Aller au contenu

[News] Actualité en Tunisie


Bati

Recommended Posts

Oui seulement si les technocrates soient désignes par ce forum et non pas par jbeli

encore moin lajnet houkame2 fiha mourou

tout ca c des details elli yetfehmou alihom ensuite

je ne pense pas que ce soit le fond du probleme

pour moi le fond, c'est est ce que jbali est sincere ou pas

et ca, meme si mon allergie à Ennahba me pousse à etre mefiant, je suis oblige de dire que je suis indecis, pcq jbali s'est tellement avancé, pcq toute initiative doit avoir l'aval de toutes les composantes de la societe (que ce soit celle de jbali ou celle de la nouvelle troika), pcq le conflit entre les "mouhajiroune" et les "mourabitoune" ne date pas d'aujourdhui et n'est certainement pas une lubie....

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

decu mil jebha el cha3biya wil 3aridha

car juste on rajoute el jebha twali 105 pour 104 contre

de tte facon le schema est faux car les 11 députés de "Kotlet el 7orriyya wal karama" sont déjà sorti lors du communiqué unifié hier avec ennahdha pour dire qu'ils sont contre l'initiatiave.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

de tte facon le schema est faux car les 11 députés de "Kotlet el 7orriyya wal karama" sont déjà sorti lors du communiqué unifié hier avec ennahdha pour dire qu'ils sont contre l'initiatiave.

Le président du bloc parlementaire la liberté et la dignité au sein de l’ANC, Mohamed Tahri a condamné l’adhésion de deux de ses députés au nouveau bloc parlementaire El Amen sans permission préalable. Il a par ailleurs critiqué le nom du bloc El Amen.

en somme il y a une groupe qui s'appelle deja 7orriya wa karama, et un autre qui s'appelle Amen, 7orriya wa karama

si j'ai bien compris bien sur

Modifié (le) par AM2
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

salketha nahdha , encore deux semaine w la3bed tenssa haja esmha chokri bel3id

Sofiane Chourabi
معلومة مؤكدة: في يوم جنازة الفقيد شكري بلعيد، ارتعدت فرائص حركة النهضة وتخوفت من الاطاحة بها في ذلك اليوم إلى حد أنها نقلت غرفة العمليات بصلب وزارة الداخلية من المقر المركزي للوزارة بشارع الحبيب بورقيبة، إلى ثكنة العوينة.

487694_528270687204251_546119957_n.jpg

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Vendredi dernier, c'était l'occaz ou jamais pour basculer ennahdha, 5adha behia kima n9oulou, mais dommage ba3d ezneza lkolha raw7et, dommage 3ale5er wallah, 3ana opposition m7athoula mouch normal, haw tawa la3bed berdet, et croyez moi, je ne suis pas un partisans de la violence, mais dans une situation pareille, la seule solution c'est la RUE. Lebled we9fa yé bougalb 3ala 5ater un parti politique !! ti kén ya3emlou election tawa ti yé bel7ram mé Etakatol yo5rej 9ad 9ad m3a Ennahdha.

  • Pour 1
  • Contre 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Article intéressant sur les différentes coalitions si on est perdu.

http://www.lemonde.fr/tunisie/article/2013/02/13/tunisie-qui-sont-les-principaux-partis-politiques_1831005_1466522.html

Tunisie : qui sont les principaux partis politiques ? Le Monde.fr | 13.02.2013 à 08h00Par Hélène Sallon
Abonnez-vous
à partir de 1 €RéagirClasserImprimerEnvoyer

Partagerfacebooktwittergoogle +linkedin

1780176_3_f832_les-ministres-tunisiens-e Depuis la chute du régime de l'ancien président, Zine El-Abidine Ben Ali, le 14 janvier 2011, la scène politique tunisienne a connu de nombreuses recompositions. Alors que l'ancien parti au pouvoir, le Rassemblement constitutionnel démocratique (RCD), était dissous, de multiples partis de l'opposition, de gauche ou islamistes, ont été légalisés ou fondés.

Les élections d'octobre 2011 pour l'Assemblée nationale constituante (ANC), qui ont vu le parti islamiste Ennahda arriver en tête, ont donné lieu à de nouvelles recompositions, et notamment à la formation de coalitions de partis qui se placent désormais dans la perspective de nouvelles élections législatives.

Les derniers sondages réalisés en Tunisie donnent toujours le parti islamiste en tête, juste devant une nouvelle formation : le parti Nida Tounès, fondé en juin 2012 par Béji Caïd Essebsi, premier ministre du deuxième gouvernement de transition (février-décembre 2011).

Etat des lieux de la scène politique tunisienne.

  • "LA TROÏKA"

A l'issue des élections pour l'Assemblée nationale constituante d'octobre 2011, le parti islamiste Ennahda, première formation politique du pays avec 89 députés sur les 217, a demandé au Congrès pour la République (CPR), à Ettakatol et au Parti démocrate progressiste (PDP) de le rejoindre afin de former une coalition sous la houlette de son candidat à la tête du gouvernement, Hamadi Jebali. Seuls le CPR (15 députés) et Ettakatol (13 députés) ont accepté d'en faire partie.

Cette troïka a conclu un accord de coalition, prévoyant l'élection de Mustapha Ben Jaafar, fondateur d'Ettakatol, comme président de l'Assemblée nationale constituante et de Moncef Marzouki, fondateur du CPR, comme président de la République. Ce dernier a chargé Hamadi Jebali, secrétaire général d'Ennahda, de former un gouvernement.

1595427_3_6e50_le-chef-du-parti-islamist

Le parti islamiste Ennahda ("La Renaissance", son site Internet) a été fondé le 6 juin 1981 sous le nom de Mouvement de la tendance islamique (MTI) par Rached Ghannouchi, avant de changer de nom en février 1989. Sujet d'une répression très dure sous le régime Ben Ali, la plupart des cadres du parti ont connu soit la prison, soit l'exil. A l'instar de leur chef, Rached Ghannouchi, rentré d'un exil de plus de vingt ans à Londres le 30 janvier 2011.

Né en 1941, Rached Ghannouchi a d'abord été séduit par le nationalisme arabe incarné par Gamal Abdel Nasser, avant de se convertir en 1966 aux idées des Frères musulmans égyptiens. Actif sur les campus tunisiens, il a été accusé d'avoir fomenté un coup d'Etat, arrêté puis condamné en 1987. Libéré un an après par le président Zine El-Abidine Ben Ali, il s'est exilé en 1990 à Londres.

Longtemps interdit, Ennahda a été légalisé le 1er mars 2011 par le gouvernement d'union nationale. A l'issue des élections pour l'Assemblée nationale constituante, il est devenu la première force politique du pays. Le premier ministre tunisien, Hamadi Jebali, en est le secrétaire général.

1827900_3_9058_moncef-marzouki-president

Le Congrès pour la République (CPR, son site Internet) est un parti laïc de centre-gauche fondé en 2001 par Moncef Marzouki. Moncef Marzouki, président de la Ligue tunisienne des droits de l'homme de 1989 à 1994, est un opposant de longue date au régime de Ben Ali. Plusieurs fois arrêté sous Ben Ali, il a été exilé en France dix ans avant de rentrer, le 18 janvier 2011.

Il avait amorcé dès 2003 un rapprochement avec Ennahda, avec la signature de la Déclaration de Tunis. Moncef Marzouki a été élu président de la République le 12 décembre 2011. Le CPR dispose de trois ministères au sein du gouvernement actuel (affaires de la femme, domaines de l'Etat et affaires foncières, formation professionnelle et emploi).

1466567_3_b347_mustapha-ben-jaafar-du-pa

Le Forum démocratique pour le travail et les libertés - Ettakatol (son site Internet) est un parti social-démocrate fondé le 9 avril 1994 par le médecin et radiologue Mustapha Ben Jaafar. Ce dernier est président de l'Assemblée depuis le 22 novembre 2012. Ettakatol est membre permanent de l'Internationale socialiste. Le parti dispose de cinq ministères au sein du gouvernement (finances, tourisme, éducation, lutte contre la corruption et affaires sociales).

  • L'UNION POUR LA TUNISIE

Lundi 11 février, cinq partis politiques du centre et de la gauche modérée ont officialisé un front politique et électoral : le mouvement Nida Tounès, le Parti Républicain (Al-Joumhouri), la voie démocratique et sociale (Al-Massar), le Parti socialiste dirigé par Mohamed Kilani et le Parti du travail patriotique et démocratique (PTPD) dirigé par Abderrazek Hammami.

Ce front de forces progressistes et laïques appelle à un dialogue national sur la situation économique et sociale difficile, à l'élaboration d'une Constitution démocratique, à la protection des ressources et des institutions de l'Etat contre l'instrumentalisation partisane, à la préservation des libertés publiques et individuelles et à la garantie du droit syndical.

1485956_3_d24e_beji-caid-essebsi-le-18-j

Nida Tounès ("L'Appel de la Tunisie", son site Internet), a été fondé le 16 juin 2012 par l'ancien premier ministre Béji Caïd Essebsi. Agé de 86 ans, M. Essebsi est une figure politique majeure en Tunisie depuis l'indépendance en 1956.

Il a été ministre du premier président tunisien, Habib Bourguiba, président du Parlement sous le président déchu Ben Ali, puis premier ministre provisoire après la révolution. Avec Nida Tounès, il ambitionne de faire contre-poids au parti islamiste Ennahda. "Nous sommes un parti centriste inscrit dans la défense des acquis de l'Etat moderne, des objectifs de la révolution et des réalisations de la période transitoire", a indiqué son porte-parole lors de la légalisation du parti.

"L'Appel de la Tunisie" rassemble des représentants de la bourgeoisie, des cadres et des personnalités du Rassemblement constitutionnel démocratique (RCD) de Ben Ali, dissous après la révolution. Son secrétaire général est Taïeb Baccouche.

1466539_3_f9de_nejib-chebbi_84a78c479400

Al-Jomhouri ("Le Parti républicain", centre démocrate-libéral) a été fondé en avril 2012 par des membres de Afek Tounes, le Parti démocrate progressiste (PDP), le Parti républicain, Irada, Bledi, le Parti pour la justice social démocrate (PJSD) et le Parti Al-Karama, ainsi que des groupes et des listes indépendantes.

Le président du comité politique du parti (son site Internet) est Ahmed Néjib Chebbi. Avocat de profession et figure de l'opposition de gauche, M. Chebbi a participé à la fondation en 1983 du Rassemblement socialiste progressiste, devenu le Parti démocrate progressiste. En 2006, il avait cédé son poste de secrétaire général du PDP à Maya Jribi, qui a elle aussi rejoint Al-Jomhouri.

La voie démocratique et sociale (Al-Massar, gauche social-démocrate), est né le 1er avril 2012 de la fusion entre le mouvement Ettajdid, le Parti du travail tunisien et des indépendants du Pôle démocratique moderniste (Al-Qotb). Il est dirigé par Ahmed Ibrahim.

  • LE FRONT POPULAIRE

Le Front populaire pour la réalisation des objectifs de la révolution (son site Internet) est une coalition politique regroupant douze partis politiques et associations de gauche, nationalistes et écologistes, ainsi que de nombreux intellectuels indépendants. Fondé le 7 octobre 2012, ce front se veut une alternative à la Troïka au pouvoir et au front constitué autour de Nida Tounès pour porter les revendications sociales de la révolution.

Son porte-parole est Hamma Hammami, secrétaire général du Parti des travailleurs tunisiens. Chokri Belaïd, dirigeant du Mouvement des patriotes démocrates, assassiné le 6 février 2013, était membre de ce front.

1829556_3_2600_hamma-hammami-secretaire-

Les partis membres de cette coalition sont : le Parti des travailleurs tunisiens (anciennement Parti communiste des ouvriers de Tunisie - PCOT), un parti d'extrême-gauche créé en 1986 par Hamma Hammami ; le Parti du travail patriotique et démocratique, mené par Mohamed Jmour ; le Mouvement des patriotes démocrates (Moupad) de Chokri Belaïd ; les Patriotes démocrates (Watad) de Jamel Lazhar ; le Parti de la lutte progressiste de Mohamed Lassoued ; la Ligue de la gauche ouvrière de Jalel Ben Brik Zoghlami ; le Parti populaire pour la liberté et le progrès de Jelloul Azzouna ; le Front populaire unioniste d'Amor Mejri ; le Mouvement du peuple de Mohamed Brahmi ; le Mouvement Baath d'Othmen Bel Haj Amor ; le Parti d'avant-garde arabe démocratique de Kheireddine Souabni ; et Tunisie verte d'Abdelkader Zitouni.

Hélène Sallon

Il manque quand même la mention des partis salafistes...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Vendredi dernier, c'était l'occaz ou jamais pour basculer ennahdha, 5adha behia kima n9oulou, mais dommage ba3d ezneza lkolha raw7et, dommage 3ale5er wallah, 3ana opposition m7athoula mouch normal, haw tawa la3bed berdet, et croyez moi, je ne suis pas un partisans de la violence, mais dans une situation pareille, la seule solution c'est la RUE. Lebled we9fa yé bougalb 3ala 5ater un parti politique !! ti kén ya3emlou election tawa ti yé bel7ram mé Etakatol yo5rej 9ad 9ad m3a Ennahdha.

Je pense que tu sous-estimes le capital de sympathie d'Ennahdha auprès de plusieurs de nos compatriotes. Moi je pense plutot que quel que soit l'état du pays et avec les élections les plus libres qui soient, Ennahdha sera au pire 2ème force politique du pays, avec au moins 20% des suffrages.

  • Pour 1
  • Contre 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je pense que tu sous-estimes le capital de sympathie d'Ennahdha auprès de plusieurs de nos compatriotes. Moi je pense plutot que quel que soit l'état du pays et avec les élections les plus libres qui soient, Ennahdha sera au pire 2ème force politique du pays, avec au moins 20% des suffrages.

oui, 1er ou 2e

sauf qu'en cas de coalition, avec des partis comme NT, PR et le FP, ils seront 2e, et loin derriere

Mais la question la plus importante, c'est: les élections seront elles libres???

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je pense que tu sous-estimes le capital de sympathie d'Ennahdha auprès de plusieurs de nos compatriotes. Moi je pense plutot que quel que soit l'état du pays et avec les élections les plus libres qui soient, Ennahdha sera au pire 2ème force politique du pays, avec au moins 20% des suffrages.

Le nombre des votants, sympathisants, du parti Nahdha est fixe il ne changera pas à court et moyen terme. C'est un vote idéologique et n'est pas sensible à la situation économique et sécuritaire du pays. Il 'est de 10 à 20 % de la population Tunisienne.

Il faut savoir qu'il s'agit d'une organisation et non d'un parti politique, dans lequel la discipline est importante et toutes les personnes sont négligeables devant l’intérêt suprême de l'organisation.

Ces gens la, voteront en masse et seront présents dans toute les élections avec un taux de participation record.

Le score des élections est une autre paire de manche, il dépend du taux de participations. Plus l’affluence est importante ,moins ils ont de chance pour gagner.

S'abstenir c'est voter Nahdha.

  • Pour 12
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Le nombre des votants, sympathisants, du parti Nahdha est fixe il ne changera pas à court et moyen terme. C'est un vote idéologique et n'est pas sensible à la situation économique et sécuritaire du pays. Il 'est de 10 à 20 % de la population Tunisienne.

Il faut savoir qu'il s'agit d'une organisation et non d'un parti politique, dans lequel la discipline est importante et toutes les personnes sont négligeables devant l’intérêt suprême de l'organisation.

Ces gens la, voteront en masse et seront présents dans toute les élections avec un taux de participation record.

Le score des élections est une autre paire de manche, il dépend du taux de participations. Plus l’affluence est importante ,moins ils ont de chance pour gagner.

S'abstenir c'est voter Nahdha.

BIEN VU

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Le psychopathe en direct maintenant



croyez le ou non, ces abrutis du gouvernement nous annoncent une hausse du chômage en 2012 de 2.2%......par rapport à l'année 2011!!!!!

c'est pas possible de prendre autant les gens pour des imbéciles!!!

ben salem fait la même chose avec son histoire de 5% taux de croissance

bon tant qu'ils ont des abrutis qui les croient pourquoi ils cesseront de dire des conneries.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Pasted as rich text.   Paste as plain text instead

  Only 75 emoji are allowed.

×   Your link has been automatically embedded.   Display as a link instead

×   Your previous content has been restored.   Clear editor

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.

Chargement
  • En ligne récemment   0 membre est en ligne

    • Aucun utilisateur enregistré regarde cette page.
×
×
  • Créer...