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Ice Man

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Tout ce qui a été posté par Ice Man

  1. Question de point de vue, Le Bayern n’a plus d’adversaires en Bundesliga, On demanderait à Magath de revenir, il referait le même boulot avant de se faire humilier en LDC (Cf le Milan AC des années 2000), A travers tes dires, tu voudrais qu’on soit patient pour gagner la LDC, je t’assure qu’on l’est tous (fans du Bayern), Mais quand on se fait « humilier » par des Real, Barça, Wolsfburg, BVB, Porto dans le jeu, C’est qu’il y a un problème. Pep a apporté un plus dans le jeu ? Oui certainement, Mais ce qui est sûr et certain, il n’a pas amélioré le Bayern, il ne l’a pas rendu plus fort. Bien au contraire, Il l’a fait régresser (Équipe au top en début de saison et qui s’écroule vers le mois d’Avril), mais là encore question de point de vue. Si Guardiola était arrivé en 2007, je n’aurai jamais eu le même jugement, je lui pardonnerais en me disant que « notre équipe est nulle, ce qu’il fait n’est pas mal », Mais le Bayern sortait d’un triplé (le Bayern avait atteint une quasi perfection en 2013), on se fait humilier par le Real à l’Allianz Arena 0-4 (On a avait jamais perdu face au Real en Allemagne et on a jamais perdu par ce score à domicile en CL) et c’est ces mêmes joueurs finiront Champion du monde. J’ai presque toujours défendu Guardiola en me disant que les blessures ont tout gâché, force de constater que c’est de sa faute, Depuis sa venue, chaque année on bat un nouveau record de blessures (musculaire), Le Bayern a écarté le meilleur toubib au monde (Muller), investit 5,5M€ dans le centre médical (14 personnes y travaillent) et malgré ça, cette année, le Bayern est à 15 blessures jusqu’à maintenant (sachant qu’on avait une moyenne de 10 blessures par an), Je me suis leurré en pensant que la volet tactique était le plus important pour coach, et je pense sincèrement que ce qui fait la différence entre les entraineurs, c’est tout ce dont on ne parle quasiment jamais : Sa capacité d’adaptation, sa gestion du groupe (et surtout des égos), sa vitesse de réaction, sa rapidité à comprendre les situations, sa communication envers les joueurs, sa capacité à garder la tête froide etc, Pour résumer, tout ce qui fait que le football n’est pas une science exacte.
  2. Je suis quand même curieux de voir ce qu'il va faire. Le challenge au Bayern était de maintenir le club au sommet. C'est raté jusqu'à présent. Là bas ce sera d'atteindre le sommet avec le club. Autre paire de manche. A mon avis, il va rentrer dans le rang, et sa mythologie s’essouffler avec.
  3. Voici la déclaration en question : http://www.lequipe.fr/Football/Actualites/Le-bayern-munich-pas-pret-pour-gagner-la-c1-selon-pep-guardiola/623659 C’est de la langue de bois d’entraineur qui a un minimum de bagage de communiquant, le mec va pas se pointer en conférence, les pieds sur la table et y aller de son : « C’est bon les mecs, on est prêt ». Tu dois vendre un objectif, une ligne de progression, aux journalistes, aux spectateurs et aux joueurs. D'autant plus que la phrase est sortie de son contexte, qui est bien moins affirmatif puisqu'il explique x choses sur le développement/préparation de l'équipe.
  4. Normalement, L'annonce de la signature de Carlo devrait etre pour ce soir à 22H
  5. Pep Guardiola ne prolongera pas son contrat avec le Bayern, il a refusé une offre de deux ans à 19 M€/an, Le future coach devrait etre Carlo Ancelotti, qui, d'après Cadena Sport et Kicker a donné son accord pour manager le Bayern.
  6. Arsenal, City, Man Utd veulent avoir Pep, Il devrait prendre sa décision de prolonger (de deux ans) son contrat ou non avant la fin de cette année.
  7. Il y a deux jours, Pep Guardiola a expliqué sa tactique au Fan club du Bayern face au Hertha Berlin Voici la vidéo ( crédit à un certain, Matthieu Martinelli ) avec sous-titre en français. Il se la joue un peu faux-modeste et l'aspect tactique va pas hypra loin - c'est beaucoup tourné en humour/show pour les gens présents - mais voilà.
  8. Reportage sur le phénomène Kingslay Coman : https://www.dailymotion.com/embed/video/k5aNXWwOAIGsdye6CAX Move of the week :
  9. Abou Abdallah Attounsi, l’extradé libéré !Par Youssef - 4 avril 2013 Arrivé en Tunisie aujourd’hui, en provenance d’Egypte d’où il a été expulsé, Imed Ben Salah, plus connu sous le nom d’Abou Abdallah Attounsi, a été accueilli par plusieurs de ses fidèles venus le soutenir à l’aéroport Tunis-Carthage, au milieu d’une présence policière renforcée pour éviter tout débordement. Mais aussitôt arrivé, Imed Ben Salah a été arrêté par la police afin d’être entendu par le procureur général sur ses agissement en Egypte et les raisons qui ont abouti à son expulsion. Le prédicateur salafiste et accessoirement pourvoyeur de faux passeport en Egypte, où il a été arrêté en possession de plusieurs faux passeport en compagnie d’un complice libyen, vient pourtant d’être remis en liberté par le procureur général qui n’a pas vu la nécessité de le maintenir en détention, selon la radio Mosaique FM. Le faussaire, qui avait été reçu par le président de la République, n’aura donc été inquiété que le temps d’un interrogatoire !!! Lien : http://www.webdo.tn/2013/04/04/abou-abdallah-attounsi-lextrade-libere/ https://www.facebook.com/nessmatv.tv/videos/10153465819297795/
  10. Le Real a été incapable de reproduire le pressing qu'il avait produit face au PSG, En plus, Benitez a commit plusieurs gaffes : Il a laissé une liberté totale à Busquets ;Il a abandonné l'idée d'un vrai milieu défensif ( Casimero) ;Il a positionné Bale en 10 ;Formation d'entrée déséquilibréeLa BBC a bossé défensivement pendant les 8 premières minutes et puis, il ont lâché, C'est incroyable de voir la nonchalance de l'attaque du Real et surtout de CR, Son positionnement sur le 3em but du Barça est tout simplement "fdhi7a" ; Kroos a passé le match à courir dans le vide pour compenser l'absence de CR, Dans l'attitude, les joueurs du Real étaient vraiment décevants, et c'est en voyant ça, qu'on mesure l'exploit d'Ancelotti d'avoir eu la décima avec des attaquants (BBC) qui ne défendent pas (ou peu). Pour finir, Sans Messi et avec un Mascherano out après 15 minutes, le Barça a mit un 0-4 au Real à Bernabeu......
  11. Vu le jeu extrêmement défensif proposé par Bénitez, ce n'était qu'une question de temps avant que les stars du Real réagissent:
  12. Sisi, je l'ai déjà écouté, il est pas mal oui Écoute ça : https://www.youtube.com/watch?v=OPAmFpwJZqE
  13. Bayern 5-1 Arsenal : le 2-3-5 de Guardiola Après avoir rapidement pris la mesure de Wolfsburg dans la même formule, le Bayern a fait exploser Arsenal 5-1 à Munich. Comme Porto l’an dernier, les Londoniens – malgré un repli solidaire et massif – ont cédé face à un système ultra-offensif, qui – au moment de la finition – confronte leur défense à la gestion de 5 attaquants. Joueur total par excellence, Alaba fait parler sa polyvalence dans ce système atypique Relance en 4-2-3-1 : le double pivot et les angles de Thiago Au moment de la première passe, le Bayern ne se positionne pas encore avec 5 attaquants. Son schéma ressemble à un 4-2-3-1/4-2-4, et Lahm et Alaba sont bien des latéraux, avec un rôle classique : étirer le bloc adverse, tout comme le font les centraux Boateng et Javi Martinez. C’est ensuite que la méthode offensive devient plus spéciale. Guardiola n’a jamais essayé de trouver un clone de Busquets pour son Bayern. C’est un le double pivot Xabi Alonso – Thiago Alcantara qui propose des solutions devant la défense au moment de la sortie de balle. D’un point de vue dogmatique, c’est une entorse à la fameuse Salida Lavolpiana, réinstaurée par Guardiola au Barça. Mais d’un point de vue pratique, c’est une utilisation à bon escient de la technique exceptionnelle de Thiago Alcantara, et de sa capacité à trouver des angles fous (aussi grâce à ses dribbles courts), à l’instar de Modric, qui rayonne cette année dans un Real dont le cœur du jeu est également souvent composé d’uniquement 2 joueurs. Plus de surnombre axial pour Guardiola : le double pivot a remplace le simple (ou le triple) pivot qu’il employait à Barcelone pour sortir le ballon Contre Wolfsburg, on a vu Xabi Alonso et Thiago venir proposer des solutions aux centraux à « l’extérieur » du duo d’attaque Dost – Draxler pour aider à sortir le ballon. Thiago dézone également souvent très latéralement, jusqu’à la zone de David Alaba. Pour fluidifier cette sortie de balle, il n’est également pas rare de voir Douglas Costa venir occuper une surprenante position de relayeur droit (sa flèche dans le schéma ci-dessus), comme pour être un troisième homme de ce cœur du jeu à 2, comme peuvent également l’être Lewandowski ou Muller par séquences, au moment de la sortie de balle. Verticalité et passes diagonales : Reculer ou mourir Ensuite, selon les circonstances et le comportement du bloc adverse, l’action peut évoluer de plusieurs manières. En théorie, cette première approche a pour but d’étirer le bloc adverse pour le transpercer. Evidemment, si le repli adverse est trop lent ou indiscipliné, le Bayern laissera ses talents s’exprimer instinctivement dans la verticalité. L’attaque immédiate de la profondeur sera également l’option choisie au en cas de récupération haute dans le camp adverse. Si l’adversaire ne résiste pas à cette attaque directe (auquel cas, cette analyse s’arrêterait là), il doit alors passer à un repli massif, pour ne pas exploser face à ce qui n’est alors qu’un quatuor d’attaque (Coman –Lewy – Costa – Müller). Les transversales de Boateng vers ses ailiers ont également vocation à forcer l’adversaire à un repli très prudent, le privant parfois de toute possibilité de transition offensive, et pérennisant plus que jamais la domination territoriale du Bayern (on peut posséder le ballon sans maitriser le territoire). Quand Boateng sollicite Coman, le bloc adverse s’étire en largeur. Forcément, il faut se replier massivement pour combler les trous. Les « coins » de Coman et Müller recherchés en priorité par Boateng, notamment en début de partie Compte tenu de cette force de frappe et de cette menace (déjà 4 attaquants entre le milieu et la défense adverse au début de l’action), les adversaires du Bayern optent souvent d’emblée pour un repli massif et bien organisé. Guardiola a donc du trouver de nouvelles solutions offensives pour faire exploser ces bus. Occupation : 5 attaquants dans 5 intervalles Une fois l’adversaire replié, en 4-4-2 ou en 4-5-1, une ligne de 5 attaquants se forme pour occuper les 5 intervalles formés par le bloc adverse : intervalle 1 : ligne de touche droite – milieu latéral droit (Coman)intervalle 2 : milieu latéral droit – milieu central droit (Alaba)intervalle 3 : milieu central droit – milieu central gauche (dans le quel on peut également trouver le 6 adverse) (Lewandowski)intervalle 4 : milieu central gauche – milieu latéral gauche (Douglas Costa)intervalle 5 : milieu latéral gauche – ligne de touche gauche (Müller La même logique que contre Porto en avril dernier : 5 attaquants dans 5 intervalles et un repli qui se complique pour l’adversaire, avec un 4v4 de fait avec son back4 (un qui fixe, les 4 autres dans la boite) La supériorité numérique n’est pas une vérité absolue en football, mais c’est quand même la plupart du temps ce qui permet à une équipe ultra-défensive de contrôler les débat dans le dernier tiers du terrain. C’est pour créer des supériorités numériques dans des zones-clé que les équipes cherchent à être compactes. L’expression « garer le bus » veut dire ce qu’elle veut dire. Avec 8 ou 9 joueurs sur 20 mètres devant sa surface face à 3 ou 4 joueurs offensifs, on peut avoir le contrôle de la profondeur / de l’explosivité adverse en se basant sur une organisation défensive rigoureuse. C’est un ignoble cliché, mais en un sens, défendre est plus facile qu’attaquer. Le 4-4-1-1 ultra-betonista de l’adversaire sur le tableau Velléda ? C’est là que la réponse de Guardiola à ce repli massif est intéressante, car ingénieuse, et terriblement efficace. Contre Porto l’an dernier, Bernat et Rafinha (latéraux à la base) venaient se positionner autour de Xabi Alonso une fois le repli effectué, alors que Thiago se joignait à « l’attaque à 4 » autour de Lewandowski, Müller, Götze et Lahm. Malgré l’absence d’ailier percutant (Robben et Ribery blessés), le Bayern avait fait exploser l’équipe de Lopetegui en une mi-temps en pilonnant sa surface après l’avoir forcé au repli grâce aux diagonales et au nombre. Mercredi, la logique était la même. A l’exception du fait qu’Alaba passait directement du poste de latéral gauche à celui d’attaquant « intervalle 2 » (Coman – Alaba – Lewy – Douglas – Müller), ce qui s’inscrit d’ailleurs dans la logique du dézonage « arrière – gauche » de Thiago, décrit dans le premier paragraphe. D’ailleurs, les duos [Coman – Alaba] et [Douglas – Muller] peuvent s’échanger les rôles au fil du match, rendant le schéma encore plus imprévisible, voire « inscoutable » pour l’adversaire. De l’autre côté, Lahm devenait quant à lui le 3e milieu de terrain autour de Thiago et Xabi, même si son rôle n’était finalement pas si axial que ça. En joignant Müller, avec une activité non seulement axiale, mais également latérale, il forçait Alexis à se replier, laissant le seul Giroud face à un bus de 9 joueurs de champ, faisant toujours plus reculer le bloc d’Arsenal. Profiter du recul, pour punir grâce au nombre dans la boite Après ce repli forcé, une fois que l’ailier (Coman ou Muller) a fixé le latéral, la passe en retrait vers le relayeur (Thiago ou Lahm) peut être fatale. L’espace s’est peu à peu agrandi au fil du match au moment de la réception de cette passe entre Thiago – Lahm et le premier rideau d’Arsenal. Cela a ouvert beaucoup de possibilités intéressantes pour le Bayern, que ce soit pour frapper de loin, centrer, combiner dans l’axe, ou tout simplement renverser le jeu de l’autre côté via Xabi et l’autre relayeur du 2-1-2-5. Le schéma a été hyper répété hier, notamment avant l’ouverture du score : diagonale longue de Boateng (ou même courte de Thiago) pour Comanfixation de Debuchy + repli de Campbellpasse en retrait pour Thiagoliberté pour Thiago, face à un adversaire qui fatigueprise d’info / centre vers la surface, ou les 4 attaquants (5 moins Coman) produisent une égalité numérique ingérable pour les GunnersLe nombre dans la surface est primordial, et si le repli n’a pas eu le temps de s’opérer, et que le centre vient de l’ailier (pas besoin de fixer, puis de passer par le relayeur), le second ballon est fatal à l’adversaire, comme c’est le cas sur le 2-0 inscrit par Müller, après une remise de Coman, alors que Lewandowski était également dans la boite. Quand le Barça et son jeu placé se cassaient les dents sur des bus – à Stamford Bridge en 2009, comme à Madrid en 2011 – le Bayern de Guardiola a désormais d’autres arguments offensifs pour les faire exploser. Des ingrédients étrangers au dogme catalan : du nombre dans la surface, des centres, de la verticalité et des longs ballons. D’un point de vue stratégique, c’est ce qui rend cette formule très excitante en vue des prochains tours de Ligues des Champions. Lien vers cet article : http://premieretouche.com/2015/11/07/bayern-5-1-arsenal-le-2-3-5-de-guardiola/
  14. Quand même allouche : - Neuer c'est pas une superstar (actuellement, meilleur gardien au monde) ; - Alaba c'est pas une superstar ? - Muller ? - Lewandowski ? Je te rejoins que ces 4 joueurs n'ont pas la renommée des CR et Messi, et que le Bayern c'est plus un collectif rodé que des individualités mais quand même allouche, Si un des ces joueurs (surtout Alaba) est blessé le Bayern aura énormément de mal à reproduire son jeu, On pourrait se passer d'un ou deux ailiers vu la richesse de l'effectif (Costa, Coman, Robben, Gotze, Ribery) comme c'est le cas actuellement, mais on pourra jamais se passer des Muller et Alaba Ils sont uniques dans leurs genres. PS : Muller/Lewy c'est 44 buts (jusqu'à maintenant) sachant qu'on est le 6 novembre.
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