la cause palesinienne a été trahie in primis par els palestiniens eux même (il n'y a qu'à voir l'implémentation du sionisme en palestine avant la 2ème guerre mondiale), puis à intervalles réguliers lors des différentes crises avec l'Etat d'israel.
bref, là n'est pas le noeud du problème. technqiuement parlant: israel nechangera d'attitude que si et seulement si un mouvement interne poussera à une révolution culturelle pour l'adoption de la solution à 2 états.
après le 7 octobre 23, et malgrè que netanyahou s'évertue à prolonger la guerre, un sentiment d'insécurité s'est installé au fin fond du juif et spécialement chez ceux ui vivent en israel. tot ou tard, il y aura des éléctions et tot ou tard les locaux modérés prendront leur revanche et chercheront à avoir une paix contre la restitutionde klk terrains et klk mlliers de priosnniers.
la balance sera l'attitude de l'Iran et surtout l'attitude belliqueuse ou pacifiste des monarchies à double zero: si les arabes du golfe arretent de se palcer en tant qu'ennemis de l'Iran et des chiites, si les iraniens arretent leurs guerre de propagande, si les turcs (eh oui ceux là jouent un énorme role) ne petent pas les cables, peut etre l'occident s'impliquera dans une solution à 2 états. d'ici là,les pouvoirs en place dans l'occident ouvertement ou en cachette ne s'opposeront pas à israel.
l'équation est tellement complexe et avec tellement de variables que voir une esquisse de solution est prohibitoire: seulement un évenement majeure pourra faire basculer la balance. et ce n'est pa sle CPI qui le fera.
en 2006, la belgique a réussi même à condamner sharoon mais helas sans impact sur la situation.