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[News] Actualité en Tunisie


Bati

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Brass weldikom banissez ou interdisez d'écriture ceux qui gènent (je m'inclus dedans si nécessaire) mais laissez ce sujet ouvert. Il est important pour beaucoup j'imagine, dont moi (qui n'ai pas facebook).

Merci d'avance.

thamma des infos tu ne peux pas les trouver ici , il faut chercher ailleurs ...je cite par exemple les voitures elli jayine mil emirate comme quoi pour proteger notre chere beji :table:

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thamma des infos tu ne peux pas les trouver ici , il faut chercher ailleurs ...je cite par exemple les voitures elli jayine mil emirate comme quoi pour proteger notre chere beji :table:

thamma des infos tu ne peux pas les trouver ici , il faut chercher ailleurs ...je cite par exemple les voitures elli jayine mil emirate comme quoi pour proteger notre chere beji :table:

When in rome, do as the romans do

D ailleurs je vais prendre cet exemple

Vous avez compris que beji a du trouver un allie qui puisse faire le contre poids de l argent de qatar pour ennahdha, mais aussi au niveau diplomatique

Il a trouve de l argent chez les hommes d affaire tunisiens, certainement chez les emirati, mais est ce qu il s est mis a dos la diplomatie qatarie, a un seul instant?? Non

Et pourtant il aurait pu en parler ouvertement, mais il sait que la relation diplomatique doit rester intacte

Mouch kif marzouki, jbed masr, jbed souria, jbed libia, jbed fransa, jbed el marrouk, jbed dzayer, jbed roussia....

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http://directinfo.webmanagercenter.com/2014/11/02/tunisie-presidentielle-2014-le-candidat-surprise-dennahdha/

Je vous propose a tous de lire cet article

Certes c est une vision parmi d autres, mais ca vaut la peine d etre vu

Je pense aussi qu ils vont decider de passer leur tour

Dans cet article, il est dit " maintien de Marzouki à la Présidence peut-être source d’instabilité et de frictions qu’Ennahdha semble vouloir éviter". C'est peut-être ce qu'il cherche les frictions et comme l'a dit Mourou et l'a répété un forumien ici, le président peut dissoudre l'assemblée (à vérifier) et donc refaire les elections. La seule raison pour moi pour qu'ils ne soutiennent personne, c'est qu'ils savent que BCE va gagner et ils ne veulent se le mettre sur le dos.

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Sinon cet article nous apprend une sacree nouvelle

Le fameux benslama, independant de la commission d enquete sur l attaque de l ugtt par les lpr, il est tellement independant qu il a recu tous ses parrainnages par le biais des deputes de .................... Ennahdha!!!!!

Chtarhom parainné min Nahdha ti 7atta min Hamma Hammami ( source émission 26-10 mta3 le 28 octobre 7al9a jébou fiha bin Ticha w Mourou .. )

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Une réunion des présidentiables a eu lieu cette semaine pour tenter de trouver un candidat consensuel capable de faire face à l’autre candidat, Béji Caïd Essebsi qui caracole en tête des sondages et dont beaucoup semblent avoir pour dernier objectif de leurs carrières politiques de lui barrer la route de Carthage.

Il y avait Mustapha Ben Jaâfar accompagné de ce qui reste de son parti. Il semblait plus chercher une sortie honorable pour lui qu’un réel candidat consensuel. Il y avait aussi les représentants du CPR qui avaient la mission presque impossible de sauver le soldat Marzouki au plus bas de sa crédibilité, qui continue à inonder les réseaux sociaux de son slogan de campagne, triomphaliste à merveille, sans aucun égard aux résultats des dernières élections législatives. Il y avait encore les représentants de Néjib Chebbi qui s’accrochent à la présidentielle comme s’accroche un naufragé à une paille. L’invité surprise, le petit poucet du groupe Abderazak Kilani, n’avait visiblement rien à faire dans cette réunion, n’ayant jamais eu la moindre chance et n’étant pas un représentant des formations politiques démocrates sociales. Il y avait enfin Mohamed Hamdi chargé du poste de porte-parole de la réunion. Sa nomination sonnait plus comme un lot de consolation pour sa brève carrière politique qu’une reconnaissance du sérieux de sa candidature.

Trois remarques s’imposent concernant ce conclave des présidentiables. Le premier, c’est que les résultats des partis politiques qui ont participé à cette réunion lors des dernières élections législatives ont été décevants, annonçant même la désintégration de certains parmi eux. Même en cas de désignation du candidat consensuel, les quelque milliers de voix récoltées par tous ces partis réunis ne pourront rien face au 1.3 million de votants qui ont choisi le parti de Béji Caïd Essebsi. Il est évident donc que tous espèrent puiser dans le réservoir de voix du parti Ennahdha pour pouvoir gagner les élections présidentielles ou, à défaut, enregistrer une défaite honorable. Le parti islamiste, qui n’a pas de candidat, se trouve du coup au centre de toutes les tractations et le grand gagnant de ces prochaines élections quel que soit le nom du futur président. Le leader islamiste Rached Ghannouchi, qui a déjà rencontré Mustapha Ben Jaâfar, Slim Riahi et Moncef Marzouki peut largement monnayer le soutien des islamistes à l’un ou l’autre candidat.

D’un autre côté, il est tout à fait naturel de douter des chances de réussite d’une telle manœuvre. Les candidats qui se disent consensuels aujourd’hui, n’ont, en effet, montré aucun esprit consensuel dans le passé. Le plus valable d’entre eux, Néjib Chebbi, a tellement investi dans ces élections, mettant sa propre carrière et l’avenir politique de son parti en péril, pour se désister au profit de Mustapha Ben Jaâfar qui n’a objectivement aucune chance ou au profit de Moncef Marzouki. Ce dernier, le plus acharné à garder les clefs de Carthage, ne semble même pas effleurer l’idée d’un désistement. Son comportement montre que, dans son esprit, le candidat consensuel ne peut être que lui, seulement lui.

Mais quand bien même ils arrivent à désigner un seul candidat, la quinzaine d’autres candidats qui n’ont pas été associés aux négociations peuvent-ils entériner une telle décision qui leur a été imposée ? Le président du parti Moubadara, Kamel Morjane, a déjà apposé à cette idée une fin de non-recevoir.

La dernière remarque concerne l’aspect éthique de ce conclave des présidentiables. Est-il normal, en effet, que des candidats se liguent contre un autre candidat et s’acharnent à vouloir sa chute à ce point ? Ne font-ils pas de lui une victime qui attire par réaction la sympathie des électeurs ? Il est vrai que les risques d’un retour de l’omnipotence existe avec l’élection de Béji Caïd Essebsi surtout s’il arrive à passer dès le premier tour. Seulement, les organisations de la société civile, les médias et les centaines de milliers de Tunisiens qui ont réussi à s’opposer aux dérives de la troïka sont toujours là et ne manqueront pas de retrousser leurs manches et de s’opposer à toutes les tentations despotiques qui les priveraient des fruits de leur révolution dont le processus est toujours en cours. En plus, dans leur gestion de leurs partis, au sein de l’ANC ou à la tête de l’Etat, certains des participants à ce conclave des présidentiables n’ont pas montré qu’ils sont aussi démocrates qu’ils veulent bien laisser entendre.

Une analyse cohérente............Les anti-BCE, à force de vouloir contrer sa candidature, ils lui font de la pub gratuite et confortent ses chances sans le vouloir

Plusieurs personnes qui ont voté nidaa comptaient voter pour une autre personne que BCE dans ces élections (Morjen, Nabli, Kannou...)..........Mais suite à cette campagne de diabolisation à l'encontre de BCE, ils vont se regrouper encore une fois autour de lui

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en Tunisie, on ne vote pas pour qq, on vote plutot contre qq !!

- fel législatives, c'etait un vote anti nahdha => rassemblement autour de nida

- tawa aux présidentielles, c'est un vote anti sebsi => rassemblement (apparemment) autour de marzouki

7assilou gueddechna cha3b lixx :D

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en Tunisie, on ne vote pas pour qq, on vote plutot contre qq !!

- fel législatives, c'etait un vote anti nahdha => rassemblement autour de nida

- tawa aux présidentielles, c'est un vote anti sebsi => rassemblement (apparemment) autour de marzouki

7assilou gueddechna cha3b lixx :D

Pk tu ne dit pas Anti Marzouki ??!!

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Plusieurs personnes qui ont voté nidaa comptaient voter pour une autre personne que BCE dans ces élections (Morjen, Nabli, Kannou...)..........Mais suite à cette campagne de diabolisation à l'encontre de BCE, ils vont se regrouper encore une fois autour de lui

a part birrasmi quelques uns , les autres lougha madhrouba , des le debut ils allaient voter pour sebsi

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BHL donne "sa version" des faits sur le site du Point. En gros, selon lui, c'est un groupe d'islamistes, d'exilés kadhafistes, d'extrême gauche qui sont à l'origine de ce "pas grand chose". Ils l'ont fait contre lui, le citoyen fraçais, juif, gentil et pacifiste venu résoudre le conflit lybien (dont il est à l'origine) avec ses amis lybiens. Il rappelle aussi qu'il a tant soutenu la tunsiens dans leur révolte contre la tyrannie en relayant à l'époque les appels à hacker les sites officiels de Ben Ali et qualifie indirectement le peuple tunisien en particulier et les arabes en général d'attardés, d'arriérés et de rétrogrades devant absolument changer de mentalités et par conséquent s'ouvrir sur le monde bien sur en reconnaissant Israel et le droit des juifs d'avoir un Etat aux dépens des Palestiniens. A souligner aussi qu'il qualifie le lybien Abdelhakim Belhadj et le gourou Ghannouchi de ce qu'il y a de moins fréquentable sur les scènes politiques lybienne et tunisienne.

Comment un simple aller-retour de Bernard-Henri Lévy à Tunis devient une véritable affaire d'État... Venu pour rencontrer des personnalités libyennes à l'hôtel La Résidence, le philosophe s'est retrouvé au centre d'un maelström où la rumeur et la malveillance ont pris le pas sur la vérité et la diplomatie. On a dit tout et son contraire sur ce voyage éclair... BHL rétablit la vérité et s'étonne d'une telle désinformation...

Le Point.fr. : Vous rentrez de Tunisie. On a lu des choses folles dans la presse. Que s'est-il vraiment passé ?

BHL : Factuellement, pas grand-chose. Quelques dizaines d'islamistes ou, peut-être d'exilés kadhafistes, qui m'attendaient à l'aéroport et s'indignaient de voir un "sioniste" (sic) poser son sale pied sur le sol du pays. Mais l'événement, s'il y en a un, c'est ce qui a suivi. Et c'est ce vent de haine et de folie qui s'est mis à souffler dans les rédactions, sur la Toile, sur les réseaux sociaux. En quelques heures, j'étais devenu, dans le meilleur des cas, je veux dire dans les journaux convenables, un "intellectuel juif", ou un "agent sioniste", venu semer le désordre et déstabiliser, à moi tout seul, la jeune démocratie tunisienne. Dans le pire des cas, c'est-à-dire sur certains blogs, j'étais un "chien", une "vermine", un "vampire qui se nourrit du sang arabe", un type qu'il fallait "lyncher" si on le rencontrait - j'en passe et des meilleures...

Quel était le but de votre séjour en Tunisie ?

Une chose très simple. Rencontrer, dans un hôtel, au vu et au su de tous, dans la plus parfaite transparence, des amis libyens sortis exprès de Tripoli, Benghazi, les villes du Djebel Nefousa, Misrata, Zaouia, afin de poursuivre en terrain neutre, et avec moi, le dialogue de réconciliation nationale. Mais, d'un seul coup, dans cette opinion devenue folle et biberonnée au conspirationnisme le plus débile, j'avais un agenda secret qui était, pour les uns, de rencontrer les islamistes d'Ennadha ; pour les autres, de participer, en compagnie, si j'ai bien compris, d'un des pires islamistes radicaux de la région, à une conférence dont je n'avais, évidemment, jamais entendu parler ; pour les troisièmes, de comploter contre le régime issu des élections de la semaine dernière et, pourquoi pas, de le renverser. J'étais le complot sioniste à moi tout seul. L'incarnation des noirs desseins de l'étranger. J'étais, non plus un écrivain, mais un agitateur professionnel sur les "agissements" de qui des groupes de crétins se mettaient à réclamer l'ouverture d'une enquête judiciaire. Tout ça est à se tordre de rire. Mais, en même temps, je n'ai pas tellement envie de rire. Car ce qui se passe en Tunisie est, par ailleurs, tellement important - tellement beau et tellement important - qu'on est triste de voir des braillards, ou des gens sérieux, mais devenus dingues, partir dans ce genre de délires et salir ce que les démocrates tunisiens ont tant de peine à construire.

On dit que vous avez fini par être expulsé...

Vous plaisantez ! Vous imaginez un citoyen français expulsé comme ça, sans raison, par un pays ami et, de surcroît, démocratique ? Et où en serions-nous si les autorités tunisiennes, sorties victorieuses de leur bataille électorale contre les obscurantistes et les nostalgiques de la dictature, cédaient à la pression, je ne dis même pas de la rue, mais de quelques poignées de fanatiques drogués à l'antisémitisme le plus enragé ? Non. Tout cela est grotesque. Je suis parti quand ma réunion libyenne s'est terminée. Et les autorités tunisiennes, pour ce que j'en ai vu et su, se sont comportées de façon parfaitement normale.

Dans les réactions hostiles à votre venue, il y avait aussi l'extrême gauche...

Sans doute, oui. Mais l'extrême gauche a le même problème partout. En Tunisie, elle a eu son époque où elle soutenait les islamistes. Puis, celle où la dictature Kadhafi lui semblait un moindre mal. Puis, maintenant, elle a des indulgences pour Bachar el-Assad. Et quant au complotisme antisémite... Allons. On ne va pas mettre de l'huile sur le feu. Je dirai juste qu'il y a, dans cette extrême gauche, un vrai problème de culture politique, juste de culture politique et de niveau. Mais comment faire autrement quand on sort assommé de décennies de tyrannie et de bourrage de crâne?

Comment expliquez-vous qu'une telle polémique soit née ?

On vit une époque folle. Plus personne ne vérifie quoi que ce soit. Les gens écrivent, de plus en plus, n'importe quoi. Y compris en France où un site comme Rue89 a quand même réussi à écrire, sans prendre la peine de checker leur information en téléphonant, par exemple, à l'intéressé, que BHL "serait en Tunisie pour voir le Libyen Abdelhakim Belhadj et l'islamiste tunisien Rached Ghannouchi" - c'est-à-dire, si je peux me permettre, ce qu'il y a de moins fréquentable sur les scènes politiques libyenne d'un côté, tunisienne de l'autre.

Un incident comme celui-ci vous paraît-il infirmer l'idée que la Tunisie est le premier pays des révolutions arabes à avoir réussi sa transition démocratique ?

Bien sûr que non. J'ai été parmi les premiers, en janvier 2011, à saluer l'héroïsme de ce peuple, qui, en solidarité avec un petit marchand de Sidi Bouzid immolé par le feu, s'insurgeait contre un pouvoir que l'on pensait invincible. Et je me souviens avoir relayé, à l'époque, les appels à "hacker" les sites officiels de Ben Ali ! Tout cela, je ne le regrette pas une seconde. Et la Tunisie, encore une fois, va dans le bon sens. Simplement, on constate une fois de plus qu'une démocratie, ce n'est pas seulement des élections. C'est aussi une culture. Une révolution lente des mentalités. Des digues contre la boue qui, elle aussi, profite de la liberté pour remonter à la surface. Et il reste en Tunisie, comme dans le reste du monde arabe, beaucoup à faire de ce point de vue.

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c pk pas khater Marzouki fi carthge alors ils votent contre lui bech ykharjouh !!

je crois que si on avait le meilleur président à Carthage, jme3et nida vont voter beji quand meme

donc je crois qu'on cherche plutot à mettre beji à carthage, plutot qu'à en faire sortir X ou Y.

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haw 9allek misalech , le faite de partager le pouvoir avec Nahdha est une victoire

9allek notre but etait juste contrecarrer ennahdha w ne pas laisser faire comme en 2011

Oui houa c'est un moindre mal par rapport à la Troika, mais haw bech nchoufou il 3ardh bientôt.

Les ententes vont se faire sous la table pour l'intérêt des deux partis et au dépend du citoyen lambda.

Déjà ils ont commencé par se mettre d'accord (avec l'aval du quartet) sur le fait que ce soit le nouveau président qui charge Béji de nommer le premier ministre. Ce qui est une première entorse à la nouvelle constitution: ça commence bien.

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A mon avis, les babbouche boumassa (niveau électoral et compétence) que sont Marzouki, Chebbi, et Ben Jaafar sont des ballons d'essai de Nahdha.

On avance des noms et on voit ce que ça donne.

Pour moi, c'est clair que se focaliser sur MMM, permet d'oublier un tant soit peu les autres "indépendants" comme par exmple le PDG de Siphax. Ça ne m'étonnerait pas que Nahdha décide finalement d'aider même en sous-mains un de ces "indépendants". Je les vois mal se ranger devant le turbulent et incontrôlable MMM.

Donc toute la polémique sur MMM n'a pas lieu d'être. On se torture l'esprit alors que Chi5 Rchouda est en train de regarder tranquillement le match des losers :D

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Oui houa c'est un moindre mal par rapport à la Troika, mais haw bech nchoufou il 3ardh bientôt.

Les ententes vont se faire sous la table pour l'intérêt des deux partis et au dépend du citoyen lambda.

Déjà ils ont commencé par se mettre d'accord (avec l'aval du quartet) sur le fait que ce soit le nouveau président qui charge Béji de nommer le premier ministre. Ce qui est une première entorse à la nouvelle constitution: ça commence bien.

ce n'est pas vraiment une entorse ya L_as dans la mesure où le texte de la constitution fih des contradictions :

- d'un coté : le président élu demande au 1er ministre désigné par le parti vainqueur des législatives de former un gouvernement

- d'un autre coté : la formation du gouvernement doit se faire après les élections (la constitution a juste dit "entikhabet", sans préciser lesquelles)

d'après plusieurs experts, les 2 lectures peuvent etre valables.

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Salem Chaibi, Mokhtar Mejri, Abdelkader Labbeoui, etc .... brabbi des gens comme ca, qu'est ce qu'ils sont entrain de foutre exactement ??

flouss'hom à ce point b zeyed bech itayychoufa fi campagne électorale elli ma fiha aucun espoir ???

mouch floushom , flous el dawla, kol condidat 3andou 75 millions , wel labaoui gasrine el kolha maah, y9olek peut etre j'ai une chance, w zid forssa lihom bech yodehrou

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