuè nos soldats et a liberer beaucoup d'entre eux,le bilan de marzouki meme dans ce cas de figure est nulle,meme dans un vote par defaut beji arrive en premier lieu et de loin c'est ce que je crois
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sahbi avec tout le respect que je te doit,tu raconte n'importe quoi,tu prefere un blocage pendant 5ans a un tasayob total!!!!!!!!!!c'est la pire phrase que j'ai lu depuis longtemps a part celle biensur de saber taraji,le tasayob dont tu parle c'etait ces trois dernieres annèe avec la troika et son tartour en chef de fil,si tu a un autre avis dit le moi bjeh rabi,ces 3 dernieres annèes c'etait quoi????????est' ce que t'as jamais vus un president dans le monde comme marzouki qui met nos relation diplomatique en peril avec des pays voisins comme l'algerie,la lybie,le maroc,l'egypte,la syrie et tenez vous bien avec deux grandes puissance comme la russie et la corèe,qu'il vire une personne comme mustpha kamel nabli de la banque centrale sans aucun motif et il met un rcdiste (misselech biensur),qu'il abuse des mutations et des changement dans l'armèe en pleine guerre contre le terrorisme,qu'il qualifie ces opposants politique de taghout ,mechen9, qu'il invite des connards et bandya comme dghij,recoba ben hassen et aute energumene a sa compagne,c'est pas du tasayob ça!!!!!!repond moi sahbi c'est quoi?????? cette personne ne peut pas etre un president de la republique tunisienne c'est simple,meme hechmi hamdi ferait mieux,concernant le blocage ,si la tunisie n'arrive pas dans les 2 prochaines annèes a eradiquer le terrorisme serieusement et ne pas relancer l'investissement et eventuellment l'economie ce pays ne se revelera a jamais c'est l'unique hypothese s'il ya la9adara allah cohabitation
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son partie le CPR a acceuillit en grande pompe plusieurs predicateurs extremistes a l'aeroport de carthage en 2012 et 2013 (imed daimi en personne) meme si marzouki pouvait il irait je t'assure,wallahi je peut comprendre que plusieurs personne n'aiment pas beji mais essayer de trouver des points positifs au bilan de marzouki est vraiment du grand art
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c'est dans tous les pays democratique,ça se passe de cette maniere,il y a des elections presidentiele et legislatives,le partie vainqueur des legislatives pour qu'il puisse mettre en oeuvre son programme il doit avoir un president de son partie,c'est logique je crois!!!les differentes exemple de cohabitation ont prouvè leurs echecs flagrants,en plus nida ne va pas gouverner seul puisqu'il n'a pas de majorite absolus dans le senat
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sahbi si marzouki passe il y aura un blocage politique pendant 5 ans puisque il y a un gouvernement nida et un president d'un autre partie,si beji passe alors nida tounes pourra travailler en osmose et mettre en place sa politique et son programme ,en france par exemple quand il y eu cohabitation entre la gauche et la droite les decisions et les projets etaient tres difficiles a mettre en oeuvre,concernant tes questions ma reponse est simple c'est beji puisque le bilan de marzouki est catastrophique
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si tu pense que marzouki va rediculiser beji alors la tu te trompe largement sahbi,nida tounes ne va pas entrer dans le jeu du CPR et ses bandits du LPR et de tahrir ,chirac en 2002 a refusè le debat avec le pen puisqu'on ne peut pas debattre avec des personnes qui sont haineux et qui utilisent la violence et l'extremisme comme elements de compagne,en plus ce debat aurait ètè des plus facile pour beji par rapport au 3ans de marzouki au pouvoir mais si tu pense que le mandat de ce dernier etait positif alors la!!!!!!!!
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NON
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