c très compliqué de relater des Serial killers ou criminels abrutis : soit ça tombe dans le "sale , insane, etc." soit ça vire au documentaire.
qd le silence des agneaux est sorti il a boulversé le genre : comment eput-on être faciné par un gars qui mange la cervelle de son invité?
eh ben, c'est le génie des scénaristes et des interprètes qui permettent de voir au delà du visible, de n epas se projeter mais en gardant un minimum d'empathie.
le cinéma ou la tv du "je me projette dans le Héros est révolu".