Je me rappelle (en 1993 je crois) j'ai lu un article de 4 ou 5 colonnes dans les pages sport d'un journal arabophone tunisien style assabah ou autre, ou l'auteur expliquait comment par gratitude à zaba il fallait que le capitaine de chaque équipe nationale porte le n° 7. C'était un truc, même à l'époque, à se tirer une balle dans la tête. Je m'imaginais Tarak Dhiab éternel 10 jouant avec le 7.
Pour être constructif je crois qu'il faut une ou deux générations pour se débarrasser définitivement des amateurs de courbettes.